Néo Consommateur

que chacun trouve un groupe à son image, qui va définir son identité. Les néo-tribus, définies par M. Maffesoli dans Le temps des tribus, sont des groupes de jeunes adultes qui rejettent les codes « normaux » de consommation (ou en tout cas ceux de leurs parents). Cette génération fonctionne d’abord avec l’e-technologie. Ils portent des looks très codés, transgressifs, aiment jouer la provocation. Ils sont très consommateurs de marques qui selon eux leur confèrent un statut social. Cependant les marquent

s’éloigner des codes d’un marché hautement conformiste Marque moderne Phénomène de démocratisation du luxe depuis le début des trente glorieuses Succès à l’international en Russie, au Japon, à Singapour ou aux USA (= femmes actives, peu d’aristocratie, néo-libéralisme, richesse), mais activité essentiellement sur le marché français * Création Communication « La grande exposition des arts décoratifs » (1925) Expositions thématiques * Rupture Première entreprise de joaillerie française à

ECONOMIQUES INTRODUCTION A L’ANALYSE MICRO-ECONOMIQUE I. La démarche de l’analyse micro-économique 1. L’analyse des comportements d’agents économiques individuels. Les agents économiques peuvent être par exemple un ménage (un consommateur) : théorie du consommateur, une entreprise représentative : théorie du producteur (offreur de biens et de services). Ici, chaque agent est conditionné par un environnement. La macro-économie est la somme des situations micro-économiques. 2. L’analyse de l’allocation

concurrence : au niveau national Autorité de la concurrence, et européen Commission européenne. Tribunal de commerce : dommage est intérêts sur le concurrents ou clients 1°Des avantages pour les consommateurs : Une baisse des prix donc augmentation du pouvoir d’achat. Plus de choix pour le consommateur. Qualité des produits meilleurs. Au niveau de la nation : Augmentation de la croissance donc augmentation des recettes de l’État (plus de taxes plus d’impôts) Moins de chômage donc moins

concurrence pure et parfaite permet au marché de fonctionner idéalement et de faire faire des gains au consommateur rapport à une situation de monopole. Dans une seconde partie, nous verrons qu'une concurrence imparfaite est souhaitée car elle permet l'innovation. Puis dans une seconde partie nous verrons qu'une situation de concurrence présente des limites voire des effets pervers. Les néo-classiques ont théorisé la notion de Concurrence Pure et Parfaite. Cette forme de concurrence permet un

Définition : C’est une confortation des offreurs et des demandeurs, d’un bien, d’un service ou d’un facteur de production, aboutissant à la formation d’un prix et à la détermination du volume échangé. Pour les classiques et les néo-classiques, le marché est l’expression de la liberté des individus et un moyen de contractualisation des relations socio-économiques. C’est un moyen de régulation et de socialisation des individus. Pour le besoin de l’analyse théorique, le marché

commercial et déclenche un élargissement de sa gamme de produits : Mencorner est passé de 7 marques à 35 marques. ⇨ Dépense moyenne pour un français : 205 € (Budget le plus important d’Europe) Menaces ⇨ Crise économique : frein pour les consommateurs limités dans leurs achats. ⇨ Concurrence : Marché concurrentiel qui est en pleins boom. (Sophora : large gamme de produit masculin). SOCIOCULTUREL : Opportunités  ⇨ La révolution masculine : Les hommes prennent soin d’eux

fortement ressenties par les jeunes générations d'ouvriers. Les organisations tayloriennes traditionnelles sont rigides et fragiles Standardisation des produits a permis de satisfaire les besoins de la population du début des 30 glorieuses. Les consommateurs (plus riches, plus éduqués) se sont lassés des produits dont disposent aussi leurs voisins.Le désir de se distinguer, d'affirmer son statut social à travers sa consommation a rendu les produits tayloriens obsolètes. B- Certaines unités productives

En théorie, le marché de concurrence pure et parfaite sert de référence, notamment aux néo classiques, pour démontrer que le marché se suffit à lui-même. Définition : La concurrence est pure si trois conditions sont réunies : L’homogénéité du produit (ou du facteur) : l’ensemble des produits échangés sur un même marché doivent être standardisé de manière à ce que le consommateur ne puisse les différencier. Cela suppose l’absence de publicité, de différenciation

modèles, d’une lenteur de réaction à la conjoncture et d’une lourdeur de la gestion des stocks. Depuis les années 1970, la demande est donc devenue plus irrégulière, du fait de la croissance ralentie et dans le même temps, les consommateurs sont devenus plus exigeants sur le choix des modèles et la qualité proposée. Dès lors, il s’agit d’inverser la tendance par rapport à la « logique tayloriste » : c’est désormais la production qui va répondre à la demande, et