Mitterrand Au Parlement 8 Avril 1986

parlementaire, depuis 1875, s'inscrivent dans une continuité en consacrant toujours constitutionnellement ce principe d'irresponsabilité du président. En ce sens, tel que le bicamérisme, le droit de dissolution, la mise en cause du gouvernement par le parlement... l'irresponsabilité présidentielle est devenue un critère du régime parlementaire. De ce fait, la 5 ieme république, en disposant au sein de la constitution l'irresponsabilité politique du chef de l'état, ne fait que reprendre la tradition parlementaire

aux acteurs. La logique institutionnel ki fond tenir le tout en système. Une norme fondamentale implicite: la responsabilité politique du gouvernement devant le Parlement. Il existait une norme fondamentale dans l'ordre constitutionnel ki structure tout le système, c la responsabilité politique du gouv devant le parlement. art 49 et 50 de la constitution, élément du système parlementaire, motion de censure, démission du gouvernement, le président a l'obligation de l'accepté en principe

de la forme d’Etat (Etat unitaire décentralisé / 1982 par Mitterrand.) et la volonté de rétablir un certain équilibre dans les institutions de la Vème et notamment une volonté en 2008 de renforcer le rôle du parlement dans le fonctionnement des institutions. Le parlement français dans cette pratique des institutions a subit l’omniprésence du pouvoir exécutif. La conséquence de la valorisation de la Vème a fait que le pouvoir du parlement a complétement diminué. Il a été totalement encadré. A vouloir

DG revient donc au pouvoir. 30/31 Mai : il rencontre les chefs de partis et décide former un gvt d’union nationale. DG investit par l’assemblée nationale et devient dernier psdt du conseil de la 4ème république. Avis contres : Mitterrand (Le coup d’état permanent), les communistes et PMF. 1er Juin 1958 : DG fait une courte déclaration dvt l’assemblée. 3 Juin : 2 lois : - Loi qui donne les pleins pouvoirs à DG pr régler la question algérienne. - Loi constit qui charge le

L’article 49 de la Constitution de 1958 fait partie du Titre V : Des rapports entre le Parlement et le Gouvernement (articles 34 à 51). Il organise la responsabilité politique du Gouvernement devant le parlement. En cela, il donne à la constitution, dont la nature est discutée, un des traits principaux du régime parlementaire. Il s'agit cependant d'un parlementarisme fortement rationalisé, c’est-à-dire cherchant à assurer la stabilité du gouvernement. Il réutilise en les renforçant des éléments déjà

ne semblaient pouvoir être trouvée. Le 15 avril 1958 l’Assemblée Nationale renverse par 321 voies contre 255 le gouvernement de Félix Gaillard. Commence alors une crise ministérielle qui allait se prolonger pendant plusieurs semaines. Le Président de la République, René Coty, demande d’abord le 20 avril à Georges Bidault, partisan d’une politique de fermeté en Algérie, de constituer un gouvernement : il échoue. René Pleven est alors présenté le 26 avril, mais devant l’hostilité des socialistes, il

se met en place, ce qui marque plutôt la fin de la deuxième relance. Le sommet de Paris de décembre 1974 permet le renforcement du Parlement européen : par l’élection de ses députés au suffrage universel direct, le Parlement acquiert ainsi, une plus grande légitimité. Ensuite, le Traité de Bruxelles du 22 juillet 1975 renforce les pouvoirs budgétaires du Parlement, auparavant très limités. Aussi, ce dernier, qui ne dispose pas de pouvoirs législatifs, va-t-il utiliser son pouvoir budgétaire pour

accepté l’Union Européenne (titre 15 de la constitution). Le principe de souveraineté nationale a du s’adapter en conséquence et ainsi de + en + de norme d’origine européenne s’applique directement en France. On estime que 80% des lois votés par le Parlement français sont sous l’influence européenne. Le droit de vote qui est l’un des symboles les plus forts de la souveraineté, est partagé entre les citoyens français et les citoyens européens. La souveraineté est en crise, elle est un mythe devenu obsolète

notification des citoyens (referendum) Les conditions de fond : (  Le suffrage universel est la seule source du pouvoir (  Les pouvoirs exécutif et législatif doivent être effectivement séparés (  Le gouvernement doit être responsable devant le parlement ( Il faut assurer l’indépendance du pouvoir judiciaire (  Il faut réorganiser les rapports entre la métropole et les peuples qui lui sont associés   B- Les objectifs : la réforme de l’Etat 1. Les étapes de la révision Ce n’est pas seulement

au francais par les médias. -1965 : Plus en plus d'opposition face à De Gaulle. → mis en ballotage face à François Mitterrand (candidat gauche) -Mai 1968 : crise lycéenne, étudiante → travailleur -Accord de Grenelle règle la crise. ( hausse salaire...) -De Gaulle dissout une seconde fois l'assemblé national à nouveau gaulliste. → Victoire qu'apparente et régime déstabilisé. Avril 1969 : De Gaulle fait un référendum sur la régionalisation et le sénat → les francais disent « non » → De Gaulle démissionne