Nietzsche La Presse

la foudre de Zeus. Le feu est strictement divin et ne doit pas être touché, mais Prométhée le donne aux hommes. Seulement il donne aussi l’art de travailler le feu, propulsant l’homme dans une situation de supériorité qui le place non seulement trop près des Dieux, mais aussi dans une situation irréversible l’obligeant à créer, à inventer, à transformer, à construire. Puisqu’il n’a pas de don « donné », il est obligé de travailler pour se défendre et compenser ce manque. Le genre humain est le seul

la morosité et de l'ennui : il  dissipe les idées morbides et se fait souvent le garant d'une bonne santé mentale. Les gens qui rient  sont des gens heureux : ils n'ont pas d'histoire. » 11. BERGSON Henri, Le Rire : « Le rire châtie certains défauts à peu près comme la maladie  châtie certains excès. » 12. BERGSON Henri, Le Rire : « La seule cure contre la vanité, c'est le rire, et la seule  faute  qui  soit risible, c'est la vanité. » 13. BERGSON Henri, Le Rire : « Si franc qu’on le suppose, le rire cache

observer, comme un miroir, avec tous nos défauts, nos complexes. Cette image imparfaite et donc déplaisante que l'on a de nous est un obstacle au bonheur, à notre épanouissement, qui était pourtant l'objectif de la réalisation de soi. Réf : PascalX2 + Nietzsche → La conscience est un outil, qui peut donc être utilisé par mais aussi contre nous. Comment avoir l'absolue certitude que les décisions que nous prenons sont entièrement liées à nos convictions personnelles et non pas à l'influence d'un groupe

peu comme si qu'un génie ou une bonne fée avait bien fait les choses, avait fait en sorte qu'elles se trouvent au bon moment et au bon endroit. Ainsi semble t-il rien de plus hasardeux que le bonheur et pourtant combien de publicité, d'articles de presse nous proposent des techniques ou des recettes pour être heureux , comme si que le bonheur était un objet que l'on pourrait s’acquérir. Ce que nous cherchons à savoir c'est comment faire pour pour être heureux ? Et ainsi trouver ce bonheur tant recherché

LE LIVRE BRISÉ DE ROLAND BARTHES Ce qui me fascine dans Nietzsche, ce n'est pas tel ou tel livre, c'est précisément le fragment, c'est précisément ce type d'écriture.[1] Un élément cardinal de la sensibilité postmoderne réside dans sa fascination pour le chaos, dans sa prédilection pour l'errance, dans son engouement pour une « ambiance mentale discontinuiste plus sensible aux basculements imprévisibles »[2], Serge Doubrovsky va même jusqu'à présenter l'exigence "fragmentale" comme un trait distinctif

Ôte-toi de mon soleil. » L’école cynique a connu un grand succès dans toute l’Antiquité, de la Grèce à Rome. Elle a considérablement influencé l’école stoïcienne (vivre selon la nature, se satisfaire de peu, indépendance du sage, cosmopolitisme). Nietzsche a sévèrement critiqué cette volonté de vivre « en accord avec la nature » : Vous voulez vivre « en accord avec la nature » ? O nobles stoïciens, comme vous vous payez de mots ! Imaginez un être pareil

LA CRISE DU SENS JF mattei Une grande partie de la pensée moderne est une pensée de la crise, comme on le voit chez Baudelaire, Nietzsche et Heidegger, ou, plus près de nous, chez Hannah Arendt, Charles Taylor ou George Steiner. C’est donc une pensée de l’angoisse, là où la pensée chrétienne était une pensée de la déréliction de l’homme, et donc du salut, et la pensée antique une pensée de l’ordre du monde, et donc du bonheur. Ce qui est en cause, c’est le sens même de l’existence humaine. Le

pathétique. La tragédie met en scène des passions nobles et fortes. Elle part de quelques règles principales qui sont : - la division en cinq actes ; - pas plus de trois personnages parlant en même temps ; - le début de la pièce doit être le plus près possible du dénouement. Elle est représentée par [[Etienne Jodelle]], [[Jean de La Péruse]], [[Jacques Grévin]], [[Robert Garnier]]. == La tragédie élisabéthaine == D’importants auteurs anglais écrivent des tragédies à la fin du {{XVIe siècle}}

Conclusion Sa vie `On sait peu de choses sur la vie de Socrate, et la plupart d'entre elles concernent le procès de 399 avant J.-C. Socrate naquit vers 469-470 av. J.-C. (troisième année de la 77e olympiade), à la fin des guerres médiques, près d’Athènes, dans le dème d’Alopèce, dème qui faisait partie de la tribu d’Antiochide. Il est le fils de Sophronisque et de Phainarète. Son père était sculpteur ou tailleur de pierre et sa mère sage-femme. Il est toutefois possible que le nom de sa mère

Sommes-nous faits pour être heureux ? PROBLEMATIQUE : A regarder de près l’histoire, il est difficile d’y voir autre chose qu’une longue série de violences et de sacrifices, l’égoïsme des uns exploitant la faiblesse des autres. Croire que la destination de l’homme est le bonheur, c’est donner un sens à l’histoire qui la transcende. S’agit-il d’une lucidité hors-norme ou bien d’une utopie forgée par ceux qui refusent la misère de leur condition ? En effet, si le commun