Méthode Rationnelle De Prise De Décision

des motifs d’une décision ». Ce sont les chercheurs et les managers qui ont développés la notion de motivation au travail, à mesure qu’ils essayaient de mieux comprendre le fonctionnement des organisations, et des entreprises. De tout temps on s’est posé la question qui fera émerger ce concept : qu’est-ce qui pousse ou qu’est-ce qui suscite la décision de l’individu de se comporter de telle ou telle façon selon le contexte, d’agir dans telle ou telle direction selon sa décision ou sous pression exercé

construit, devient un étalon permettant d’apprécier la réalité. … de la bureaucratie. Weber utilise la méthode de l’idéal-typique pour caractériser la bureaucratie (Economie et société, chap.XI; cf. éd. allemande ou trad. américaine). Cette forme organisationnelle se caractérise notamment par: des règles impersonnelles, une organisation rationnelle du travail et une centralisation de la prise de décision -et son corrollaire la hiérarchisation. 1/ Contexte. Au début du siècle, Max Weber est confronté à

décentralisation coordonnée. c) Octave Gélinier. * Les règles pour l’efficacité des entreprises. Section 2: l’école systémique et la prise de décision: a) MINTZBERG. * Les configurations de Mintzberg. b) Herbert Alexander Simon. * La théorie de décision. c) Harry Igor Ansoff. * La stratégie. d) Richard CYERT et James MARCH. Section 3: L'école de la pensée Japonaise: a)

Elle suppose un but formel, une division des tâches et une attribution des rôles, un système de communication, un mécanisme de prise de décisions, un ensemble de règles d’évaluation de l’activité. Cependant, il existe plusieurs types d’organisations dont l’organisation autoritaire qui se caractérise par une centralisation du pouvoir et un monopole de prise de décisions par les dirigeants. Plusieurs grands courants de pensée se dessinent, chacun privilégiant une approche particulière de l’organisation

alternative managériale possible 26 2) Likert : du principe des relations intégrées au style de direction 27 A) L’auteur 27 B) Le principe des relations intégrées 27 C) Les styles de direction et de management 27 II) La théorie de la décision : H.A.Simon et la théorie de la rationalité limitée 28 1) H. A. Simon : l’auteur 29 2) Le modèle décisionnel de Simon 29 3) La rationalité limitée selon Simon 30 III) La théorie du comportement : Cyert et March 31 1) Les auteurs 31

développement. Elle impose d’agir avec raison, d’appliquer des méthodes et des normes de gestion pour limiter la prise de risques et assurer la pérennité de l’entreprise. Elle suppose planification, hiérarchisation et formalisation, et se traduit par des décisions rationnelles et mesurées. B) La complémentarité La survie de l’entreprise repose sur la capacité des dirigeants à prendre des décisions tant opérationnelles que stratégiques : – les décisions opérationnelles, courantes et répétitives, concernent

modèle simplificateur de la réalité avec le recul d’ojourd’hui. De plus, on a à la tête d’un entreprise un décideur rationnel, c’est à dire quel que soit le décideur on aboutit à la même décision => ojd c’est impossible. Décideur rationnel => quelqu’un qui a toutes les infos nécessaires à la prise de décision à sa disposition => info accessibles, gratuites. Le décideur rationnel traite les infos ou sait les traiter => c’est à dire que tous les décideurs ont les capacités intellectuelles

processus de production ou à la découverte de nouveaux | | |produits ; | | |- c'est la prise de risque qui renouvelle en permanence le tissu industriel, stimule le progrès | | |technique et satisfait au mieux le marché par les effets induits de la concurrence ; | |

capacité d’innovation de l’entreprise, c’està-dire sa manière d’effectuer des combinaisons économiques (rémunération du risque) ; - les innovations peuvent être liées au processus de production ou à la découverte de nouveaux produits ; - c'est la prise de risque qui renouvelle en permanence le tissu industriel, stimule le progrès technique et satisfait au mieux le marché par les effets induits de la concurrence ; - l’entrepreneur, celui qui prend les risques, est toutefois menacé par la bureaucratie

culturel : structures mentales et comportement des hommes. Le système marketing global d’une entreprise. Six composantes intégrées : • Environnement • Les stratégies de l’entreprise et de ses concurrents • Les variables de décision (produit, prix, promotion) • Circuit de distribution et force de vente • Comportement d’achats • Vente du secteur, les ventes de l’entreprise et des coûts. Modélisation marketing : anticiper les conséquences des stratégies commerciales