Melanger Comique Et Tragique

contre le genre tragi-comique très en faveur. La Sophonisbe de Mairet, au XVIIe s., marque la victoire d'un genre tragique régulier qui connaîtra son avènement avec Corneille et Racine. Plus tardive en Allemagne, la tragédie passe, au XVIIe s., par des traductions de Sénèque et de Sophocle. En Angleterre et en Espagne, l'évolution de la tragédie est différente : Shakespeare, Calderón et Lope de Vega se démarquent des exemples antiques et deviennent les modèles de formes tragiques différentes, parfois

Sganarelle. Il franchit une nouvelle étape dans le défi. 2ème mouvement : Ligne 20 à 30 -> mais les deux moments : - les premières lignes de la scène 6 ou DJ rencontre la statue forment un échange de propos polis entre deux adversaires -> comique de situation. -L.26 a 30 : le châtiment qui projette DJ en enfer 3ème et dernier mouvement : Sganarelle brise l’atmosphère surnaturelle par des considérations très concrètes. Le mouvement dramatique suit une profession dans l’intensité jusqu'à

Shakespeare, tragédie et œuvre baroque par excellence. Le deuxième document est tiré de la pièce « Six personnages en quête d’auteur » (1921) de Luigi Pirandello, pièce tragique également. Nous avons également le dénouement de la pièce nommée « l’Illusion comique » (1635) de Pierre Corneille qui mélange quand à elle, le comique et le tragique ainsi que le baroque et le classique. Enfin, le dernier document du corpus est un tableau d’Antonio de Pereda (1650) ayant pour titre : « Le songe du chevalier) ;

la didascalie initiale (« Un arbre poussiéreux près des chaises de la terrasse ») de la pièce peut alors être inter­prété à posteriori comme le signe de la présence latente de la rhinocérite. II –  Le surgissement de l'insolite : un ressort du comique ? 1) Les réactions des personnages devant l'insolite Curiosité initiale (répétition de « qu'est-ce que c'est ? ») + l’étonnement devant l'incroyable (répétition de « Oh ! un rhinocéros ! ») mais aussi l'incrédulité et peut-être la frayeur. La

16-17eme siècle, la tragédie reste fortement marquée par l'héritage antique. Le ton est empreint d'un grand lyrisme. On note la présence de chœurs déplorant longuement la catastrophe ; toutefois, en général, la pièce ne comporte pas de véritable action tragique. La représentation est axée moins sur l'action que sur l'émotion. C'est le pathétique qui domine, avec le spectacle douloureux du malheur des héros et les accents déchirants de leurs plaintes. Note : la tragédie de Sophonisbe (1515) de Trissino

didascalies dans le texte écrit : nombreux moments où le théâtre n’est plus parole, mais gestes et attitudes [pic] Aspect tragique : solitude, souffrance, absurdité de la condition humaine. La scène se déroule souvent dans un climat de catastrophe mais le comique s’y mêle—> caractère absurde. Personnages et situations du théâtre de l’absurde semblent plutôt s’immobiliser dans un tragique total, un nihilisme sans fin. Thèmes : [pic] La solitude de l’homme, qui se sent étranger dans le monde

Tartuffe une tonalité comique. La présence de la fatalité qui pèse sur Antigone inspire de la pitié au spectateur et confère une tonalité tragique à ce début de la pièce. • L'esthétique de la pièce Le mélange de la langue lyrique et poétique avec la langue familière, voire vulgaire, est une des caractéristiques du drame romantique (Lorenzaccio). L'absurdité, à la fois comique et désespérante, comme dans Le Roi se meurt, renvoie le lecteur à l'esthétique de la farce tragique.

pitié, elle opère une purgation des émotions de ce genre". A travers les expressions: "menée jusqu'à son terme" Aristote entend que la tragédie présente automatiquement un dénouement. Ce dénouement est le plus souvent une catastrophe; il est tragique, violent. La tragédie referme des conflits qui trouvent une fin ( clôture du drame); elle opère souvent un renversement du bonheur vers le malheur. "ayant une certaine étendue": il faut savoir que l'unité de temps est très peu définie chez Aristote

le théâtre n’est plus parole, mais gestes et attitudes  Aspect tragique : solitude, souffrance, absurdité de la condition humaine. La scène se déroule souvent dans un climat de catastrophe mais le comique s’y mêle—> caractère absurde. L’absurde n’aboutit toutefois pas à un engagement (comme chez Sartre) ou à une révolte (comme chez Camus). Personnages et situations du théâtre de l’absurde semblent plutôt s’immobiliser dans un tragique total, un nihilisme sans fin. Précurseurs :  Guillaume Apollinaire

le théâtre n’est plus parole, mais gestes et attitudes  Aspect tragique : solitude, souffrance, absurdité de la condition humaine. La scène se déroule souvent dans un climat de catastrophe mais le comique s’y mêle—> caractère absurde. L’absurde n’aboutit toutefois pas à un engagement (comme chez Sartre) ou à une révolte (comme chez Camus). Personnages et situations du théâtre de l’absurde semblent plutôt s’immobiliser dans un tragique total, un nihilisme sans fin. VI. Précurseurs :  Guillaume Apollinaire