Opportunité Menaces Bnp

oraganisationLes choix que je vais opérer Le déploiement : les processus, la mise en œuvre. A partir des composantes de base, plan pour la suite du cours : L’analyse SWOT Opportunité : un événement qui se produit à l’extérieur. Si l’événement est identifié adéquatement, cela peut être bénéfique pour l’entreprise. Menace : un événement qui se produit à l’extérieur mais si on n’y fait pas face adéquatement, l’impact peut être négatif pour l’entreprise. Analyse externe de l’organisation : l’environnement

en mettant l’accent sur le fait que les entreprises doivent diversifier leurs activités. Quatre hypothèses de base: 1. Un produit a une vie limitée. 2. Ses ventes passent par différents stades d'évolution, créant chaque fois de nouvelles opportunités et menaces pour son fabricant. 3. Son niveau de profit varie en fonction de chaque stade du cycle. 4. Les stratégies de gestion les plus appropriées diffèrent à chaque étape. ENIM Marketing 14 Produit: Caractéristiques Cycle de vie du produit

Gartner (1988) : l’entreprenariat est la création d’organisations, le processus par lequel de nouvelles organisations naissent. • Stevenson (1985) : l’entreprenariat est un processus par lequel des individus poursuivent et exploitent des opportunités sans avoir le contrôle des ressources nécessaires. L’entrepreneuriat, phénomène économique et social : L’entrepreneur devrait pouvoir relier ses comportements et ses actions à des besoins et des attentes exprimés par toutes les composantes

mouvement continue comme le confirme l’acquisition du Crédit Lyonnais par le Crédit Agricole en 2003. Pour autant, en 2001, le Crédit Agricole occupait la 5ème place des banques Européennes en terme de fonds propres. La même année, le groupe BNP Paribas était classé 8ème en terme de capitalisation boursière et 7ème en terme de taille de bilan au niveau mondial. Cette photographie du paysage bancaire français étaye l’analyse selon laquelle le pôle bancaire français n’a pas atteint une taille

2 : Environnement juridique 8 I-1.3 : Environnement climatique 9 I-2 : ENVIRONNEMENT SPECIFIQUE 10 I-2.1 : Définition du secteur 10 I-2.2 : Rivalité au sein du secteur 10 I-2.3 : Menace des nouveaux entrants 11 I-2.4 : Menace des produits de substitution 12 I-2.5 : Pouvoir de négociation des clients 12 I-2.6 : Pouvoir de négociation des fournisseurs 13 I-2.7 : Hiérarchisation avec les 5 forces de PORTER 14 I-3 :

activités les plus fortement externalisées sont les services de l’informatique et des télécommunications. Quant aux activités de services financiers, elles sont faiblement externalisées mais bénéficient d’un bon potentiel de développement. Opportunités : L’ampleur de ce phénomène devrait augmenter dans une optique de recherche de performance. En effet, une étude menée par PWC28 rapporte que plus de la moitié des 150 dirigeants de firmes de services financiers enquêtés avait l’intention de

présents 22 3.2. La notion de buzz 24 4. Le challenge à relever pour les banques et les conditions de réussite 27 4.1. Un périmètre d’actions à définir 27 4.2. En synthèse 28 5. Points clés d’un diagnostic (SWOT) 30 5.1. Forces / Faiblesses / Opportunités / Menaces 30 5.2. Quelles orientations 33 5.3. Enjeux et indicateurs de réussite 34 5.4. Démarche 35 5.5. Recommandations de mise en œuvre 35 5.6. Quelques conditions de réussite d’un projet global et social 37 6. Conclusion 39 7. Bibliographie 42 SOMMAIRE

interne entre deux cultures. Cet équilibre est d’autant plus fragile que l’opération est rapide. Certaines stratégies globales peuvent être remises en cause si les stratégies des RH sont trop éloignées (salaires, statuts) ex de Société Générale et BNP qui concernaient pourtant un espace et un métier semblables. La stratégie des RH doit donc accompagner la stratégie globale dans sa recherche de compétitivité en lui permettant de sceller son organisation, d’être plus flexible, plus productive.

la mesure où il en conditionne la stratégie, et donc le développement et parfois même la survie. Son analyse est donc primordiale dans la définition et l’élaboration des stratégies, quelles qu’elles soient, afin de mieux appréhender les menaces et opportunités qu’il offre. On peut classer les intervenants et les variables d’influence en distinguant plusieurs niveaux dans cet environnement dont le plus immédiat est le secteur économique dans lequel évolue l’entreprise. Ce secteur appelé « microenvironnement »

entreprises publiques. On note une évolution marquée par une volonté de désengagement de l’État (privatisations partielles ou totales), en particulier dans les activités industrielles (ex. : Renault, Thomson, SNECMA), dans le secteur des banques (ex. : BNP Paribas, Crédit Lyonnais, Banque Hervet), des assurances et, plus récemment, dans le secteur des télécommunications, des transports et infrastructures liées au transport ou encore de l’énergie (EDF, GDF). Corrigé Visuels d’ouverture (p. 37) Les visuels