Métalinguistique

qui concerne la traditionnelle distinction entre les conjonctions de coordination et les conjonctions de subordination, cf. M. Grevisse (1986), M. Riegel et al. (1994). 3 L’énoncé (1a) est seulement interprétable dans le contexte d’un discours métalinguistique de type : Ecoute, si je te dis que A, c’est parce que B (construction qui se révèle d’ailleurs curieuse appliquée à (2b)). Ou bien, (1a) change complètement de sens par rapport à (1) : la raison pour laquelle Paul a mangé tout le gâteau est que

(réflexion) sur la langue Forme de modalisation en discours second : 1) La fille ne sait pas la signification de « presbytère », elle embarque le mot dans un contexte de hasard car elle n’a pas le sens. Elle vole le mot. 2) Ex. métalinguistique : la mère donne la définition 3) L’hétérogène est nommé ( citation, comme discours rapporté. Perrault, Peau d’Âne (1694) : Ce texte commence par « on dit » et non par « je dis », Il est en train de poser une parole hétérogène.

(1984) estiment que, si de telles recherches apportent un éclairage nouveau dans un domaine où l’on infère trop souvent la connaissance des connecteurs à partir de la compréhension des phrases où ils sont insérés, il reste que la nature très métalinguistique des connecteurs ne permet pas d’atteindre le savoir implicite à l’œuvre dans la différenciation linguistique de ces derniers. Les temps normés du récit Concernant les temps normés du récit, la mise en relief temporel de Weinrich (1973) désigne

de cette compétence linguistique en opérant sur celle-ci une constante réactivation en classe et en dehors. On remarque dès lors la redondance du terme « matériel linguistique » et les stratégies d’apprentissage qu’elle y associe sont d’ordre métalinguistique comme « mémoriser une ou deux phrases », « utiliser quelques phrase en français », « nommer quelques événements en français », « nommer en français quelques faits », « noter les devoirs en français ». La promotion pour la langue française est

l'annonce est peu crédible. Ainsi, le démenti amené par le segment mais il y en aura d'autres... apparaît comme un pléonasme. II / Sur les fonctions du langage a - La fonction commune mise en œuvre dans ces deux extraits est la fonction métalinguistique. En effet, dans les extraits « […] en astrologie. En astronomie, voulais-je dire. » et « Je n'ai pas dit: je migre, mais: j'émigre. Je quitte la France. », on remarque que les termes astrologie et migre sont isolés et corrigés par le locuteur

utile ; l’orateur en s’exprimant cherche à produire une action sur son auditoire. Cette action oratoire prend des formes diverses et complémentaires. Dès les origines de l’art, en effet, les dimensions référentielle, poétique, phatique et métalinguistique sont liées avec les fonctions conatives et expressives de l’acte de communication. L’art rhétorique est donc considéré comme un acte de communication complet. De même, dès l’Antiquité, la rhétorique considère comme des éléments importants

globaux d’accueil et d’éducation dont le projet est de permettre la valorisation et l’articulation active des traits originels aux éléments de la culture d’accueil, sans les pervertir par un excès de conservatisme (Manço, 2002). Les compétences métalinguistiques des bilingues et l’exploitation pédagogique qui pourrait en être faite illustrent encore notre propos (Crutzen, 2002). En effet, des recherches en psycholinguistique soulignent que les enfants bilingues se montreraient plus compétents dans des

du poème « L’Albatros » de Charles Baudelaire A- Les principales fonctions du langage à l’oeuvre dans le poème La fonction référencielle indices : emploi de la 3e personne emploi d’adjectifs démonstratifs : v. 6, v. 9 La fonction métalinguistique indices : emploi de comparaisons : v. 8, v. 13 emploi d’explications : v. 2, v. 6 emploi de la métaphore filée : v. 13 à v. 16 B- Les figures de style dominantes du poème L’antithèse (l’opposition) : v. 6, v. 9, v. 10 La comparaison

...................................... 8. 144 145 147 156 157 La mise en discours des différences et/ou des insuffisances linguistiques……………………..............................................................…...... 159 8 – 1. Commentaires métalinguistiques et perception des différences linguistiques chez Amaria et Linda.......…………………………………………………..... 8 – 2. La recherche du mot juste en L2 : Amaria sollicite Farida….......…………...... 8 – 3. Un procédé de clarification réclamé par Farida.........

tels que les rôles syntaxiques, qui permettent de spécifier le fonctionnement d’une classe, le verbe étant, par exemple, spécialisé dans le rôle prédicatif, et l’adjectif ou l’adverbe, exclus de la fonction sujet, abstraction faite du discours métalinguistique. 37 Toujours en référence au principe de pertinence, une hiérarchie s’établit donc entre les différents critères qui permettent de définir une notion ; la démarche consiste d’abord à prendre en compte les caractéristiques définitoires les