Nietzsche La Presse

l’ennui, le vice et le besoin.-K. Marx : le travail permet à l’homme de produire ses moyens de subsistanceAxe 2  : Le travail ne se limite pas à la simple satisfaction de ses besoins Auteurs : -Nietzsche : Le travail comme moyen de loisirs-Descartes :le travail comme moyen de domination et de transformation des forces de la nature-Le travail comme devoir moral-Le travail humanise l’hommeRésumé : Le travail est àl a fois pour l’homme une nécessite

seule chose certaine. C’est un auteur influencé par ses premières lectures ainsi il met en lumière plusieurs auteurs qui lui sont chères tel que Nietzsche dont la pensée constitue le fil conducteur de son premier ouvrage. Il lui est, pour ainsi dire, toujours resté fidèle et le cite dans pratiquement tous ses livres. Outre l’influence déterminante de Nietzsche, celles de Lucrèce, Montaigne, Pascal, Spinoza et Hume. Plus tard, revenant sur ce qu'il considère comme une condamnation trop hâtive, Rosset

BIOGRAPHIE La jeunesse d’Otto DIX - Wilhelm Heinrich Otto Dix naît le 2 décembre 1891 à Gera (Untermhaus), près de Dresde en Allemagne. Il est l’aîné des quatre enfants d’Ernst Dix, ouvrier dans une mine de fer et de Pauline Louise Dix, couturière. - En 1910 il étudie à l’École des arts décoratifs de Dresde pendant 5 ans. Max Klinger (artiste expressionniste) et Friedrich Nietzsche exercent une profonde influence sur le jeune artiste. La Première guerre mondiale 1914‐1918 - Dix s’engage comme

Schnee) qui paraîtra également en 1901 dans le journal viennois Die Welt. « Ma mère et mon père étaient juifs par le hasard de leur naissance ». Ses premiers essais, sous forme de feuilleton au « rez-de-chaussée », sont publiés dans « Die Neue Freie Presse », dont le rédacteur littéraire est Theodor Herzl : cependant, Zweig ne sera pas attiré par le sionisme ; ce n’est que tardivement qu’il rendra hommage à l’homme engagé. Cette publication incitera ses parents à accepter une carrière d’écrivain. Encouragé

langage : aboutissement ou corruption de la pensée ? 8 1. Le langage est l’aboutissement de la pensée 8 2. Le langage corrompt la pensée (Nietzsche, Sartre) 10 a. La primauté de l’intuitif sur le discursif (Schopenhauer) 10 b. Les concepts de la langue déforment la pensée originale 11 c. Le langage suggère une métaphysique (Nietzsche) 12 III. Y a-t-il un pouvoir du langage ? 13 A. Langage, société et pouvoir politique 13 B. Jeux de langage et formes de vie 15

Si près de la mort, vidé de tout espoir comme de toute crainte, Meursault s'ouvre "pour la première fois à la tendre indifférence du monde. De l'éprouver si pareil à moi, si fraternel enfin j'ai senti que j'avais été heureux et que je l'étais encore". Dans l'interprétation de ces quelques lignes tient la compréhension d'une œuvre pour laquelle le rapport à la mère et/ou à la nature (là est le nœud du problème et la durée initiatique d'une histoire) joue le rôle essentiel. Si l'on tente de lire

qui juge à ma place e mon régime alimentaire, je n’ai pas moi-même à fournir d’efforts. Il ne m’est pas nécessaire de penser dès lors que je peux payer ; d’autres assumeront bien à ma place cette fastidieuse besogne » L’Ecole, le Parlement, la Presse des modernes incarnent l’inversion du traditionnel « principe d’autorité » qui va de haut en bas. Au contraire, le principe fondamental de la « modernité », est de partir du bas pour fonder le haut, de la critique pour justifier éventuellement - l’adhésion

transfert en Dieu des perfections. Marx s’intéressera de près à cette critique en lui conférant un véritable ancrage historique. La puissance de Dieu n’est que le reflet inversé de l’impuissance de l’homme dominé, asujetti par la nature et la société. C’est parce que l’homme ne parvient pas à se réaliser qu’il crée Dieu, cet « opium du peuple ».   Pour Nietzsche, l’homme est un « fabricateur de dieux ». Mais ce que critique Nietzsche avant tout c’est la morale chrétienne et platonicienne

s'en détacher. Toutefois, Nietzsche a souligné que cette acception populaire de la philosophie révèle souvent une méconnaissance de ce qu'est la vraie philosophie. " Quand de nos jours, écrit-il, on entend dire d'un homme qu'il mène la vie du "sage" et du "philosophe", cela ne signifie presque rien de plus qu'une vie "prudente" et "retirée". La sagesse, aux yeux du vulgaire, c'est un refuge, un moyen, un artifice pour tirer son épingle du jeu. " Or, nous dit Nietzsche, " le véritable philosophe "

d’évidence une valeur absolue ? En fait, on peut se croire dans le vrai et néanmoins se tromper. Je puis éprouver un sentiment très fort de certitude et cependant être dans l’erreur. «Les vérités sont des illusions dont on a oublié qu’elles le sont.» (Nietzsche) L’évidence saute aux yeux mais elle aveugle. Il faut donc la nier pour accéder au savoir. Une vérité démontrée et calculée est plus sûre qu’une «vérité» issue de l’évidence. L’évidence n’est que le nom qu’on donne aux idées reçues. Beaucoup de