Modalisateur

l’excipit de L’étranger I Un héros déconcertant, (c a d surprenant) 1) Un héros car le personnage est le narrateur et que le roman n’est constitué que de son point de vue - le roman a la forme d’un monologue ( marque de la 1ère pers et modalisateurs (c a d termes servants à nuancer des propos) exs : ds l’excipit « je crois que j’ai dormi » «il m’a semblé que je comprenais ». ← l’ incipit commence in medias res c a d qu’on prend le récit en plein milieu des pensées du pers sans savoir

style simple. - C'est un enfant: lexique + banalité du style avec verbe introducteur du D.D toujours le même "dit" + phrases courtes qui montrent une pensée peu élaborée. 3. Un étranger - on note une volonté de respecter les codes sociaux avec modalisateur: "il a fallu" + soucis du respect des usages: "je pourrai veiller", "cravate noire", "brassard". - Mais il reste tout de même étranger aux sentiments qui accompagne ces codes sociaux car il n'essaye pas de paraître triste. CONCLUSION Ce texte

«anti-Tartuffe» vont-ils réussir à se débarasser de l’imposteur ? b) une scène comique Comique de caractère: caricature de Mme Pernelle: bavarde autoritaire (injonctions + coupe parole) -impolie moralisatrice (vocab. moraliste + modalisateurs) ce qui est paradoxal fermée, hermétique -catégorique, bornée pitoresque = sotte agitée («on a peine à vous suivre») Argumentation ridicule (basée sur des arguments ad hominem) ★ Comique de mots: ironie avec

sur son maître, il défend la morale traditionnelle honnête « vertu »l6, « honnête »l5. Il défend la foi chrétienne, il se pose en représentant de la foi « nous » l69. Il sait nuancer ses propos l29 « je gagerais presque » emploi du conditionnel modalisateur pour nuancer son propos. Sganarelle est capable d’ironisé l44, l39-49. Sganarelle veut s’affranchir de DJ l85 à 88. Acte 3 sc1 Sganarelle défend Dieu. Il refuse sa soumission, il construit un discours qui est destiné à s’opposer à son

et de l’excipit de L’tranger I Un hros dconcertant, (c a d surprenant) 1) Un hros car le personnage est le narrateur et que le roman n’est constitu que de son point de vue - le roman a la forme d’un monologue  marque de la 1re pers et modalisateurs (c a d termes servants nuancer des propos) exs : ds l’excipit ?~je crois que j’ai dormi  il m’a sembl que je comprenais . 3)l’ incipit commence in medias res c a d qu’on prend le rcit en plein milieu des penses du pers sans savoir qui il est

d'écriture utilisés par l'auteur Remarquez-vous des répétitions, des anaphores, des métaphores, des comparaisons ? etc... 4. Vérifier si l'auteur utilise des modalisateurs pour affirmer , réfuter ou nuancer son propos

connotation ? oppositions ? associations intéressantes ? Les verbes : leur type (verbes d’état, de mouvement…)/ leurs temps/ leur mode (actif, passif) l’énonciation : les pronoms, leur rôle/ implication de l’énonciateur ? (termes évaluatifs, affectifs, modalisateurs ) /interpellation du destinataire (pronom, question, apostrophes) / types de phrases les figures de style : images : personnifications, métaphores, comparaisons énumérations, répétitions, anaphores, parallélismes, hyperboles, antithèses, ironie…

anthropologie... Si toutefois R. Jakobson, E. Benveniste, Ch. Bally étudient certains aspects du procès de l'énonciation, c'est uniquement dans la mesure où le code linguistique (dans le système des pronoms, des embrayeurs, du système verbal, des modalisateurs...) porte la trace systématique et manifeste, objectivée, de la subjectivité des locuteurs. Là encore, ce n'est donc pas la subjectivité toute puissante, infiniment variable dans ses manifestations discursives, qui les intéresse, mais plutôt

faute sur Lescaut (discours direct)· Accuse indirectement Lescaut (interrogation) Fini par le remercier • un héros conscient ou inconscient ?· Héros tente déresponsabiliser une nouvelle fois· Conscient d’avoir été sauver malgré sa mauvaise fois (modalisateur « sans doute »)· On peut se demander si il est réellement conscient de la portée de son acte : sur dernier mot il ne pense qu’a lui-même

sages, êtres sensés, jouir »), péjoratifs pour celui des européens et au regard qu’ils portent sur les sauvages (« inutiles, dignes de mépris, pénibles efforts, … ») . Opposition « nous » / « tu » : idée implicite de supériorité. 4. Nombreux modalisateurs par lesquels il affirme sans détours sa position : « ce que tu appelles…, besoins superflus, biens imaginaires, te tourmenter, t’agiter… ») 5. Les valeurs qu’il rejette : celles des européens, qui se résument à des « besoins factices » (nourriture