Mimésis Aristote

Eschyle, Euripide, Sophocle Age d'or de la tragédie grecque : 5ème siècle avant Jc première pièce : -472 avt JC « Les Perses » Eschyle est un poète dramatique, metteur en scène, acteur dernière pièce : -401 avt JC : « Oedipe à Cologne » Sophocle Aristote est le théoricien de la tragédie grecque. Dans la poeisis d'Aristote, la tragédie est le genre noble alors que la comédie est le genre mineur. Il faut empêcher le théâtre de diffuser des idées révolutionnaires aux gens du peuple, et qui pourraient

* Indice : fumer indique qu’il y a du feu. Cause à effet * Symbole : ex : feu rouge : signe qui constitue un symbole * Relation analogique : La ressemblance, liens qui existent entre les relations artistiques. Aristote à lié les arts entre eux : « mimesis » Livre 1 de la politique. Rimbaud lie la poésie à l’objet ( ex : « La bohème ») Horace : « La poésie c’est comme la peinture » II : Relation entre l’image et le texte Au moyen âge il y a aussi une unité entre les différentes

d’Athènes, les deux semblent s’être rapproché au point de ne plus former qu’un, dans le large but de montrer pour faire réagir, pour faire surgir, par le dialogue entre les spectateurs, une meilleure conscience, un meilleur dasein13. Pour ce faire, Aristote théorise la tragédie comme « l’imitation d’une action grave et complète, ayant une certaine étendue, présentée dans un langage rendu agréable et de telle sorte que chacune des parties qui la compose subsiste séparément, se développant avec des personnages

service de l’intelligence. Notons que ce rapport étroit entre fabrication/homme/intelligence dont parle Bergson, faisait déjà l’objet d’une étude systématique chez Aristote. Aristote pense qu’il n’y a pas de technique de fabrication sans intelligence, ceci, parce que la réflexion (construction mentale) précède l’artéfact. En effet, Aristote (Physique, livre II) pense que la production d’un objet artificiel intègre quatre (4) causes à savoir : la cause matérielle (la matière brute dont nous avons besoin

complexe, infinie, interminable, en déployant la galerie infinie, interminable de ces miroirs de notre âme déchiré : les personnages. » Danièle Salenave. Aristote définit la mimèsis dans sa Poétique, et la présente comme l’imitation, la reproduction du réel en littérature. Ainsi, depuis les premières œuvres de l’Antiquité la notion de « mimèsis » conduit les productions littéraires. On trouve notamment au XIXem siècle, le courant réaliste, qui, par des auteurs comme Balzac ou Stendhal, tend à donner

déclin des cités grecques entraîne le déclin de la tragédie elle-même, qui possède un lien avec la vie collective de la cité-Etat. Lorsque le philosophe Aristote, au IVe siècle av. J.-C., compose son traité sur la tragédie intitulée Poétique, la grande période du genre était déjà passée, un peu comme ce fut le cas en France après Racine. Aristote théorisait sur la Tragédie. Selon lui, elle permet de libérer le spectateur de ses impulsions mauvaises. Il cite : « La tragédie par la pitié et la crainte

plus vraisemblable de la société de son époque. Au cours des siècles le théâtre a beaucoup évolué, et cherche continuellement à se rapprocher au plus près de la réalité. Le XVIIe siècle se penchera d'avantage sur le concept meme de la "mimesis" crée par Aristote. Chapelain en 1630, revendique une absolue similitude entre le théâtre et sa représentation. Stendhal dans Racine et shakespeare fait dialoguer "le romantique" avec "l'académicien". Le romantique rapporte une anecdocte devenue célèbre et

MONDE ? Le monde Grec connait deux formes théâtrales : la comédie et la tragédie. V. Hugo conteste le monde théâtral en 2 genres. Aristote compare la narration écrite et le théâtre. 1) Définition générale Il commence par définir l’art littéraire comme mimesis (imitation, représentation). Il est disciple de Platon qui définit l’imitation différentielle. Aristote pense l’imitation par la différence car ressemblance non le réel. La ressemblance pose la distance avec le réel, le vrai objet.

des rois, des princes ou des personnages issus de la légende et de l’épopée. La tragédie est un drame, c’est-à-dire une action, une imitation (mimésis) de la vie des hommes sur une scène de théâtre. Il y avait les acteurs d’une part et un chœur d’autre part, lequel commentait, par des chants, l’action qui se déroulait sur la scène. Dans sa Poétique, Aristote (384-322 av. J.-C.) définit ainsi la tragédie : « La tragédie est donc l’imitation d’une action noble, conduite jusqu’à sa fin et ayant une

dans le réalisme (pas au sens littéraire) du théâtre puisqu'un personnage carnavalesque comme Matamore, censé représenter la terre, l'humus, parle de la manière considérée comme la plus noble à son époque. Tous ces procédés relèvent d'une notion, la mimésis. Selon Platon, elle est une image dégradée, donc trompeuse du réel, propre à la subjectivité de l'artiste. Elle "n'est pas naturellement porté vers ce principe rationnel de l'âme." (Platon dans La République). L'auteur doit flatter les passions du