Nietzsche Critique Descartes

philosophique : Descartes, Méditations métaphysiques - C’est d’ailleurs à ce résultat que parvient Descartes quand celui-ci s’interroge sur la nature du moi. L’expérience du doute le conduit à isoler une identité, un sujet fondé sur la toute-puissance de la pensée. Son cogito est l’expression directe et immédiate de la conscience de soi revendiquant à la fois sa nature (la pensée) et sa condition (l’existence). → Donc, être soi-même pour Descartes c’est faire

nous ne sommes pas omniscients. A quel niveau se situe donc la difficulté du concept de liberté et pour qui cette difficulté se présente-t-elle ? Est-ce au niveau de l'agent des actes ? En effet, la volonté est une faculté au pouvoir infini selon Descartes et lorsqu'elle n'est pas alliée à la connaissance de la vérité, la liberté peut même nous rendre esclaves : même s'il présente certaines conditions de réalisation et donc par là même une difficulté, un acte véritablement libre semble tout de même

cette tradition, l’action est taxée d’immoralité et son auteur lui-même la considère ainsi : car elle ne résulte pas de l’obéissance à la tradition. Nietzsche, Aurore On peut rapporter cette opposition entre faire son devoir et agir librement à une opposition plus générale entre morale et liberté : agir moralement, c’est renoncer à agir librement. Nietzsche notamment développe cette thèse dans Aurore. L’homme libre est en effet qualifié d’« immoral » et on comprend donc inversement que l’homme moral

Questions pratiques examen #2 : Darwin, Marx & Nietzsche Darwin: Question courte #1: Expliquez pourquoi une variation avantageuse pour une espèce ne peut que se developer et s’accroitre jusqu’au point qui est le plus bénéfique pour l’espèce en question ni plus, ni moins. 100 mots minimum. À discuter à mon rendez-vous avec M. Fortin, car j’ai beau relire mes notes de cours, je ne vois pas pourquoi elle ne peut pas être plus ou moins. Je comprends qu’une variation avantageuse pour une espèce

ILe sujet AUn sujet doué d'une conscience souveraine La vision d'un sujet souverain et maître de soi est défendue par plusieurs courants : Les rationalistes, tels que Descartes, pour qui l'homme est avant tout un être de conscience et de raison. Le sujet est pensant et conscient de soi : il a notamment la faculté de dire « je », comme le montre Kant. De plus, le sujet est immédiat avec lui-même : la conscience de soi est indépendante de toute extériorité ou toute médiation. Enfin, le sujet est

tort ? ⇒ Peut-on nier l’évidence ? ⇒ Faut-il préférer le bonheur à la vérité ? (Sujet TES Bac 2006) ⇒ Puis-je être sûr de ne pas me tromper ? «Il vaut mieux ne jamais chercher la vérité sur quelque objet que ce soit que le faire sans méthode.» (Descartes) La possibilité du mensonge, de la dissimulation, nous amène à poser une question : puisque nous pouvons nous passer de la vérité, quel besoin avons-nous d’elle ? A quoi nous sert-elle ? C’est là la question de la valeur de la vérité. Il convient

- Je suis ce que je suis car j’ai une conscience de moi et de mon existence. Pour Descartes, je suis un sujet pensant, un cogito qui prend conscience de lui-même. La conscience, c’est le retour de l’objet perçu vers l’acte de percevoir. Quand je veux un objet, je sais que je suis le sujet de la volonté, que je suis voulant. La caractéristique de l’être humain conscient est qu’il doute. Et selon Descartes, il faut douter de tout pour nourrir sa conscience. - Je suis ce que je suis car je

de l’ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais. » René Descartes (1594-1650) La conception cartésienne de la conscience comme substance pensante est indissociable de la démonstration du cogito. En tant que savant cherchant un fondement solide pour fonder les sciences, Descartes a besoin d’une certitude rationnelle indubitable comme levier d’Archimède. Ce socle au fondement de la science c’est le « je pense donc

d'esclave en fuite2 », s'il me dévoie en des chemins de tumulte, alors je ne me conduis pas selon une règle que je me suis donnée, je ne fais que suivre en aveugle les brisées du corps. I : Le corps n’est pas un malheur pour la conscience n Descartes, sur un plan philosophique, à l'intérieur d'une démarche qui cherche méthodiquement à découvrir une vérité, entièrement indubitable », décide de se débarrasser « une bonne fois » de tous les préjugés reçus depuis l'enfance. Dans cette perspective

situations où le « je » paraît totalement désolidarisé de la morale consciente. * N'importe quel esprit correctement conçu possède la faculté de s'interroger et de remettre en question les concepts classiques de notre société. En ce sens, René Descartes adopte dès la Renaissance la technique du « doute méthodique » pour concevoir le monde de façon tout à fait certaine, en démontrant chacune des vérités « évidentes » pour la société mais qui reste indémontrables. Son hypothèse fondatrice étant que