Mircea Eliade

mi-aş fi lăsat jupuită pielea de pe mine, şi în pielea mea vie aş fi legat volumul atotcuprinzător. Seri întregi, pe când pereţii camerei mele se înroşeau de amurg, mă ghemuiam sub cearşaful umed şi, în imaginaţie, răsfoiam iar paginile orbitoare. Mircea Cărtărescu, Travesti, Humanitas, 2002 SUBIECTUL 2 (40 puncte) Sans vous limiter au domaine des beaux-arts, vous prendrez, dans un développement argumenté et illustré d’exemples précis, la défense des musées. (35 - 40 lignes) NOTĂ: Ambele subiecte

D’autre part, ils illustrent la coincidentia oppositorum dans la structure profonde de la divinité, laquelle s’avère tour à tour ou concurremment bienveillante et terrible, créatrice et destructrice. Voir ELIADE, Mircea, Mythes, Rêves et mystères, Paris : Gallimard, 1957, p. 233 ; ELIADE, Mircea, Myths, Rites, Symbols, New York : Harper & Row, 1976. Voir aussi à propos de ce sujet : JUNG, C.G., Types psychologiques, préface et traduction de Y. Le Lay, Genève : Librairie de l’Université, 1958 ; Psychologie

d’une néantisation qui rendrait absurde la vie elle-même. « Ô mort, où est ta victoire ? » dit Saint-Paul. En outre, pour ce même homo religiosus, l’espace qui l’entoure n’est pas homogène. Il y a pour lui, dit le philosophe roumain des religions Mircea Eliade, « des portions d’espace qualitativement différentes des autres. N’approche pas d’ici dit le Seigneur à Moïse, ôte tes chaussures car le lieu où tu te tiens est une terre sainte. Ces portions d’espace sont des lieux forts dont il convient de s’approcher

Barroco, Barcelona, Ediciones Península, 1984 Karl Alfred Blüher, Séneca en España desde el siglo XIII hasta el siglo XVII, Madrid, Gredos, 1983 Ioan Petru Culianu, Eros şi magie în Renaştere. 1484, Traducere de Dan Petrescu, Prefaţă de Mircea Eliade, Postfaţă de Sorin Antohi, Bucureşti, Nemira, 1994 Dinko Cvitanovic (ed.), El sueño y su representación en el Barroco español, Bahia Blanca, Cuadernos del Sur, 1969 Jean Delumeau, Păcatul şi frica. Culpabilitatea în Occident (secolele

de reproduction, de traduction et d’adaptation réservés totalité de signification, d’une figuration symbolique d’ensemble. De plus, c’est la marque du mythe que de porter sur des dimensions critiques de l’existence humaine. « Sa fonction », écrit Eliade, « est de révéler des modèles et de fournir ainsi une signification au monde et à l’existence humaine. Aussi son rôle dans la constitution de l’homme est-il immense» (1963, p. 177). En d’autres termes, le mythe fournit une figuration générale de la

L’Odyssée, Ithaque est clairement pour Ulysse un espace sacré au sens où Mircea Eliade le décrit dans Le Sacré et le Profane. La patrie du héros est un espace consacré en dehors duquel tout semble chaos. On peut donc sans peine appliquer à Ulysse les réflexions d’Eliade postulant que l’homme des sociétés traditionnelles éprouve le besoin d’exister constamment dans un monde total et organisé, dans un Cosmos. Ce besoin, Eliade l’appelle « Nostalgie du Paradis. » Le retour d’Ulysse à Ithaque est retour

dans le pays. Des grands noms roumains : Mihai Eminescu, « poète national » de la Roumanie et de la République de Moldavie ; Georges Enesco, compositeur, violoniste, chef d'orchestre et pianiste ; Lucian Blaga, écrivain et philosophe ; Mircea Eliade, écrivain, essayiste et historien des religions. Certains sont aussi des grands noms français : Emil Cioran, écrivain et philosophe - connu sous le nom Émile Michel Cioran en France ; Eugen Ionescu, dramaturge - connu sous le nom Eugène Ionesco

-à- dire la nouvelle naissance qui, selon l’Evangile consiste à se dépouiller du vieil homme et à se revêtir du nouvel homme qui est à l’image du Christ. La symbolique de la naissance est en quelque sorte une mort initiatique comme le démontre Mircéa Eliade dans Mythes, rêves et mystères : Le symbolisme du retour dans le ventre a toujours une valeur cosmologique. C’est le monde entier qui, symboliquement, retourne avec le néophyte, dans la nuit cosmique, pour pouvoir être crée de nouveau, 127 c’est-à-dire

version provisoire Descartes 58, 116, 117, 118, 169, 170, 174, 175, 181, 207, 208, 209, 221, 254, 270, 275 Paulette Destouches-Février 205 Dostoïevski, 142, 353 Duns Scotus 52, 57, 58, 91, 387 Nicole Dequoy 302 Einstein 286 Umberto Eco 94 Mircea Eliade 126 Hubert Elie 203 Empédocle 18 Epicure 238, 240 épicurien 13, 22, Roger Establet 241, 268 Euclide 208, 210 Elie Faure 9 Jean-Pierre Faye 257, 349 Fechner 143 Ferenczi 30, 163 Feuerbah 173 Paulette Février 302 Fichte 118, 254 Eugen Fink 362 F

française, entre autres) entretient avec l’histoire, à travers l’image. Que la presse analyse le 11-Septembre par le prisme de la répétition est tout d’abord le signe qu’elle conçoit l’histoire comme un processus cyclique. Or Lévi-Strauss ou Mircea Eliade ont bien montré ce que cette conception du temps basée sur “le mythe de l’éternel retour” pouvait avoir d’“anhistorique”. Citant François Châtelet, Jacques Le Goff écrit également : “L’idée qu’il y a des répétitions dans l’histoire… qu’ ’il n’y