Ministre-juge

| AJDA 2010 p. 1480| Pouvoirs du juge en matière de sanction disciplinaire infligée à un détenuMarc Wallerich, Premier conseiller à la cour administrative d'appel de Nancy|  | Dans son arrêt d'assemblée du 16 février 2009, Société Atom (req. n° 274000, AJDA 2009. 583, chron. S.-J. Liéber et D. Botteghi ; RFDA 2009. 259, concl. C. Legras), le Conseil d'Etat a jugé qu'il appartient au juge du fond, saisi d'une contestation portant sur une sanction que l'administration inflige à un administré,

pere , système de l'echevillage , de juge pas professionnel. Naturellement il vont chercher , et malgré l'opposition du parlement qui veux une parti de ses profit, il faut avoir le statu de commercent pour aller devant la cour, il sont un volume d'affaire très important juridiction administrative avait sur l'ancien régime une organisation différent des autre en raison de une conception différent de se que été la justice administrative tout administrateur et juge au même temps, sur la révolution française

Le rôle du juge n’est donc pas d’apprécier des droits subjectifs du requérant mais de juger l’acte administratif critiqué par celui-ci. L’annulation de l’acte constitue alors une sanction et a trois caractéristiques : Elle est rétroactive ( CE Ass. 7 mai 2004 Association AC) Elle a un effet erga omne (=entre tous) : cette annulation a un effet absolu Elle ne peut être prononcée que par le juge administratif dont c’est la fonction première est spécifique (= juge de la légalité)

et un traité communautaire. C’est un contrôle de conventionalité qui doit s’opérer. Le tribunal peut l’exercer, dans ce cas, lorsqu’il rend une décision, il fait prévaloir une loi sur une autre sans pour autant faire annuler la loi ou le traité. Le juge peut donc considérer si une loi est conforme à une disposition communautaire ou non. S’agissant de la Convention européenne des droits de l’homme, le contrôle peut être exercé par la Cour européenne des droits de l’homme, mais tous les recours possibles

Peillon Luc Groupe 145 Droit Constitutionnel : Dissertation. Sujet : L’évolution des rapports entre 1er ministre et Président sous la 5e République. Les rapports entre Président et 1er ministre sont variables en fonction des circonstances. Tout d’abord, le rôle du Président de la République et du gouvernement sont définis dans la Constitution aux 5, 20 et 21. Selon l’article 5 de la Constitution, il est prévu que le Président veille aux intérêts de la nation et ne gouverne pas au quotidien

« Les ministres de 1814 à 1848 » Introduction Selon un proverbe français, “les ministres sont les yeux des princes”, c'est dire leur importance dans la hiérarchie et dans un gouvernement plus particulièrement. Mais ce rôle que jouent ces agents chargés de l'administration d'un ministère, n'a pas toujours été aussi important qu'il n'y parait. En 1814, après un quart de siècle troublé par la Révolution de 1789 et l'Empire, la France est à la recherche d'un successeur à Napoléon. C'est alors

pouvoir. 1) Un pouvoir d’intervention dans le fonctionnement des autres pouvoirs Nomination des ministres, dissolution, présidence du conseil des ministres. Le gouvernement dépend du parlement : ne peut gouverner que si confiance de l’assemblée nationale. Mais président en tant qu’arbitre joue un rôle essentiel dans la formation du gouvernement : pouvoir discrétionnaire de nommer premier ministre. Discrétionnaire : n’a besoin de suivre aucune procédure. La nouvelle République conçue pour fonctionner

deux. De plus, le régime présidentiel des États-Unis ne comporte pas de responsabilité ministérielle comparativement au parlementarisme, ou cette responsabilité est présente. Lorsqu’on parle de responsabilité ministérielle, cela veut dire que les ministres sont responsables devant le Parlement et se voit dans l’obligation de démissionner s’ils n’ont pas l’appui de la majorité absolue des députés. Ensuite, pour le régime politique canadien, on parle de séparation souple c’est-à-dire que le pouvoir exécutif

constitutionnelles que connaît le pays depuis 1789. La mise en place d’un régime parlementaire conduit à l’existence de moyens d’actions réciproques entre le pouvoir législatif et exécutif CAD le droit de dissolution et la responsabilité politique des ministres, moyens prévus dans les textes de la 3e et 4e République. Le pouvoir E peut dissoudre le pouvoir L et inversement le pouvoir L peut renverser le pouvoir E. Dans la pratique, ces régimes parlementaires se transforment en régimes d’Assemblée. On pourra

administratives, poser les règles sous la loi. _A partir de 1958, complication : règlements qui interviennent indépendamment d’une loi : règlements autonomes Plusieurs niveaux :             Décrets du Président de la rep             Décrets du premier ministre             Arrêtés : hiérarchiquement en fction des auteurs (minsitres, maires, etc)                          ==>sources internationales Constituées par des traités et des accords. Art 55 de la constitution. Objet d’une procédure de ratification