Modele Taylorien Fordien

de travail des travailleurs et ainsi leur permettre de s’intéresser plus à la politique. « Le taylorisme reste la bête noire des travailleurs et l’expérience de référence des sociologues du travail. » (p.30). 3. La chaine fordienne. « Le système fordien s’inscrit dans la continuité du taylorisme, tout en marquant une rupture… » (p.30). il va y avoir encore plus de standardisation et pour limiter la perte de temps entre les différents postes Ford va introduire un convoyeur automatique

par un ensemble de relations par où circulent des biens et services, des informations, des influences, des sentiments. L’entreprise possède une identité, une culture, des valeurs. 3. Dimension politique : elle comporte des acteurs qui cherchent à modeler la réalité d’une façon conforme à leurs intérêts propres. C’est un lieu de confrontation et de négociation entre des individus qui cherchent à nouer des alliances et des coalitions pour détenir le pouvoir. 14 I.U.T. Bordeaux Montesquieu – Département

Emergence d’une fonction personnel : gestions des carrières, s’occupe des œuvres dédiées au personnel). * La gestion de production comme mode de contrôle : gestion de la qualité. Utilisation de statistiques (logique scientifique du management taylorien). Organisation rationalisée du travail : planning, diagramme de Gantt. * Le contrôle des filiales : objectifs : spécialisé une entité, alliances avec des concurrents (filiales de commercialisation), améliorer la rentabilité des capitaux de l’entreprise

méthodes et techniques dans le but d’accomplir la transformation ces matières en produits fini. les enjeux actuels de la gestion de production Après les systèmes tayloriens-fordiens, un nouveau modèle productif est apparu « lean manufacturing » ou encore de production flexible cette flexibilité a poussé les entreprises à adopter un modèle, LE JUSTE A TEMPS ou LEAN, qui se base sur : * La qualité totale * La réduction des délais * La réduction des coûts * L’adaptabilité aux variations

des voitures plus confortables, notamment des « conduites intérieures » 1, et plus représentatives de leur statut social, quitte à payer un peu plus cher, le développement de la vente à crédit leur donnant d’ailleurs la possibilité de s’offrir un modèle supérieur. À une demande bipolarisée, avec d’un côté le haut de gamme très diversifié et de l’autre le véhicule standard bon marché, se substitue une demande qui commence à se hiérarchiser en strates entre les deux pôles antérieurs. L’incertitude

un marché liquide (SICAV). 2ème : les actifs qui ne s’échangent pas sur un marché, exemple : les crédits. 3ème : les produits qui s’échangent sur un marché qui n’et plus liquide. La « FAIR VALUE » s’appuie sur un modèle qui s’appelle « MARK to MARKET » c’est un modèle Pro cyclique 6) Responsabilité par rapport à la crise : Tout le monde est responsable, et c’est bien çà le problème majeur de la crise, tout le monde a profité du mouvement de régulation financière, y

organisations prend son essor réellement dans les années 1940-1950 aux États-Unis, à partir de réflexions sur le phénomène bureaucratique souvent relié à l’essor du taylorisme dans les entreprises. On peut ici relever que le modèle taylorien se rapproche sensiblement du type idéal (modèle bureaucratique rationnel-légal) décrit par Max Weber (« Economie et Société") à propos des formes d'autorité et d'organisation dans la société industrielle. Selon Max Weber, le système d'administration bureaucratique

travailleurs au sein de la société. Le courant sociologique ainsi constitué, la « sociologie du travail », s’est progressivement affaibli à partir des années 1970, avec la montée en puissance de nouvelles formes d’organisation éloignées des principes tayloriens et fordiens de rationalisation du travail. Partie 1 - L'organisation du travail : théories et réalités 8 De la sociologie du travail à la sociologie des organisations Bien que l’image de l’entreprise renvoyée par les sociologues du travail

peut rien y faire, il faut y passer. Collaborons donc pour rendre malgré cela la vie de l'entreprise la moins désagréable possible. Apportez-nous vos suggestions et vos critiques, nous les intégrerons tant qu'elles sont compatibles avec le cadre taylorien global. Les " petits chefs "? C'est vrai, ils ne servent plus grand-chose: on peut les supprimer. Ce faisant, on assiste à un véritable retour aux sources du taylorisme. Les brimades, vexations et autres humiliations si fréquentes dans les grandes

les entreprises cherchent à obtenir un redémarrage des gains de productivité en adoptant une nouvelle organisation du travail : le toyotisme. Mais cette forme d’organisation du travail d’origine japonaise qualifiée dans un premier temps de post-taylorienne, n’a pas engendré tous les effets attendus et la réalité de l’organisation du travail fait davantage penser à un néo-taylorisme. C’est que ces modes d’organisations du travail successifs produisent des répercussions sur les relations professionnelles