Modele Taylorien Fordien

Introduction générale 3 Chapitre 1 : l’école classique 7 I) Taylor et l’OST 7 1) Les principes 7 2) Les disciples de Taylor (Ford principalement) 9 3) Les limites du modèle taylorien 10 II) Fayol et la gestion administrative 10 1) Fonctions 10 2) Les principes 11 3) Les disciples 11 III) Urwick et sa théorie organisationnelle 11 IV) L’apport de Gulick 12 V) Après Urwick et Gulick : la théorie de la départementalisation. 13 VI) Webber et la bureaucratie. 14

un syst mais il est ouvert sur l’ext. On l’appelle la pensée systémique : syst qui réagit aux aléas de l’env. 3)L’org comme un cerveau : Approche complémentaire av org vivant. Le cerveau traite l’info. 2 idées ppales : - La rétroaction : modèles fondés sur le contrôle de gestion. - Le cycle de vie de l’entreprise mais aussi de produits, portefeuille d’activités. Syst qui n’est pas stable, cad qui est en adaptation permanente av l’env, syst évolutif, dynamique. Recherche permanente d’équilibre

traditionnelles * La structure par fonction (Taylor) * La structure pyramidale ou hiérarchique (Fayol) * La structure Staff and Line * La structure par division La structure par fonction : Taylo Le principe de la structure taylorienne est le principe de la spécialisation. La compétence justifie l’autorité. On remarque qu’une personne peut être subordonnée de deux personnes. Avantages : * Favorise la spécialisation * Répond aux besoins en grandes séries ou aux productions

recevront prochainement le programme de la conférence. La croissance du travail atypique : un défi pour les politiques publiques ’emploi à temps plein, à vie chez le même employeur et dans la même implantation, caractéristique de l’entreprise fordienne, n’est plus la figure dominante dans le monde du travail, même s’il reste toujours majoritaire. A côté de cet emploi typique, ce sont actuellement d’autres formes de travail et d’emploi qui s’imaginent, s’expérimentent et se développent … pour le

des produits. 2. Développement historique de la GP: Quelques jalons : Les modèles productifs ont connu une évolution importante tout au long de l’histoire étant donné que les contraintes posées, les produits fabriqués et la demande affectée à la production ont de même beaucoup changés avec le temps. Le problème posé est alors de savoir s’il y a eu phénomène de continuité entre les différents modèles? Les modèles productifs ont certes du faire preuve d’adaptation à leur environnement, technique

de Ford, mais elle a eu pour origine l’absence des conditions nécessaires pour qu’il devienne un modèle productif durable dans l’entre-deux-guerres aux Etats-Unis et ailleurs. Le Monde réel n’était pas le Monde dont rêvait Ford à travers son système. Ce dernier sera rapidement concurrencé par le système inventé par General Motors, sous l’égide de son CEO Alfred Sloan, et appelé depuis le modèle sloanien. Les deux systèmes ont été abusivement confondus, alors qu’ils sont conceptuellement et

courant (à la fois scientifique et d’action), ainsi que ses origines psychosociologiques, on souligne la volonté de changer le mode de commandement (de le rendre plus participatif), sans pour autant remettre en cause les fondements de l’organisation taylorienne, ni sa réalité. Présenté pourtant comme une alternative au taylorisme, qui dès les années 20 présentait des signes d’inefficacité, le courant de relations humaines semble, à l’usage, plus proche d’une “ couche humaniste ” sur un mode de rationalisation

tâche. Une fois cette analyse du travail effectuée, il convient de sélectionner la personne la plus apte à réaliser la tâche, de la former et d ’établir un système de rémunération variable selon les quantités produites. C ’est le modèle de l ’entreprise fordienne, avec le travail à la chaîne, bien rendu par le film Les temps modernes de Charlie Chaplin. © M PREURE/ IICOM 2010 L’École Classique (F.W Taylor et H. Fayol ainsi que R.C Davis) (2) Concept scalaire – L’entreprise est structurée

concurrentiel, dominé par les principes libéraux, l’émergence progressive, au XX siècle, d’un capitalisme organisé est visible à travers un rôle accru de la grande entreprise et de l’Etat, et la présence de protections sociales fortes. Manifestement, ce modèle est rentré en crise à la fin du siècle amenant certains auteurs à pronostiquer l’avènement d’un capitalisme qui renoue par certains aspects avec le libéralisme économique. Thème 1 : CROISSANCE, CAPITAL ET PROGRES TECHNIQUE Chapitre 2 : Les sources

fructifiant de recourir aux différentes théories managériales, à la fois, pour construire son propre style de management, et pour éviter les effets néfastes de tout jugement personnel en voulant construire sa propre théorie ? « Vos organisations sont tayloriennes ; mais le pire, c’est que vos têtes le sont. Vous êtes totalement persuadés de faire bien fonctionner vos entreprises en distinguant d’un côté les chefs, de l’autre les exécutant, d’un côté ceux qui pensent, de l’autre ce qui vissent »[12].Ici