Modalisateur

montre que tout est organisé, planifié ce qui renforce aussi le style très épuré. Le narrateur dans cet extrait est très soucieux des codes à respecter. Ses sentiments sont complètement gommés par ce souci-là. Le détachement se traduit par des modalisateurs ( peut-être, sur ). Ils montrent le degré de conviction. « Peut-être répété à deux reprises dans le premier paragraphe. Du coup, le scandale de l’ignorance de la date de la mort de sa mère est exacerbé. Le passé composé produit l’effet que les

point qu’il s’assoupit peu de temps après, par conséquent, Jeanne est indignée comme nous pouvons l’observer dans l’emploi de points d’exclamations de la ligne 1863 à la ligne 1864. Cet outrage brouille l’esprit de Jeanne et malgré que le verbe modalisateur « sembler »(l.1845) traduit qu’elle ne veuille pas s’en rappeler, ce souvenir l’empêche de dormir. C0elle-ci passe une nuit blanche à se recueillir et la gradation des couleurs pour montrer que le jour se lève met en évidence qu’elle souhaite être

entre les deux protagonistes est envisagée. Récit à la 3è personne. Les plus que parfait "avait attendu" puis "s'était assoupie" renforcent cette attente du personnage principal (action antérieure et aspect accompli + début "in medias res") modalisateur "croyait avoir vu" : pas de certitude, subjectivité + imparfait duratif avec adverbe de temps "puis", "depuis 8 jours" et "jusqu'à deux heures du matin" : situation temporelle , ce soir là. Sorte de concentration du temps pour arriver au moment

déplaisent: " la science n'est rien ici..."- relever le passage de monologue intérieur -Tous les termes qui renvoient au savoir sont employés dans des phrases négatives.Désillusion de Julien marquée par l'interjection : "hélas" et par le terme modalisateur: "piège".Pour réussir au séminaire, il faut 'tre soumis et affecté une foi purement extérieure II Des épreuves pénibles A) La malveillance des autresOn se venge de lui: le nombre de ses ennemis, la tension de Julien, la relation de conflit.+

indifférent -A la mort de sa mère, il n'éprouve pas de sentiments. -Sa mort marque seulement la modification de son emploi du temps, même pas de marque de tristesse. -La compassion de ses proches le gêne. -Son expression est sans modalisateurs ni expressivité dans les phrases. -Il tient des relations étranges avec les autres (mère : affaire classée, patron:par l'air content tendue, au restaurant neutre : comme d'habitude, le militaire ouvert mais opposé a meurseault qui b) Une

société En critiquant les défauts de la société, l’auteur d’un essai met en évidence un idéal de compor- tement qu’il tend à louer. Tout réquisitoire porte en creux un plaidoyer. a) Un discours polémique Accusation directe de l’homme à travers des modalisateurs dépréciatifs (« jalousie honteuse », l. 3 ; « ses vices », « ses défauts », l. 11). L’étude du mode d’argumentation peut également révé- ler la dimension polémique de ce discours : expo- sition et critique des arguments adverses par le biais des

historique du cumul de savoirs, de techniques et de pratiques issu des échanges des cultures. L’auteur emploie les mots « fatalité » et « tare » à la ligne 55 pour parler comme un ethnocentrique et ainsi s’en moquer. Il est prudent (on le voit grâce aux modalisateur), concessif (l.13) et non catégorique. Il montre que la civilisation résulte des échanges entre les cultures. Pour révoquer l’ethnocentrisme, il expose au troisième paragraphe qu’une société est fonction de « leur conduite plutôt que de leur nature »

un avantage» montre l'avis et le jugement d'Harpagon. Valère éxagère lorsqu'il donne raion à Harpagon, «Ah! Il n'y a pas de réplique à cela...» il surfait pour que son maître ne se doute de rien et ne comprenne pas son double jeu. →verbes modalisateurs: {pouvoir l.16 «pourraient»: conditionnel → possibilité, hypothèse l.10 «peut» {«assurément» l.10 {«devoir»: l.12 Ici, Valère atténue ses propos. Pronoms renvoyant à la situation d'énonciation Pronoms impersonnels indéfinis

la même idée », l.11 on en tire des conclusion qui marque la conséquence elle-même explicitée par « c’est en cela » l.16 et de la conséquence au raisonnement concessif : « d’une certaine manière » l.20. Le ton est toujours neutre, il n’y a aucun modalisateur ou marque de subjectivité, cela tend à nous montrer la nécessité du dépassement de la représentation de la révolte, il suite quatre idées : La première est la simultanéité entre l’expression du non et du oui. Elle est illustré par un martèlement

focalisation interne où le narrateur adopte le point de vue d'un personnage dont on ne connaît pas l'identité. On voit la scène à travers les yeux de ce personnage qui rapporte sa version de la mort de Gervaise et porte un jugement, on le voit grâce aux modalisateur « apparemment » et « joliment  saoul ». On relève également des verbes de perception «voire » l.15, « découvrir » l.15. On peut néanmoins imaginer que c'est un (ou plusieurs) voisin(s) de Gervaise ou un (ou plusieurs) habitant(s) du quartier de