Machiavel Violence Légitime

Philo Commentaire de texteExplication de texte : Machiavel, Le Prince, Chapitre XVIII, “Comment les princes doivent tenir leur parole” _________________________________________________________________________ _________________________________________________________________________ Durant l'Antiquité grecque, on s'interrogeait sur les relations entre le pouvoir et la morale en politique. C'est en affirmant que la plupart des hommes au pouvoir deviennent méchants, et que l'on remarque l'importance

MACHIAVEL, Le Prince Texte 2 : La crainte du Prince Dans nos sociétés démocratiques, le respect des gouvernants repose sur leur légitimité qui émane elle-même de l’élection. Il serait aujourd’hui impensable de craindre, au sens de Machiavel, les dirigeants politiques, mais la question est toujours d’actualité, notamment avec ce que Max Weber a appelé la « violence physique légitime » dans son ouvrage Economie et Société. L’ouvrage Le Prince publié en 1532 sera finalement destiné à Laurent de Médicis

Chapitre 3 L’État et le pouvoir De Machiavel (1469 – 1527) à Hobbes, la politique va prendre le sens moderne qu’on lui connaît, c’est-à-dire ce qui concerne l’État, le pouvoir politique . Alors qu’autrefois, la politique désignait d’abord ce qui concernait la cité, la vie des citoyens. Attention : on dit philosophie machiavélienne ( machiavélique ) ! Leo STRAUSS

LA MORALE, LE DROIT ET LA POLITIQUE CHEZ NICOLAS MACHIAVEL PLAN DE L’EXPOSE INTRODUCTION I-RAPPORT ENTRE LA MORALE, LE DROIT ET LA POLITIQUE 1) rapport de similitude 2) rapport de divergence II-LES CRITIQUES III-LES LEÇONS BÉNÉFIQUES CONCLUSION Période moderne - Machiavel (1469 - 1527) Nicolas Machiavel 1469 - 1527 INTRODUCTION NICOLAS MACHIAVEL est un philosophe Italien du XVème siècle. Ses études philosophiques

C’est l’art de diriger les affaires publiques, et de gouverner un État par les principes moraux. Cela reste toujours d’un point de vue utopique et que ne peut être existante dans la réalité vécu, une vocation idéale. Face à cette thèse purement idéelle, Machiavel dans le célèbre livre « Le Prince » a fait une critique de toutes les théories qui disent que l’Etat se fonde sur la morale, et la considère comme une imagination totalement fausse des « républiques imaginaires » qui ne peut être qu’au monde du paradis

Machiavel et le machiavélisme Confrontation de l`interprétation du Prince de Machiavel dans la lettre a Elisabeth de septembre 1646 de Descartes et l`œuvre du Prince même. INTRODUCTION Descartes est couramment considéré comme un rationaliste. Il est représentatif du rationalisme au sens où il a participé a l’essor de la science moderne, et où la démarche scientifique lui a semblé suffisamment solide pour servir de modèle a la résolution des questions philosophiques les plus ardues

Alors, pourquoi l’Etat ? « Il n’y a point d’autorité qui ne vienne de Dieu » Saint Paul Nicolas Machiavel romps avec cette conception traditionnelle et théologique de la politique.Et ce n’est qu’après cette rupture philosophique que d’autres philosophes, penseurs et juristes se sont forcés à penser des théories rationnelles de l’Etat pour déterminer quels fondements lui peuvent être légitimes. Les théories sur l’origine de l’Etat : Partant de « l’origine » de l’Etat signifie

Nicolò Machiavel et Francesco Guichardin: la vertu républicaine Introduction Orienté par l’émergence historique de l’humanisme civique, ce module explore les mutations du discours sur la légitimité du pouvoir politique dans le contexte idéologique de la dissociation machiavélienne entre la politique et la morale. L’émergence de l’humanisme civique La longue concurrence idéologique entre l’Empire et l’Église a érodé la légitimité des velléités politiques hégémoniques de ces deux institutions

LE PRINCE de MACHIAVEL * Introduction « Fragments sur l’état de guerre » de JJ-ROUSSEAU Le constat fait est qu’il y a un écart entre ce que nous disent les livres de droits et de morales avec la réalité. L’ordre politique, social et civil est présenté comme idéiques mais il y un écart énorme avec la réalité. Les rapports entre les Etats sont des rapports de violence et de guerre. Les politiques intérieurs ou extérieurs sont en total décalage avec « les discours insinuants » des moralistes

faut donc prendre en compte les circonstances. Or, les combinaisons de circonstances sont infinies, de ce fait, aucun savoir de l'homme politique ne semble pouvoir être généralisé. La question des circonstances trouve une grande importance chez Machiavel. En effet, pour lui, le prince ne doit posséder aucun caractère particulier, il doit modeler son ethos en fonction des circonstances. C'est ce qu'il explique au chapitre XV du Prince. Le prince doit être aussi bien cruel que compatissant, craintif