Nietzsche La Presse

......9 2. Le langage corrompt la pensée (Nietzsche, Sartre)...................................................................................10 a. La primauté de l’intuitif sur le discursif (Schopenhauer).....................................................................11 b. Les concepts de la langue déforment la pensée originale.....................................................................11 c. Le langage suggère une métaphysique (Nietzsche)..........................................

travailler. -Sigmund Freud- «Pour examiner la vérité, il est besoin, une fois dans sa vie, de mettre toutes choses en doute autant qu’il se peut.» - René Descartes - Dans la vengeance et en amour, la femme est plus barbare que l'homme. -Friedrich Nietzsche- La vraie tragédie de la vie, c'est qu'on devient vieux trop tôt et sage trop tard. ( Benjamin Franklin ) C'est tellement égoïste de ma part, mais t'es la seule personne que je veux. La seule que je refuse de partager, la seule à qui j'ai envie

propos de l’arche d’alliance illustre une liaison entre tous les hommes, une union ayant pour ultime but la liberté. De surcroît, il propose par la suite son élaboration personnelle du sens qui doit être donné à la vie qui est : « selon le grand mot Nietzsche, ne régnera plus le juge, mais le créateur, qu’il soit travailleur ou intellectuel », c’est-à-dire qu’il voit l’homme maître de son destin, apte à réaliser des choix personnels, autonomes, moins vulnérable face aux doctrines et doté d’une plus grande

s'occuper l'esprit s'en pour autant etre à la recherche d'un résultat. La presse est un vices mais elle permet aussi de se détourner de l'appel du salaire. Cela offre alors à l'individu de se divertir, pratiquer des loisirs, de cultiver son soi intérieur. De nos jours le travail est si fatiguant, que l'on ne pense qu'à se reposer, avant on préfèrait se cultiver, en practiquant des activités en tout genre. Friedrich Nietzsche critique l'apologie du travail moderne en appuyant bien sur le fait que cela

transcendance. Le XXe siècle a été celui qui a creusé plus profondément le doute sur notre faculté à nous penser. Freud dévoile la face cachée de notre psyché et remet en cause le sujet, Marx dénonce les mécanismes intrinsèques de la société et Nietzsche tue (Dieu) le Père. Ce siècle dévoyé a également atteint le paroxysme de l’horreur : l’étranger déhumanisé gisant dans des charniers prouve que la méconnaissance de soi et de l’autre mènent au pire. Si on ajoute Saussure qui a bipolarisé le langage

système cartésien 4 B. Sujet transcendantal et moi empirique (Kant) 5 1. Le « Je pense » est un principe d’unité qui est la condition de toute pensée 5 2. Transcendantal et transcendant 6 C. Le cogito est une illusion grammaticale (Nietzsche) 7 1. Le doute interdit d’utiliser les concepts de Je et de pensée 7 2. Deuxième falsification : l’introduction d’une causalité 8 D. L’intentionnalité (Husserl, Sartre) 8 1. L’idée d’intentionnalité (Husserl) 8 2. Critique

chacune des choses échangées l'une par rapport à l'autre. Cette valeur, certes, est fluctuante et dépend largement des circonstances (la valeur que j'attache à un verre d'eau augmente singulièrement quand je meurs de soif), mais elle doit être à peu près la même pour les deux choses échangées, du moins si nous donnons à l'échange son sens strictement économique. Si tel n'est pas le cas, nous sortons du cadre de l'échange pour pénétrer dans celui du don ; or le don compense la disparité dans la valeur

en train de rêver ce corps que je crois avoir ? Rien, puisque justement aucun indice au moment du rêve ne me révèle que je ne suis pas éveillé ! Il me faut donc douter de la réalité de mon corps.
Au doute cartésien rien ne résistera à une exception près : l'existence du doute lui-même c'est à dire à la fois l'existence de la pensée et l'existence d'un sujet qui pense (moi). Il n'y a pas de doute que je suis et que je suis ce pouvoir de douter de toute réalité extérieure, même de mon corps. Je prends

Paul Bénichou : « Morales du Grand Siècle ». Corneille : « Le Cid ». Hegel : « La Raison dans l’Histoire ». Sartre : « Esquisse d’une théorie des émotions ». Spinoza : « Livre 3 et 4 de « l’Ethique ». Deleuze : « Spinoza. Philosophie pratique ». « Nietzsche ». Deleuze et C. Parnet : « Dialogues ». Alain : « Spinoza ». Billecoq : « Les combats de Spinoza ». Hume : « Traité de la Nature Humaine ». Jean-Didier Vincent : « Biologie des passions ». Epicure : « Lettre à Ménécée ». Lucrèce : « De la nature

des éléments est peu profitable à la société. Le sujet de la deuxième Considération inactuelle de Nietzsche, « De l’utilité et des inconvénients de l’histoire pour la vie » éclaire cette théorie. Il y dénonce les « excès du sens historique dont souffre le présent ». La thèse selon laquelle le trop-plein d’histoire « nuit au vivant » invite à considérer la valeur de l’oubli. La démonstration de Nietzsche, cependant, commence par le rappel des raisons pour lesquelles on se réfère au passé : « L’histoire