Modalisateur

Indiens, il cite leurs actes puis il montre les Indiens comme des victimes. Afin d’appuyer ce qu’il écrit, B. de Las CASAS s’engage solennellement. Il présente son rang social et durant tout son texte il va s’impliquer en utilisant beaucoup de modalisateurs. Dans le deuxième paragraphe étudié il se sert même de son rang ce qui rend solennel ses paroles. 1er partie Ce texte dévoile le comportement abject des Espagnols. L’auteur commence par exprimer, dès les premières lignes, le but de ce

infaillibles, concept auto po. Présentatifs « c’est » + présent : registre assertion. Adverbes de tps (aussitôt, tjrs) : processus empirique/ connecteurs argum -> rigueur raisonnement implacable. c) Les indices de subjectivité Adverbes modalisateurs « bien, tjrs, nécessairement, assurément » : omniprésence de l’énonciateur + effet d’insistance. « crime de lèse-majesté divine » (hypallage) : offense faite au Roi. Ici, c’est à Dieu car mon de DD instaure culte du Roi. Culte = idolâtrie. CP :

l’utilisation de négations pour signaler les imperfections et les qualités du Huron. 3- Son apprentissage passe par la religion -L’objet de l’apprentissage : seule une partie de la Bible (Nouveau Testament) est donnée à lire au Huron. Le modalisateur " enfin " est ironique. Son cerveau est vierge de toute empreinte donc le prieur va profiter de ces bonnes dispositions pour le marquer de la religion. On met en évidence ses qualités par des superlatifs : " plus vives ", " plus nette " (adjectifs

auteurs de la dépêche », Saint-Lambert n'entre pas dans un registre polémique, ce qu'il aurait pu faire compte tenu de ses convictions personnelles , au contraire, il prend en compte l'opinion de l'autre pour ensuite la réfuter. b- l'emploi des modalisateurs (très nombreux dans ce texte) qui prouvent bien que l'énoncé est subjectif par l'utilisation du caractère italique «admirer ces belles maximes » l.7 .Saint-Lambert tout au long du texte intervient directement à la première personne et s'implique

langue en fonction de l’identité de l’orateur (un lycéen ne s’exprime pas de la même manière qu’un ministre !)  Employer à plusieurs reprises les marques de l’énonciation : pronoms et adjectifs possessifs de la 1ère personne.  Employer des modalisateurs qui vont exprimer le jugement de l’orateur, dans le domaine du souhaitable (si l’on pouvait un jour obtenir la paix) ; du probable (il arrivera sans doute/ peut-être que…), du certain (il est sûr que…) ou du doute (je crois, il me semble que

pratique des cannibales (lignes 1 à 18) C’est une description diptyque ou comparative des deux pratiques guerrières. La première partie permet à Montaigne d’asseoir sa thèse. La barbarie est là pour représenter une extrême vengeance. Aucun modalisateur n’est employé, il n’y a donc aucun jugement et aucune prise de position. Le ton du discours est généralisateur. Il compare plusieurs fois les indiens aux européens, il analyse d’abord les armes qu’il compare à celle des européens. Puis, il met

de la malédiction divine comme dans l’Ancien Testament. - Le déchaînement des éléments ♦ Le VENT déchaîné → verbes d’action exprimant la violence dont le sujet est le vent : « se leva – souffla(L14) –s’engouffre (L18) – soulevait (L20)» → modalisateur adverbial dans « le vent est particulièrement redouté par les habitants d’Oran» (L16) qui sert à souligner son caractère irrépressible : « ne rencontre aucun obstacle » (L16). → métaphore traduisant aussi la violence « soulevait des vagues de

également une gradation "précipités du haut des falaises, broyés, noyés, mortellement blessés" Le roman d'aventure met en scène des héros qui vont faire des actions extraordinaires. Un modalisateur est un petit mot qui vient apporter quelque chose à la fin d'une phrase "être perdue à jamais". La place de ce modalisateur est très importante ; en effet, "atroces dangers" et "dangers atroces" sont différents. Le fait que "atroces" soit placé avant (antéposition) permet d'insister sur le caractère horrible

impératives : Vocabulaire connoté (5) Choix du vouvoiement ou du tutoiement (1) Auxiliaire de modalité (devoir, falloir, sembler, pouvoir, vouloir, etc.) (1) Vocabulaire connoté (1) Emploi du conditionnel (1) Adverbes modalisateurs (2) Phrases incidentes (1) Ponctuation expressive (2) Phrases emphatiques (1) Figures de style / procédés stylistiques (voir les passages soulignés : un seul m’apparait réellement efficace pour présenter l’opinion

durée limitée · Imparfait de l’indicatif « il n’avait » = dessiner de façon très pointue l’environnement + décrire actions * Modalisateurs : comme dit précédemment, énoncé coupé = modalisateurs pas présents - Cependant : beaucoup de termes traduisent par leur connotation une adversité sourde « nuit sans étoiles », « froid », « vent d’est ». - Description mine : peu engageante = cite industriel pas présente