Oraison Funèbre Champs Lexicaux

différentes parties du corps (« poitrine », « langue », « yeux ») suggère une perte de contrôle de celui-ci. 3. Une lutte entre l'âme et le corps Présence constante du champ lexical du religieux: « sacrement », « prêtre », « Seigneur », « salut », « communion », « âme », « crucifix », « prière », « soutane », « ecclésiastique », « oraisons », « syllabes latines ». La mort gagne progressivement, entraînant une séparation des deux substances : la première partie suggère une reprise de conscience (Emma

préférerait ne pas savoir. Phèdre lui avoue cependant ses fautes. C’est son troisième et dernier aveu, le plus grave puisqu’il la rend coupable d’adultère aussi bien que d’inceste. Le dénouement s’achève donc sur Phèdre qui prononce elle-même son oraison funèbre. Problématiques: Ce dénouement est- il complet ? Ce dénouement correspond-il aux règles de la tragédie ? Que nous apprend ce dénouement sur les caractères des personnages ? En quoi ce dénouement répond-il aux caractéristiques attendues ? Dans

temps », " de siècle en siècle ". Il nous fait remarquer également les ravages et la violence de la guerre "s'égorger les uns les autres" qui nous montre bien la folie guerrière dont l'homme est capable. Sa démonstration prend alors la forme d'une oraison funèbre lorsqu'il évoque la situation particulière de son "jeune Soyecour". Même si Voltaire emploie un ton ironique alors que La Bruyère reste sur le registre tragique, il nous présente lui aussi à travers son personnage Candide, terrorisé par la guerre

différentes parties du corps (« poitrine », « langue », « yeux ») suggère une perte de contrôle de celui-ci. 3. Une lutte entre l'âme et le corps Présence constante du champ lexical du religieux: « sacrement », « prêtre », « Seigneur », « salut », « communion », « âme », « crucifix », « prière », « soutane », « ecclésiastique », « oraisons », « syllabes latines ». La mort gagne progressivement, entraînant une séparation des deux substances : la première partie suggère une reprise de conscience (Emma

d’admiration, à savoir l’œuvre réalisée par Balzac et dont il célèbre ici le caractère universel et réaliste. Lors des funérailles d’Honoré de Balzac, Victor Hugo prononce une oraison funèbre. Ce discours tend essentiellement à forcer le respect envers « M. de Balzac » dont la dénomination initiale témoigne. Par ailleurs, le champ lexical de l’excellence: « premier », « grand », « haut », « meilleurs », qui lui est associé souligne sa grandeur. Grandeur renforcée par la construction en chiasme et les hyperboles

jour de sa mort. D’autres destinataires sont nommés à travers le vœu de « bonheur » adressé : « à ceux qui vont survivre »(v.19), ce qui révèle la grande humanité de celui qui va mourir. Manouchian est serein, il meurt « sans haine »(v.20). Le champ lexical du bonheur domine (v.19, 21, 23,24, 26, 27). L’avenir est rempli de promesses que traduisent les verbes à l’impératif et l’injonction (v.23, 30), les futurs (v.24-25,28). S’y oppose le regret de quitter ce monde : « Adieu » (v.21-22, v.27, 29)

construction de l’extrait : quelle partie appartient au récit et quelle partie relève d’un enseignement ? * observez la mise en scène de la tuerie : quels sont les protagonistes ? Faites apparaître la violence du combat en étudiant les principaux champs lexicaux et les sonorités. * montrez comment, sur l’ensemble du texte, le poète humanise le loup. *SEANCE 5 : lecture analytique 3 et histoire littéraire (le Romantisme) SUPPORT(S) : extrait de « La Mort du Loup », in Les Destinées, Alfred de Vigny, 1843

les choses (parce qu’elle en aurait et les moyens et les prétentions) ; puis modérons ces partis pris ancestraux qui voudraient propulser la poésie dans le domaine du Sacré et du Beau par opposition frontale au réel : la poésie, lucide quant à son champ d’action, reste de la littérature et ne saurait changer le réel ; d’autre part, la poésie consciente de ce que le réel peut lui offrir, ne se place pas forcément dans une concurrence avec ce réel, avec les choses et la vie. Enfin, considérons les cas

s’accélèrent de plus en plus. On devine que la fin est proche pour la personne quand le râle devient plus fort avec de fortes secousses nerveuses pour finalement retombé mort sur le lit démontrant bien une mort violente et douloureuse. Le champ lexicale de la mort est présent dans le texte de façon religieuse mais aussi dans la manière dont meurt le personnage. Le mot « lentement » (ligne 1) nous annonce dès le début de l'extrait que l’héroïne va mourir lentement torturé physiquement par le poison

septième chapitre que la locomotive apparaît comme une figure épique. La difficulté grandissante qu’elle connaît lors de son voyage sur des voies enneigées est décrite comme s'il s'agissait de la progression d'un héros, traversant tant bien que mal un champ de bataille. Et ce sont surtout les derniers pénibles mètres qui renforcent l'aspect épique de la dame de fer : «Il semblait qu'elle s'engluait […] de plus en plus serrée, hors d'haleine. Elle ne bougea plus. La neige la tenait, impuissante.» C'est