Métaphysique des mœurs

démontré rationnellement B) La solution d'Aristote : un fondement dans la perception sensible C) Le problème de l'induction chez David Hume II – Fonder la science sur l'existence du sujet pensant : Descartes et le doute radical (Méditations métaphysiques de R. Descartes) A) Le point de départ de Descartes : le doute radical B) De quoi puis-je douter ? C) Qu'est-ce qui résiste au doute ? La certitude « Je pense, donc je suis » D) La démonstration de l'existence de Dieu E) Ce que l'on conçoit clairement

l’appellation de courant libertin.   Il existe deux acceptions au mot libertin : - Celui qui remet en cause les dogmes établis, c'est un libre penseur dans la mesure où il est affranchi, en particulier, de la métaphysique et de l'éthique religieuses .   - Le libertin de mœurs, c'est-à-dire celui qui s'adonne aux plaisirs charnels avec une liberté qui dépasse les limites de la morale conventionnelle mais aussi, avec un certain raffinement cultivé. Le qualificatif de “ libertin ” ne fait

- En pensant l’homme est capable de désirer. Il recherche alors un objet qu’il sait source de satisfaction pour répondre à un manque. - Cependant ces désirs sont contradictoires et mènent à notre frustration. - Kant dans Fondement de la métaphysique des mœurs s’accorde à cette contradiction nous présentant l’exemple de la connaissance. Désiré par tous, cette dernière nous apportera une vision plus lucide du monde qui nous entoure ainsi que ces maux augmentant notre souffrance. - On ne peut combler

dans des cadres utopiques à l’image de l'Île des esclaves en 1725 ou de la Nouvelle Colonie en 1729. Marivaux meurt d’une pleurésie en 1763. Le théâtre de Marivaux reprend la devise de la comédie castigat ridendo mores (c’est-à-dire corriger les mœurs par le rire) et construit une sorte de pont entre le théâtre traditionnel italien de la commedia dell'arte, et ses figures (notamment Arlequin). La commedia dell’arte est un genre de théâtre populaire italien apparu avec les premières troupes de comédie

s'anéantit) est une contradiction. " Kant BIOGRAPHIE : Kant est une des figures majeures de l'histoire de la philosophie. Sa doctrine embrasse tous les domaines de la pensée et renouvelle entièrement les perspectives de l'anthropologie, de la métaphysique, de la logique, de la morale et de l'esthétique, opérant une véritable «révolution copernicienne». La philosophie critique qu'il inaugure, d'une exceptionnelle densité, constitue toujours l'une des références indispensables de toute culture philosophique

assimiler la nature a une personne à part entière ainsi que lui assigner les facultés humaines qui en découlent que de la respecter jusqu’à arreter de s’en servir comme un moyen ? « L’homme n’a de devoirs qu’envers l’homme » a dit Kant dans sa métaphysique des moeurs car il y a une contrainte morale qui a entrainer l’invention du respect par l’homme. En effet celui-ci est indirrectement le devoir de l’homme envers lui-même afin d’éviter de culpabiliser. L’homme s’est donc imposer une contraite de l’ordre

conscience commune dans les mœurs, les comportements mesurés par des normes morales, tels qu’on les considère à l’intérieur d’une culture donnée. Les mœurs ne sont pas une morale. Ils supposent pourtant des règles de ce qui est « bien» ou de ce qui est « mal ». (texte)       a) Pour la plupart des hommes, quand se pose le problème de savoir ce qui est bien ou mal, c’est auprès de la tradition qu’il faut aller chercher refuge. Ou encore, nous nous rapportons aux mœurs tels qu’ils existent en les considérant

Soit on pose Dieu et on sort du monde, soit on met Dieu dans le monde, et Dieu n’est plus Dieu. La causalité ne peut donc s’appliquer à Dieu. 2 Critique de la preuve ontologique Descartes cherche par trois fois dans les Méditations métaphysiques à prouver l’existence de Dieu. « L’existence ne peut non plus être séparée de l’essence de Dieu, que de l’essence d’un triangle rectiligne que la grandeur des ses trois angles égaux à deux droits. » La notion de Dieu se confond avec la perfection

leurs rapports mutuels. IILe dialogue avec autrui, condition de ma construction intellectuelle APeut-on penser seul ? 1Le solipsisme Pour certains philosophes, il est tout à fait possible de penser seul. Dans la méthode du Cogito (Méditations métaphysiques, 1641), Descartes choisit de douter de toutes les réalités extérieures et ensuite de tout reconstruire à partir de lui seul. La seule certitude absolue est en effet « je pense donc je suis ». Cette tendance du sujet à ne croire qu'en sa propre

est celui du libre-arbitre. « Pour affirmer ou nier, poursuivre ou fuir les choses que l’entendement nous propose, nous agissons en telle sorte que nous ne sentons point qu’aucune force extérieure nous contraigne » cette citation des Méditations métaphysiques, issue de la Quatrième Méditation illustre la notion de libre-arbitre. Cette liberté s’éprouve lorsque nous jugeons. Il s’agit de la liberté de penser, de reconnaître et dénoncer la vérité ; de savoir choisir le meilleur parti. Le libre-arbitre