Néoclassique Dichotomie

..................................................................................................... 14 TRES (TROP) BREVE HISTOIRE DE LA PENSEE ECONOMIQUE ........................................................................ 16 L’ECONOMIE NEOCLASSIQUE, COURANT DOMINANT .................................................................................... 18 ANNEXES .................................................................................................................................

numéricien lui s’appuie sur les conjectures théoriques pour améliorer les schémas »[62]. Tous les praticiens des simulations numériques soulignent cet aller-retour constant entre la simulation comme outil et la simulation comme objet, leur impossible dichotomie, sans que l’on soit en mesure d’élucider à quelles conditions précisément le cercle vicieux se mue finalement en un cercle vertueux. On reconnaît ici, le même caractère d’ubiquité des simulations, déjà souligné pour les modèles par Morgan et

risque. LES HYPOTHÈSES DISCUTABLES DU MODÈLE CLASSIQUE Prenons un peu de recul. Le modèle classique de la finance, que nous venons de voir, est bâti sur un certain nombre d’hypothèses qui trouvent toutes leurs sources dans la théorie économique néoclassique apparue à la fin du XIXe siècle. Le Français Léon Walras (1834-1910), le Britannique Alfred Marshall (1842-1924), l’Autrichien Carl Menger (1840-1921) en sont les principaux fondateurs. Dans le sillage du développement des sciences et des technologies

utiliser pour financer des pays en développements qui en ont besoin pour investir davantage et obtenir une croissance économique plus forte, et donc se développer.Cette orientation est justifiée par le fait que selon la théorie de la croissance néoclassique, la rentabilité du capital est plus forte dans les pays pauvres.            II.      Les opérations financières internationales s'effectuent selon deux types de modalités : Opérations financières internationales intermédiées : ce sont des intermédiaires

comportement générateur de progrès. Pour lui la liberté naturelle est juste et cette liberté naturelle conduit au plus grand développement que l’on puisse espérer. Ce lien entre éthique et pure économique, c’est sans doute ce que perdront les néoclassiques et même ses successeurs plus immédiats, tel Ricardo. Notons encore que Smith n’est pas pour autant le libéral naïf, ou angélique que l’on croit. Il ne se trompe pas sur la nature de l’homme et n’est pas d’un parti plutôt qu’un autre. Ni les propriétaires

technique qui permet d’exprimer du consentement au pouvoir, c’est bel et bien le vote. A Athènes on ne choisit pas ses gouvernants. Le pouvoir obtenu par le hasard est le seul pouvoir légitime. Ici, dans la période moderne, il va se produire une dichotomie, un clivage, entre gouvernant et gouverné. On aura donc un changement de la question démocratique : le choix de l’électeur. En 1848, le CENS est abolit ainsi que l’esclavage. Avant cela, une partie de la population est privée de vote (pauvres

qu’ils l’ignoraient complètement. Ils pensaient qu’elle n’avait pas d’importance. => voir les principes classiques. Ce n’est qu’en 1912 qu’apparaissent les analyses monétaires. A) les principes classiques a) le principe de dichotomie Les classiques suivent le principe de dichotomie, pour eux la sphère réelle est essentielle. Cela concerne tous les mécanismes qui vont jouer sur les variables réelles : la production, le revenu, l’offre, la demande des biens, l’intérêt, l’équilibre sur les marchés, les

multiplication des produits et des marchés, il arrive un moment où les dirigeants sont submergés et deviennent incapables de gérer à la fois les problèmes opérationnels (court terme) et les aspects stratégiques (long terme). Cette évolution conduit à une dichotomie entre la sphère de décision opérationnelle et la sphère de décision stratégique. - Le besoin de coordination : la création d ’une direction générale, capable de coordonner, d ’évaluer et d ’orienter les opérations, s’impose pour transformer un

donc une théorie explicative des disfonctionnements productif basé sur des problème au sein de la direction. 5- L’école néo-classique : Elle désire répondre à un besoin de clarification en suivant une approche normative et pragmative. L'école néoclassique est un terme générique utilisé pour désigner plusieurs courants économiques qui étudient la formation des prix, de la production et de la distribution des revenus à travers le mécanisme d'offre et de demande sur un marché. L'hypothèse de maximisation

hommes mais le temps appartient à Dieu ». « On ne peut vendre l’argent et son usage ». => Ils sont contre les intérêts. à Pour les classiques, l’intérêt est le prix de l’abstinence, un renoncement à la consommation immédiate. à D’après les néoclassiques : 1) Fisher se place du côté de l‘emprunteur : « human impatience ». Le taux d’intérêt est justifié car il gagne du temps de travail et il augmente son profit. Si l’objectif rechercher est de gagner du profit, il faut emprunter. 2) Bohn-Bawerk