Oraison Funèbre Champs Lexicaux

Séquence 1Un personnage spectaculaire et comique : le fanfaronProblématique : En quoi le spectacle peut-il être considéré comme un ressort essentiel du comique ?Séance 1 : Théâtre, spectacle, comédieObj : découvrir le thème A) « Spectacle » et « Théâtre » Distinguer « spectacle » et « comédie »Le spectacleLe mot spectacle englobe plusieurs titres de représentations, cela peut être du théâtre, de la danse, de la musique, la magie, le cirque, …Dans le spectacle il y a forcément un rapport entre le

régulière et classique : 7 quintils en alexandrins (mais absence de ponctuation), dans un souci de clarté et d’efficacité puisque le poème fait office de discours commémoratif et doit être lu au cours d’une cérémonie.! Il se présente comme une oraison funèbre: le poète s’y adresse directement à ceux qu’il commémore « V1 : vous/v.5 Partisans », c’est un hommage posthume « onze ans déjà, à la fin février», rendu au courage désintéressé : v.1 « la gloire, ni les larmes, ni l’orgue, ni la prière, la

f): répétition d'un mot en fin de proposition et au début du proposition suivante. Mais et les princes et les peuples gémissaient en vain ; en vain Monsieur, en vain le roi même tenait Madame serrée par de si étroits embrassements….(Bossuet, Oraison funèbre d'Henriette d'Angleterre) EPANADIPLOSE (n.f): répétition d'un mot en début et en fin de proposition. Qu'un frère pour régner se baigne au sang d'un frère (Corneille, Suréna) CRITERE SYNTAXIQUE PARALLELISME (n.m): reprise symétrique d'une

L'émotion et la souffrance sont maîtrisées sous un ensemble de phrases organisées encore une fois en parataxe avec une notation nécessaire du temps : « après », « encore », «longtemps », « enfin », « pour toujours ». Il en est de même pour le champ lexical de la mort, en apparente opposition avec celui de l'amour,: « accablé mortellement », « sa dernière heure », « la fin de ses malheurs », « elle expirait », « je la perdis »,…. Cependant, si la mort de Manon est effective et touche le lecteur, celle

mythe d'Orphée. « Oui, je suis le rêveur […] et j'entends ce qu'Orphée entendit. », proclame-t-il par exemple (I, 27). Comme Orphée, le poète manie la lyre. C'est ce qu'annonce par exemple le deuxième poème du recueil : « Le poète s'en va dans les champs ; il admire, / Il adore ; il écoute en lui-même une lyre ». Le recueil, malgré quelques accents polémiques, est donc souvent lyrique. Le poète « écoute en lui-même » et nous invite à explorer les troubles du « je ». Les marques de la première personne

(les thèmes récurrents sont l’amour, la mort, la nostalgie, la communion avec la nature, le destin, etc.). Les marques du registre lyrique : l’emploi de la première personne du singulier ; le vocabulaire des émotions et des sentiments (→ champs lexicaux) ; une ponctuation expressive (points d’exclamation, points d’interrogation) ; la présence d’adverbes d’intensité ; l’emploi de figures de style (comparaisons, métaphores, …) ; etc. Termes liés : l’élégie, le pathétique, le pathos (émouvoir

actions que va devoir exécuté l’enfant plus tard. Revenir à une vie simple en dehors de tout luxe. Sont maintient doit montrer sa simplicité. Tourner cette jeune fille vers une vie religieuse, simple et sans artifice comme sa grand-mère. Texte 5 : Oraison funèbre de Paula.Traduction : Et enfin une fois l’hivers passé et la mer ouverte, alors que les évêques regagnaient leurs églises, elle par ses vœux et son désir naviguait avec eux. Pourquoi différé-je à plus tard ? Elle descendit au port, son frère,

Venceslas] Il conçoit du dégoût pour les délices du péché. [Pascal, Les provinciales] Qu'attendez-vous, chrétiens, à vous convertir ? ... ne craignez ni la maladie, ni les dégoûts, ni les tentations, ni les peines les plus cruelles. [Bossuet, Oraisons funèbres] Si vous avez un dégoût général de tout ce qui vous éloigne de Dieu. [Fléchier, Sermons de morale] M. de Louvois paraît désolé de ce que son crédit commence à tomber ; il m'envie ma faveur et m'attribue les dégoûts du roi. [Maintenon, Lettres]

partager ses émotions. Les poètes présent dans cette anthologie ravivent et relancent le gout sacré de la quête poétique et l’amour de la beauté dont la femme fut et demeure la première inspiratrice. Peinture représentant une femme au milieu d’un champs de fleur. II- Lorsque la femme apparaît a) Joachim du Bellay «  Déjà la nuit en son parc amaissait » Le poème de Joachim du Bellay décrit l’apparition d’une muse qui est ici une femme. De plus elle est assimilée à une

 prédicateur  (annonce  la  parole  de  Dieu),  il  prêche  notamment  devant   Louis  XIV.   Il  fera  également  des  sermons  (prédication  durant  la  messe)  et  des  oraisons  funèbres   (prières,  discours  prononcé  lors  des  funérailles  et  qui  fait  l’éloge  du  défunt  célèbres.   Cela  devient  même  un  véritable  genre  littéraire  à  part  entière