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Note de lecture : un monde vulnérable, pour une politique du care. L’avant propos de Liane Mozer est exellent, mais malheureusement je ne m’en souviens plus. Pour ce qui est du premier chapitre, l’auteur explique le développement de la division sentiments moraux et morale rationnel. Pour ce faire, elle montre un parallèle entre le dévelloppement du marché capitalste corrupteur, et le besoins de conserver un nminimum de morale contextualiste à l’aide du foyé, dernier rempart contre la cupidité

travail n’est plus source de plaisir mais juste un travail motivé par le seul goût du profit. Cette idée que de plus en plus de personnes « cherchent un travail pour le gain » est cependant nuancée par le « mais » à la fin de la ligne 3. En effet Nietzsche s’attarde sur les personnes qui pratiquent un emploi pour la joie de faire et la gaieté de se lever le matin en se disant qu’ils vont faire quelque chose qu’ils aiment. Et que même s’ils n’ont pas à la fin du mois un salaire exceptionnel, ils auront

satisfaire son désir avec la réalité donnée, avec le milieu réel: comme l'animal qui change d'endroit lorsqu'il y a une sécheresse ou lorsque la nourriture manque. Est-il possible de se satisfaire en restant fidèle à la terre selon l'expression de Nietzsche ... ... Quelques pistes: => Se satisfaire de la réalité, n'est-ce pas s'en tenir au présent, au besoin, se réduire à l'animalité qui broute et se contente de ce qu'il y a. => Les stoïciens: ne s'occuper que de ce qui dépend de nous. =>

toutes les richesses, ne sait pas mettre fin à sa conquête. Descartes a bien soin de préciser que c’est là un exercice extrêmement difficile. Selon Nietzsche la condamnation du désir n’est rien d’autre qu’une manifestation du nihilisme, une dépréciation de la vie qui naît de la peur de souffrir car, dans la vision dyonisiaque du monde prônée par Nietzsche, souffrance et plaisir sont indissociables. Les morales du désir témoignent bien d’une certaine manifestation de l’instinct de conservation de la

Tout d’abord, le projet de « TPE » a été pour moi un moyen d’acquérir une certaine forme de maturité, qui se différencie de celle que l’ont peut obtenir grâce à d’autres travaux que nous sommes susceptibles de réaliser lors des cours délivrés tout au long de l’année. C’est en effet, pour moi, une expérience totalement nouvelle qui met en avant l’autonomie de chacun. J’avais déjà eu l’occasion de participer à des travaux obligatoires en groupe, mais pas de la même ampleur. Je pense que pour réussir

SESSION 2008 France métropolitaine - Réunion BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE ÉPREUVE E 5 PHILOSOPHIE Série STAV Durée : 2 heures ____________________________________________________________ _________________________ Matériel(s) et document(s) autorisé(s) : aucun ____________________________________________________________ _________________________ Le sujet comporte 3 pages Le candidat traitera au choix l’un des deux sujets suivants : ____________________________________________________________

Séance 7 : Lecture analytique : V, 4 de L’Ecole des femmes, Molière La confrontation entre Arnolphe et Agnès Passage : « Eh bien, faisons la paix. Va petite traîtresse » jusqu’à « Mais un cul de couvent me vengera de tout » Questionnaire pour préparer la lecture analytique : 1) Voyez la progression des répliques d’Arnolphe. Donnez un titre à chacune de ces étapes. 2) Quel est le mode principalement utilisé par Arnolphe ? En quoi l’utilisation de ce mode est-elle pathétique ? 3)

conscience d'être. b) Mais je peux prendre conscience de cette méconnaissance. Kant Freud Nietzsche Ce dont j'ai conscience, c'est ce que je veux, désire et fais mais non les causes qui expliquent ce que je veux, désire et fais. Les hommes sont conscients de leurs actions et ignorants des causes par où ils sont déterminés. Je ne suis pas réellement ce que j'ai conscience d'être. (Spinoza) Nietzsche rejoint Spinoza dans la critique qu'il développe du cogito cartésien. Le privilège accordé

Explication de texte Philosophie Ce texte, écrit par le philosophe Nietzsche, propose une réflexion sur la vérité et ses valeurs. Pour l’auteur les vérités découvertes pas les hommes sont « entièrement anthropomorphiques », c'est-à-dire qu’elles sont données par une vision humaine du monde et non universelle (ligne 6 à 13). Nietzsche cherche à travers ce texte à démontrer sa thèse en affirmant que quand une personne découvre une vérité elle ne fait que découvrir quelque chose de semblable a

Poser le problème du rapport entre l'humanité et la nature revient à mettre l'homme dans une situation paradoxale : il est un être naturel, dans la mesure où il est vivant, mais il veut, désire s'en libérer car doué de raison et d'intelligence. Que nous l'ayons pour notre plus grand bien (l'intelligence) et qu'elle serve notre ruine, nous devons changer notre vision de la nature et ne pas la considérer comme un simple support que nous modifions selon nos envies. Suivre la nature nous pose certaines