Marketing Relationnel Sephora

Définition juridique : « La marque est un signe susceptible de représentation graphique servant à distinguer les produits ou services d’une personne physique ou morale ». (Cf extrait du code de la propriété intellectuelle) L’Association Américaine de Marketing (AMA) définie la marque comme « un nom, terme, signe, dessin ou toute combinaison de ces éléments servant à identifier les biens ou services d’un vendeur ou d’un groupe de vendeurs et à les différencier des concurrents. » La marque est donc un

Chapitre 1 : La gestion de la distribution par le producteur La distribution ne peut plus être considérée comme la dernière variable du mix-marketing. La distribution correspond à Place dans les « 4P », c’est une variable importante qui doit être faites avant la publicité. Aujourd’hui, il est de plus en plus difficile de négocier un référencement dans les linéaires des distributeurs. Les distributeurs sont dans une situation de force, s’ils refusent de référencer le produit, celui-ci peut être

l’idée de se lancer sur le net. Jusqu'en 2008, seul un tiers des marques de luxe mettait, à disposition de leurs clients, des produits sur internet. Prada, par exemple, n’a jamais eu de site internet jusqu’en 2007. En effet, les responsables Marketing de ces enseignes de luxe estimaient que le net n’est pas en adéquation avec l’esprit du secteur : l’envie d’évasion, de planer et de rêver. Pour eux, le net cassait tout le charme, en simplifiant l’achat à trois clics, et en dévoilant tous les prix

Marketing Introduction I. A partir du séminaire de rentrée, établissez un tableau pour le produit analysé. P-PRODUIT Marques ² Minute Maid Caractéristique - jus d’orange en tetrapak d’1l - de qualité - de renommée - sans pulpe - différents conditionnements Prix - 1,08 € - 1,43 € - 1,14 € - 1,19 € - 1,19 € P-PRIX P-PLACE Lieux de vente (=P.O.S) Colruyt Rob Carrefour Match Delhaize P-PROMOTION Pub/Promo - lancement d’un nouveau gout: “oranges du Brésil” - Display promotionnel dans les P.O.S (Carrefour)

Fauchon II/ « Fauchon fauché »: le diagnostic A/ Un circuit de distribution mal adapté B/Des nouveaux produits pour avoir des nouveaux clients? C/Une veille concurrentielle mal adaptée III La nouvelle stratégie marketing de Fauchon depuis 2004 A/Les produits du groupe  B/Le prix  C/ La distribution D/ La communication Conclusion Bibliographie Préambule  Nous avons choisi d’étudier

position sur l’échec du yaourt Essensis de Danone sur le marché français. Par le biais d’aller-retour entre théories et cas pratiques, nous tâcherons de prendre du recul afin d’analyser ce marché complexe. Nous ferons appel à divers points de vue, tant marketing qu’économiques ou sociologiques. Tout d’abord, nous analyserons en quoi les perspectives de Danone sur le marché de la cosméto-food semblaient porteuses: nous mènerons ici une analyse socio-économique du marché ainsi que des forces en présence

l’étude………………….104 CHAPITRE II : Résultats et interprétations………………..110 TROISIEME PARTIE : ELABORATION DE LA STRATEGIE ET DU MIX-MARKETING…………………………………………121 CHAPITRE I : Analyse de la situation commerciale de la Sogeline…122 CHAPITRE II : Objectifs et options stratégiques………………129 CHAPITRE III : Marketing-mix …………………………………135 CONCLUSION .……………………………………………145 BIBLIOGRAPHIE.………………………………………...147 ANNEXES .……………………………………………….

Consommer bio a longtemps été un acte militant réservé à une poignée d’écologistes ou de « hippies sur le retour ». Les produits étaient rares et leur distribution mal assurée. Point n’était question pour les marques bio d’adopter la démarche marketing des marques traditionnelles : l’antinomie était évidente puisque, précisément, les spécialistes du bio entendaient combattre les principes de base de l’économie classique (ex. : la publicité) et ses conséquences néfastes sur l’environnement (surconsommation

commerciale représente un ensemble de contacts et d'échanges entre un client et une unité commerciale d'une période plus ou moins longue. Sa finalité est de maintenir et de développer le capital client. Une unité commerciale qui pratique le marketing relationnel écoute, analyse les attentes de chacun de ses clients. Elle peut s'y adapter et y répondre. 2. L'évolution de la relation commerciale : → 1945/1965 : supériorité du fournisseur. L'offre est ici inférieure à la demande. Les prix étaient

Chapitre 1 : La gestion de la distribution par le producteur La distribution ne peut plus être considérée comme la dernière variable du mix-marketing. La distribution correspond à Place dans les « 4P », c’est une variable importante qui doit être faites avant la publicité. Aujourd’hui, il est de plus en plus difficile de négocier un référencement dans les linéaires des distributeurs. Les distributeurs sont en situation de force et s’ils refusent de référencer le produit celui-ci peut être