Métaphysique des mœurs

des recommandations sur la conduite de quelqu’un. Cette expression réprimande quelqu'un au vu de ses actes ou ses paroles contraires à la morale.La morale, d’après son origine étymologique tente de distinguer le bien du mal. Elle se rapporte aux mœurs. C’est une étude des comportements et des actes bons pour l’individu et pour la société. Elle vise à répondre à la question de Kant « Que dois-je faire ? ». Elle a pour valeur le bien et par extension on appelle « morale » les règles prétendant définir la

de nos connaissances du bien. Donc, un manque de connaissance résulte en faisant du mal. Il suffit donc de “connaître le bien pour le faire", et ce dernier s’apprend. Tout de même, la morale désigne les mœurs, et plus précisément un ensemble de préceptes préconstitués. Les mœurs désignent l’ensemble des valeurs établies et transmises par la société. De plus, il faut réfléchir avant de prendre action. Nous pouvons mettre en évidence l’utilitarisme, qui illustre ce principe. L’utilitarisme

tolérance, chap. XXIII, 1763) Intro : Traité sur la Tolérance Dans ces 25 chapitres, après avoir évoqué l’innocence de Calas et les méfaits du fanatisme, Voltaire plaide la cause des protestants. Le progrès de la raison, l’adoucissement des mœurs, la force du gouvernement permettraient de tolérer maintenant les calvinistes sans craindre de désordres : le retour des exilés enrichirait la France. Le philosophe fait alors l’historique de l’intolérance à travers les âges, montre qu’elle n’est

Question 5 : Moraliste : Écrivain qui décrit et critique les mœurs de son époque et développe, à partir de là, une réflexion sur la nature et la condition humaines.Métaphysique : La métaphysique est une science, une réflexion philosophique qui questionne d'abord l'existence des choses ou des événements tels qu’ils sont, et qui tente ensuite de décrire et d'expliquer ce qui existe vraiment, qui essaie de mettre un sens à l’existence. C’est la philosophie « première », celle qui touche aux questions

relation avec le pays. A chaque pays, sa justice. Les lois pour Pascal ne découlent pas de principes universels. Elles sont le produit de la culture, de leurs mœurs et de leurs habitudes. Elles découlent de la représentation de l’Homme de la Femme, du bien et du mal,… Par exemple, en Irlande, l’avortement était interdit. Mais les mœurs ayant changé, l’avortement est devenu légal. Pour Pascal, il est impossible à l’Homme de savoir ce qu’est la justice absolue. L’Homme est un être égoïste. Même

pièces d’Aristophane même pendant le carnaval. L’ancienne comédie laisse sa place à la nouvelle avec Ménandre. C’est une comédie sérieuse qui relève du médiocris, absence de burlesque et de grotesque, pas de satyre politique. La comédie traite alors de mœurs, de mariage, elle se recentre sur la famille et en cela demeure transgressive car elle évoque publiquement les affaires privées. Le topos des deux jeunes gens à marier malgré le refus des pères apparait alors. Ménandre est considéré comme le grand

La Fontaine ont deux siècles de différence et donc deux apport culturels différent. La Fontaine connait et a vécu dans une monarchie. Sa poésie se marque dans ce temps là. Le parfait gentilhomme est à l’honneur. C’est le temps du libertinage, des mœurs légères. Tous ces écrits tournent autour de ces phénomènes de société. Supervielle quand à lui est dans un autre style une autre vision, ses écrit se centre sur une sorte de fort intérieur. Tel que le montre la Fable du monde, où Supervielle met en

elle-même peut édifier la morale; par exemple, je n'ai pas besoin de la religion pour savoir que piller la maison de mon voisin, c'est «mal», car je sais comment je réagirai si cela m'arrivait, donc je ne le fais pas. Dans Fondements de la métaphysique des mœurs, Emmanuel Kant déclare que «La conscience morale n'est pas quelque chose que l'on soit susceptible d'acquérir, et il n'y a pas de devoir ordonnant de se procurer cette conscience; mais tout homme, en tant qu'être moral, possède en lui, originairement

esprit "attaché aux sens, comme nous le sommes tous avant de philosopher" Bref : il s'agit de se placer du point de vue d'un homme qui commence à philosopher b) Pourquoi se place-t-il de ce point de vue? b1) Parce que même si les principes métaphysiques sont plus clairs que les principes géométriques, si on les avance trop brutalement, on risque de les voir rejetés comme inappropriés ou invraisemblables. Ainsi Descartes met-il en œuvre, ici, ce qu'il appelle la méthode analytique : méthode qui

"attaché aux sens, comme nous le sommes tous avant de philosopher" Bref : il s'agit de se placer du point de vue d'un homme qui commence à philosopher b) Pourquoi se place-t-il de ce point de vue? b1) Parce que même si les principes métaphysiques sont plus clairs que les principes géométriques, si on les avance trop brutalement, on risque de les voir rejetés comme inappropriés ou invraisemblables. Ainsi Descartes met-il en œuvre, ici, ce qu'il appelle la méthode analytique : méthode qui