Métaphysique des mœurs

central de l’œuvre baudelairienne, a aussi une place de choix dans sa vie privée. La fleur en poésie baudelairienne est symbole de beauté, de pureté, ou symbolise la femme, le mal étant le symbole du malheur et de la misère, sociaux, physiques ou métaphysiques. Et le poète cherche à extraire la beauté du mal. Il le dit ainsi :« Tu m’as donné ta boue j’en ai fait de l’or. » Baudelaire est toujours à la recherche d’un idéal qu’il sait inatteignable . Une poésie : Le terme « poésie » vient du grec « poiêsis

service d’une idée a. Un conte merveilleux Candide s’ouvre sur une formule traditionnelle du conte merveilleux : le « Il y avait en Westphalie dans le château de monsieur le baron de Thunder-Ten-Tronck, un jeune garçon à qui la nature avait donné les mœurs les plus douces » fait écho au « Il était une fois… » des contes classiques. De même l’enchaînement extraordinaire des actions, l’incroyable destin d’un héros qui échappe à tous les périls et les endroits fabuleux comme l’Eldorado sollicitent l’imagination

problème philosophique de la conscience est donc, depuis Descartes, celui de savoir :1) s’il existe quelque chose de tel, ou si au contraire elle n’est qu’une fiction (qu’elle soit d’origine philosophique, et donc, exemple typique de ce que fait la métaphysique, ou ancrée dans le sens commun).2) et si on peut y avoir accès : après Descartes, la tradition française a continué et consisté à considérer le moi comme un objet, qui, de surcroît, est le fondement privilégié de toutes nos connaissances et de

version d’origine, le libertin est celui qui remet en cause les dogmes établis, c’est un libre penseur (ou libertin d’esprit) dans la mesure où il est affranchi, en particulier, de la métaphysique et de l’éthique religieuse (exemple : Dom Juan de Molière) ; le sens qui prévaut de nos jours se réfère au libertin de mœurs, c’est-à-dire celui qui s’adonne aux plaisirs charnels (voire à la sexualité de groupe) avec une liberté qui dépasse les limites de la morale conventionnelle. Relecture des théories

Siècle des lumières. - Mort de louis XIV= fracture qui permet l’émergence de ce nouveau mvmt. France ruinée, affamée … Sa mort est un soulagement, et on assiste a une R° des mœurs et une R° intellectuelle. Louis XV favorise une cours très libertine. - 1721 : Lettres persanes, Montesquieu. Vision critique de l’Europe à cette époque. - 1784 : Qu’est-ce que les lumières, Kant. Vision rétrospective sur le siècle des lumières. - Terme « Lumières » pas original, très utilisé pour parler d’une évolution

version d’origine, le libertin est celui qui remet en cause les dogmes établis, c’est un libre penseur (ou libertin d’esprit) dans la mesure où il est affranchi, en particulier, de la métaphysique et de l’éthique religieuse (exemple : Dom Juan de Molière)
• le sens qui prévaut de nos jours se réfère au libertin de mœurs, c’est-à-dire celui qui s’adonne aux plaisirs charnels (voire à la sexualité de groupe) avec une liberté qui dépasse les limites de la morale conventionnelle et de la sensualité bourgeoise

aisthanesthai «sentir». Science du beau dans la nature et dans l’art. Chez Kant, l’esthétique concerne le domaine de la perception sensible, la sensation. éthique : gr. Ethikos, d’ethos «moeurs», «institution», «habitude». Science du bien. Science de la morale. Théorie de l’action. Le mot éthique désigne à la fois les moeurs, le code qui s’y rapporte (morale) et la discipline philosophique qui s’interroge sur les faits et les lois morales. Être : L. essere, de stare (se tenir) Le dictionnaire donne pour

par des idées surnaturelles: "cet état est nécessairement celui de toute science au berceau". C'était l'état de la monarchie. -état métaphysique ou abstrait état de transition. l'homme tend à quitter le surnaturel pour des abstractions personnifiées, à mi-chemin entre l'explication mystique et l'énoncé abstrait d'une série de phénomènes: "cet état métaphysique suppose que les faits, devenus plus nombreux, se sont en même temps rapprochés d'après les analogies les plus étendues", et peuvent donc

crée par lui. Kant écrira « La faculté de désirer est la faculté d’être, par ses représentations, cause des objets de ces représentations. La faculté que possède un être d’agir conformément a ses représentations s’appelle la vie. » ; Dans « Métaphysiques des mœurs » B. Egalement le désir permet d’atteindre un certain bonheur. Nos joies les plus intenses nous viennent généralement de la satisfaction de nos désirs les plus fondamentaux. Cette satisfaction est à son tour à l’origine de nouveaux désirs

situation de l’enfant, c’est qu’il se trouve jeté dans un univers qu’il n’a pas contribué à constituer, qui a été façonné sans lui et qui lui apparaît comme un absolu auquel il ne peut que se soumettre; à ses yeux, les inventions humaines : les mots, les mœurs, les valeurs, sont des faits donnés, inéluctables comme le ciel et les arbres; c’est dire que le monde où il vit est le monde du sérieux, puisque le propre de l’esprit de sérieux, c’est de considérer les valeurs comme des choses toutes faites. Et cela