Normes Valeurs Croyances

les homosexuels ne leur reconnaissant pas les même droits qu'aux hétérosexuel-les. L'homophobie est donc un rejet de la différence au même titre que la xénophobie, le racisme, le sexisme ou toute autre forme de discrimination sociales liées aux croyances religieuses, aux handicaps etc. . Le terme de "discrimination" désigne une attitude, une action ou une loi qui visent à distinguer un groupe humain d'un autre à son désavantage. Exemple : avec les camps de concentration, les Juifs étant supposés

niveaux d’intégration culturelle B- logo C- Trois sous-cultures fonctionnelles D- Les fonctions de la culture d’entreprise 4- Mécanismes d’instauration de la culture d’entreprise  5- Diagnostic de la culture d’entreprise 5-a Les valeurs et comportements des gestionnaires 5-b Culture et comportement dans deux entreprises : une comparaison 2 Questions préalables  Comment définir la culture d’entreprise ?  A quoi sert la culture d’entreprise ?  Quel lien entre culture

traduisent les relations de l’individu avec le milieu social dans lequel il évolue. a) La culture Elle se forme à partir de normes, croyances, habitudes, qui sont caractéristiques d’une société et conduisent à des schémas communs de comportement. Ce sont les valeurs culturelles qui constituent le lien de référence entre les individus d’une même société, valeurs apprises et transmises d’une génération à l’autre. b) Les classes économiques Elles reflètent une stratification sociale qui

rechercher le divertissement, prendre du bon temps, rire, éviter toute tension. 7. Le besoin d’ordre : arranger, organiser, ranger, être précis et scrupuleux. 8. Le besoin de reconnaissance : susciter des faveurs et des compliments, mettre en valeur ses actes, rechercher la distinction, le prestige social, les honneurs. 9. Le besoin de déférence : admirer et suivre de son plein gré un supérieur, coopérer, servir. 10. Le besoin d’autonomie : résister à l’influence ou à la coercition, défier

DANS LA SAGESSE CULMINE DANS LA SAINTETE PASSE PAR L’AGREABLE EST AMOUR DIT OUI PASSE PAR LE BIEN EST LOI DIT NON André CONTE-SPONVILLE Philosophe Français membre du CCNE ETHIQUE MORALE CONCEPTS DISTINCTS COMPLEMENTAIRES MORALE VALEURS REFERENCES NORMES PRINCIPES REGLES DISTINCTION ENTRE CE QUI EST BIEN ET CE QUI EST MAL DROIT Visée normative Le légal ETHIQUE Visée téléologique Le bon MORALE Visée déontologique Le bien Relation entre éthique, morale et droit, Philippe SVANDRA ETHIQUE

A) définition de la culture organisationnelle Définitions théoriques : « La Culture est un ensemble complexe qui inclut les connaissances, les croyances, l’art, la loi, la morale, la coutume et toutes les autres capacités et habitudes, acquises par l’homme en tant que membre d’une société » (Edward Burnett Tylor, 1832-1917) « Ensemble de valeurs partagées, rites, mythes, symboles et histoire de l’organisation » « ciment entre tous les systèmes de l'organisation, que sont la production, la structure

faits mais parce qu’on peut démontrer sa fausseté. Par conséquent, une théorie scientifique est par définition ouverte et accepte le risque de sa disparition. Elle ne tire pas sa force de l’autorité de ses adeptes (contrairement aux autres types de croyances) mais de ses propres construction et cohérence scientifiques. La question que nous voudrions poser dans ce cadre est de savoir s’il existe effecti- vement une théorie du droit objectivement scientifique et quel est le critère de sa scienti- ficité 

organique soit mécanique. Dans les sociétés traditionnelles, la personnalité individuelle est absorbée par la personnalité collective. C’est la notion de conscience collective. Il y a similarité des consciences, communautés des idées et des sentiments, croyance commune et sens du sacré. Les individus effectuent des tâches propres substituables, car les activités productives sont faiblement différenciées. Tandis que dans la solidarité organique, caractéristique des sociétés modernes règne la division du

INTRODUCTION I- L’INTEGRATION DANS LES SOCIETE ANCIENNES L’INTEGRATION DANS LA SOCIETE MODERNE II- LES MEDIAS ET L’INTEGRATION CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE INTRODUCTION L’individu en intériorisant les valeurs et normes dominantes, s’identifie automatiquement à ce groupe ou à cette société. Cette intégration prend en compte non seulement l’assimilation des us et coutumes de la société mais aussi les manières d’agir et de penser des individus qui la composent

filtre perceptuel du récepteur_ (annexe 3)_ Valeurs individuelles : chaque individu socialisé a intégré un système de valeur depuis sa naissance à partir duquel il apprend, réfléchi et agit consciemment ou inconsciemment. Ces valeurs s'associent à des schémas culturels, à des conceptions du monde. L 'expérience : c'est ce que le récepteur connait de la catégorie de produit, de la marque, ou de l'organisation. Culture :c'est l'ensemble des normes, des croyances, des habitudes apprises à partir de l'environnement