Modele Taylorien Fordien

entreprise industrielle. Il devient dirigeant en sachant progressivement s’entourer et en gardant suffisamment de disponibilité pour travailler les questions stratégiques et déléguer le reste à son équipe. La problématique Il semble qu’une fois le « modèle » mis en place cependant, il n’évolue plus beaucoup, ce qui peut expliquer une dépendance progressive, larvée, de l’entreprise vis-à-vis de ses distributeurs. Ainsi, le « projet » évolue mais réellement par rapport à ce qu’a voulu le porteur, le

et en se fatiguant beaucoup moins..Les meilleures conditions sont également dues a deux événements Ces deux événements sont l’abandon des modèles Taylorien et Fordien et la plus grande autonomie des travailleurs. Pour le premier cela signifie que de nos jours les taches des travailleurs sont plus diversifiés. Rappelons rapidement que ces deux modèles de production qui sont le taylorisme et le fordisme consiste a séparer les taches et a placer un travailleur spécialisé dans le domaine de cette

le type de remède. PRUDHON fidèle aux valeurs du modèle de l’artisanat, proposera de retourner à une forme artisanale de travail, de recombiner les taches parcellaire et de reconstitué un travail intégré. Marx ne voit de solutions que dan la fin du capitalisme, autrement dit dans l’avènement d’une société communiste ou le temps considéré au travail serait considérablement réduit. Ces auteurs tendent d’expliquer la substitution du salariat au modèle du travail artisanale et du travail à domicile. Le

d’un point de vue conceptuel, comment s’opère le glissement d’une organisation standardisée vers un processus productif complexe (section 2). L’étude du passage du modèle taylorien-fordien au toyotisme illustre de façon complémentaire et concrète les mutations successives de l’organisation de la production. La description de ces deux modèles favorise non seulement leur appréhension, mais aussi leur analyse critique quant à leurs fondements et leur légitimité (section 3). Enfin, l’activité productive de

la croisée des chemins Depuis la fin de Bretton Woods 4 grands types de capitalisme : - Le modèle rhénan ( ex : Allemagne, Japon):  Réseau dense d’institutions intermédiaires entre l’Etat central et les agents économiques individuels (associations professionnelles, syndicats forts, grandes entreprises, groupe financier,…)  Large polyvalence de la main d’œuvre - Le modèle anglo-saxon( Etats-Unis, Grande-Bretagne, Canada) :  Décentralisation  Peu de médiations syndicales

Chapitre 2 : Travail et emploi I. Organisation du travail et croissance A/ Taylorisme et fordisme 1. Le taylorisme ou l’organisation scientifique du travail (OST) 2. Le fordisme, entre modèle industriel et modèle de société 3. L’avènement de la société salariale 4. TD : Formes « traditionnelles » de l’organisation du travail et affirmation de la société salariale B/ Les NFOT 1. Échecs et contradictions du tayloro-fordisme 2. Le toyotisme et la gestion à flux tendus 3. L’effritement

centrale du capitalisme -Une mise en perspective théorique -Unie mise en perspective historique -La diversité de l’entreprise -L’environnement de l’entreprise (diversité d’environnements) 2/ Organisation et structure de l’entreprise -Les différents modèles d’organisation -Les grandes fonctions de l’entreprise (et l’articulation entre elles) -Les grandes problématiques de l’organisation (March, Simon= les behavioristes) 3/ L’Entreprise dans la mondialisation -Les stratégies de croissance externes (fusions

l’origine de la fin des « Trente Glorieuses ». Cette période est caractérisée par une faible productivité due à l’essoufflement du modèle fordiste et à la saturation de la demande, mais elle s’accompagne aussi d’une montée du chômage et de l’inflation. La conséquence est une croissance faible, atone, qui engendre la nécessité d’effectuer des transformations au sein du modèle productif. De plus, les économies s’ouvrent sur le monde et les marchés doivent s’adapter à de nouvelles contraintes et innovations

pièces, matières premières) est stocké à portée de main. Cela réduit déplacements, flânerie et « temps morts ». 2. L'OST met en place une division verticale du travail (séparation entre tâches de conception et d'exécution) L'organisation taylorienne implique un encadrement très strict des ouvriers. Pour cette raison, il devient également nécessaire de séparer le travail de conception du travail d'exécution. Les ouvriers font ce que les ingénieurs, qui ont étudié scientifiquement le processus

Stress au travail, cadences et remise en cause du management font régulièrement la une de l'actualité. Les nouvelles formes d'organisation du travail, comme « lean manufacturing » seraient la cause de ces crises à répétition. Mais qu'en est-il de nos modèles traditionnels ? Sont-ils encore source de progrès ? N'est-il pas nécessaire de les faire évoluer ? Voici des questions fondamentales, dont notre industrie ne peut faire l'économie. Écrit par Ludovic_Ott Voir son profil Les récents événements