Misère

v.278 au v.288 La misère épaissit ses couches formidables. Les malheureux sont là, dans le malheur reclus. L'indigence, flux noir, l'ignorance, reflux, Montent, marée affreuse, et parmi les décombres, Roulent l'obscur filet des pénalités sombres. Le besoin fuit le mal qui le tente et le suit, Et l'homme cherche l'homme à tâtons ; il fait nuit ; Les petits enfants nus tendent leurs mains funèbres ; Le crime, antre béant, s'ouvre dans ces ténèbres ; Le vent secoue et pousse, en ses froids tourbillons

éprouvons notre misère en étant conscients. La misère est en quelque sorte redoublée : il y a la situation même, commune à tous les êtres, étant qu’ils sont voués à disparaître, matière corruptible, vulnérable face aux déferlements des forces naturelles ou face aux prédateurs, devant lutter pour la survie, la misère de l’homme social, plein de vices, de passions, cherchant à se dissimuler leurs faiblesses, leur petitesse, s’oubliant dans le divertissement et il y a la duplication de cette misère par la conscience

moyens V.H. utilise pour faire passer sa thèse et pour dénoncer la misère? La première partie montrera qu'Hugo prononce un discours éloquent pour persuader et convaincre son auditoire, puis dans une seconde partie, il dresse un tableau terrible de la misère dans Paris. Hugo montre tout d'abord son indignation avec l'interjection "Hé mon dieu ! ", il renonce l'emploi du langage soutenu pour mettre en évidence la vulgaire misère. De plus, l'auteur utilise l'anaphore "Figurez vous" (l2) du présent

file du mouvement littéraire nommé Naturalisme. Ce mouvement s'inscrit dans la continuité du Réalisme et de ses principes qui sont de peindre la société en explorant tous les milieux, représenter la réalité sociale sans l'idéaliser, ne pas cacher la misère, les vices, les fléaux de la société, multiplier les effets de réel .. Mais lui ajoute d'autres caractéristiques. En effet, la documentation prend une importance majeure. Dans ce qu'il appelle ses « Carnets d'enquête », Zola recense tous les détails

louanges, Ô Satan, prends pitié de ma longue misère ! Ô Prince de l’exil, à qui l’on a fait tort, Et qui, vaincu, toujours te redresses plus fort, Ô Satan, prends pitié de ma longue misère ! Toi qui sais tout, grand roi des choses souterraines, Guérisseur familier des angoisses humaines, Ô Satan, prends pitié de ma longue misère ! Toi qui, même aux lépreux, aux parias maudits, Enseignes par l’amour le goût du Paradis, Ô Satan, prends pitié de ma longue misère ! Ô toi qui de la Mort, ta vieille et forte

Analyse de texte Victor Hugo, écrivain et député de l’Assemblée Nationale proche du peuple, décrit dans son discours du 9 juillet 1849 à l’Assemblée, la misère qui prend place et s’étend à Paris et dans le reste du pays. Nous allons, dans un premier temps, analyser ce discours pour être en mesure de prouver que dans celui-ci, son auteur est bien éloquent. Pour se faire, nous exposerons deux aspects ; premièrement, les procédés rhétoriques du discours et ensuite, nous verrons par quels moyens Victor

malheureux. La misère des Coupeau est accentuée par le contraste avec le portrait de Marescot : " couvert d'un bon paletot, ses grandes pattes fourrées dans des gants de laine ". A la fin du texte, élargissement : " On pleurait à tous les étages " : des Coupeau on glisse à toute la maison. - La gradation de la situation: L'évocation de la misère des Coupeau devient l'évocation d'un véritable calvaire. * gradations : décembre : " tous les maux, le chômage [...] les fainéantises [...] la misère noire "

Hugo devient républicain. Les émeutes de Paris en 1932 sont illustrées avec Jean Valjean et les Trois Glorieuses en avec Gavroche. LA 1 : Livre V, Chapitre X → Fantine Comment Victor Hugo s’y prend-t-il pour montrer la misère de Fantine ? I. La peinture de la misère A. Une situation due à la dureté des conditions La description de Fantine commence avec la mise en emphase de l'argent « c'est de l'argent », « 10 francs », « 40 francs », « dette », « ruinée », « créancié » car elle vient

qui vit seule et dans la misère, qui se fait maltraiter par le « peuple ». Le second texte, est un extrait de Les Misérables où le sujet principal est la mère de « la petite cosette », Fantine, qui vit elle aussi dans la misère et essaie de gagner de l'argent pour pouvoir s'occuper de sa fille. Le 3ème texte, suite du second texte, expose le problème de « l'esclavage » pour la femme en Europe, la prostitution. La visée commune à ces trois textes est de dénoncer la misère et la différence entre

Victor Hugo, a publié « Discours sur la misère » en 1849, il a écrit se discours pour lutter contre la misère Ils évoquent ici le cas d'hommes et de femmes mourant de faim Dans un premier temps nous allons voir que c'est un discours engagée et dans un deuxieme temps que c'est une dénonciation violente de a misère sociale Nous pouvons constatez que c'est un discours engagé car tout d'abord il y a l'implication de l'auteur « je » ; « moi » ; « m' » ; « je dis que ». Il utilise donc des anaphores