Nonaka H Takeuchi

institutions. Pour plus d’informations à son sujet, voir Hatch, M.J. (2000, p. 99-02). Pour plus d’informations sur le modèle de rationalité limitée de Simon, voir Hatch, M.J. (2000, p. 288-289) ; March, J.G. et H. Simon (969[958]) ; March, J.G. (978) ; Simon, H. (957[945]) ; Simon, H. (957[945]) ; Simon, H.A. (959) ; Bélanger L. et J. Mercier (2006, p. 65-75). L’École des relations humaines (930-960) s’intéressa plus aux comportements qu’aux structures administratives. Les tenants de

institutions. Pour plus d’informations à son sujet, voir Hatch, M.J. (2000, p. 99-102). Pour plus d’informations sur le modèle de rationalité limitée de Simon, voir Hatch, M.J. (2000, p. 288-289) ; March, J.G. et H. Simon (1969[1958]) ; March, J.G. (1978) ; Simon, H. (1957[1945]) ; Simon, H. (1957[1945]) ; Simon, H.A. (1959) ; Bélanger L. et J. Mercier (2006, p. 165-175). L’École des relations humaines (1930-1960) s’intéressa plus aux comportements qu’aux structures administratives. Les tenants de

considèrent l’entreprise comme un lieu d’apprentissage et un système de compétences: 3. 4. La théorie des besoins et de la motivation avec D.Mc.Gregor, A. Maslow, F. Herzberg La dynamique des groupes et le leadership avec K.Lewin et R.Likert. H. Simon et la théorie de la rationalité limitée R. Cyret et J. March et l’organisation comme une condition d’individus aux objectifs différents C. Argyris et l’apprentissage organisationnel. L’ethnographie des organisations encore récente, qui met

rapide et au bon moment. En effet, cette activité d’observation et de surveillance de l’environnement permet de détecter, d’analyser et de suivre tous les signaux susceptibles d’influencer la stratégie mise en place ou les décisions 1 Traduction de H. Lesca et M. Chokron (2002, p68). Inès Boulifa Tamboura – Doctorat en gestion - ISG-Tunis-ETHICS/CERAG-UPMF-Grenoble 1 prises dans le but de se doter d’une capacité de lecture rationnelle et anticipative des évènements liés aux activités de

entreprise à créer et partager ses savoirs entre ses employés. Pour cette raison, l’entreprise doit devenir un environnement de création et de partage des connaissances qui favorise l’innovation. À travers ce concept de l’entreprise apprenante, [Nonaka 95] explique que la gestion des connaissances est un processus qui amplifie la création de connaissances au niveau individuel et la positionne dans le réseau de connaissances de l’entreprise. L’idée fondatrice de ce concept est que l’entreprise

c. Conditions favorables à la création de connaissance l’intention, l’autonomie, la fluctuation (ambiguïté) et le chaos créatif, la redondance d’informations, la variété requise d. Les connaissances source d’innovation 20: Nonaka et Takeuchi proposent un modèle de l’innovation en cinq phases qui recouvre : le partage de connaissances tacites, la création de concepts, la justification des concepts, la création d’un archétype et la diffusion de nouvelles connaissances dans l’organisation

grand chef ne vous garantit pas que vous allez pouvoir réussir son plat. Il est d’ailleurs intéressant à ce propos de comparer les modes de gestion de la dynamique des savoirs entre les firmes japonaises et occidentales comme le propose Hedlund et Nonaka (1992) cité par Thomas Durand {18}. « Ils identifient différents processus clés à l’œuvre dans ces organisations, à savoir (a) celui de l'articulation (vision occidentale consistant à vouloir faire expliciter l'implicite) ou au contraire l'internalisation

les matins s’asseoir à leur bureau. La question de savoir comment la connaissance était acquise, utilisée et restituée devint alors essentielle » (« Le KM, hier, aujourd’hui et demain » anonyme www.kmactu.com mars 2003). En 1995 des japonais NONAKA et TAKEUCHI écrivent un livre qui va faire référence : « The Knowledge-Creating Company » (Editions Oxford University Press). Aujourd’hui le phénomène se généralise et trouve des applications sous des formes variés : gestion des compétences, formation (e-learning)

sont combinés avec 2 g d’alumine, 100 g de silicate de tétraméthylammonium (TMA) et 25 g de HiSil (mélange aluminate/silicate) sous agitation. Le produit est successivement lavé à l’eau, séché à l’ambiante, calciné à 540 °C pendant 1 h sous un flux d’azote, puis pendant 6 h sous air. La diffraction des rayons X montre alors une largeur de pore d’environ 40 Å, soit 3 Å de tel-00107124, version 2 - 9 Sep 2008 moins qu’avant la calcination. Les valeurs de hkl sont caractéristiques d’une structure

............................................. 14 Post-mortem du sprint ...................................................................................................................................................... 14 F. 1. 2. G. 1. 2. 3. H. I. 1. 2. 3. 4. PLANIFIER UN PROJET BASE SUR SCRUM ............................................................................................................15 Répartition en sprints et en releases ..............................................