Oraison Funèbre Champs Lexicaux

possible entre Ie narrateur et les personnages. La diversite provient done de la complexite de la situation du personnage. . II yale theme de la mort avec un important champ lexical « mort» 1.2, 3, 6, 7, 11,24,37,39, 41, « cadavres» lA, « mourir» 1.5, 6, 7, 12,36, « tuer» 1.7, « tuerait» 1.8, « mourant» 1.24, « chant funebre» 1.32, « mourait» x2 1.34, « meurt» 1.37. Et Ie theme de la souffrance « douleur» 1.10, 11, 28, « souffrance» 1.27. Ces deux-idees obsedantes en entraine d'autres comme Ie

préalables au milieu de l'action : In medias res.La disdascalie « s’écrie », la répétitions de l’interjection d’étonnement « Ah ! »,et l’utilisation de point d’exclamation, théâtralise la pièce et mets en valeur, ce qui sera à venir.L’utlisation champs lexical de la fatalité : « malheur », « accident » créer une tonalité tragique, qui lui mêler avec la théâtralisation suscite une tension dramatique. Bref Toinette sur-joue vraiment la plainte tragiqueL 3BELINE Qu'est-ce,

réveillant l’auteur / dissipant le noir (problèmes, noirceurs) + Diminutif affectif « mon petit père » évoquant le côté enfantin et agréable de sa fille. V. 5-7 → Enumération d’actions « prenait », « ouvrait », « s’asseyait », « dérangeait ». → Champ lexical de l’écriture (« plume », « papiers », « livres ») + Rejet du mot « lit » : Leopoldine court dans tous les sens / pleine de vie. → Rupture avec le verbe « rire » (différent des verbes d’actions utilisés précédemment) + usage de la coordination

n’ayons point de distraction; enfin, le jour de la fête étant venu, ils nous arrachent les plumes, nous coupent la gorge, et nous font rôtir. On nous apporte devant eux dans une large pièce d’argent; chacun dit de nous ce qu’il pense; on fait notre oraison funèbre: l’un dit que nous sentons la noisette; l’autre vante notre chair succulente; on loue nos cuisses, nos bras, notre croupion; et voilà notre histoire dans ce bas monde finie pour jamais.  LA POULARDE :Quels abominables coquins! je suis prête à

La scène commence en in media res avec les exclamations des Toinette recourant au champ lexical de la fatalité afin d’exprimer une tragique nouvelle : la mort d’Argan. Cependant, cette nouvelle est annoncé de façon ironique comme le montre « Quel étrange accident ! ». Par ailleurs, cette annonce attire l’attention du lecteur et de Beline qui répond par des interrogations. En effet, cette dernière apprend la mort de son mari par la bouche de sa servante. Cependant, en apprenant cette nouvelle, Béline

Pathétique  -> Ponctuation très expressive, expression caractéristique « hélas !», répétition d’expressions qui visent à repousser l’annonce fatidique : « Ah, malheur ! », « Ah Madame »-entrée en la matière qui parodie la tragédie -alexandrin + champ lexical de la fatalité en un seul vers : « mon Dieu » (//sacré, fatalité), « malheur », « étrange accident » (// lien avec la mort). -La tonalité tragique est renforcée par des injonctions (« Ah » 3 fois) et les points d’exclamation -Rythme ascendant de

entendait le son ! 10 Il me sentait venir de cent pas à la ronde. Ah le pauvre Robin mouton ! Quand Guillot (3) eut fini cette oraison funèbre Et rendu de Robin la mémoire célèbre, Il harangua tout le troupeau, 15 Les chefs, la multitude, et jusqu’au moindre agneau,

dénouement tragique. Tout au long de la scène, on remarque d’abord des propos contrastés entre Octave et Marianne. Marianne, dans cette scène, ne dit seulement que deux répliques très courtes, adressées à Octave et qui sont marquées par le champ lexical de l’amour (« aimerait » (l.16), « mon cœur » (l.42) et « l’amour » (l.43)). Octave lui, ouvre et termine la scène, avec trois répliques dont deux tirades avec une indifférence par rapport à Marianne car il ne s’adresse pas directement à elle (sauf

préférerait ne pas savoir. Phèdre lui avoue cependant ses fautes. C’est son troisième et dernier aveu, le plus grave puisqu’il la rend coupable d’adultère aussi bien que d’inceste. Le dénouement s’achève donc sur Phèdre qui prononce elle-même son oraison funèbre. problématiques envisageables : Ce dénouement est il complet ? Ce dénouement correspond-il aux règles de la tragédie ? Que nous apprend ce dénouement sur les caractères des personnages ? En quoi ce dénouement répond il aux caractéristiques

Bon ! Comme Kik devait mourir, était déjà mort, il fallait faire son oraison funèbre. Je veux bien la dire parce que Kik était un garçon sympa et que son parcours n’a pas été long. (Parcours, c’est le trajet suivi par un petit toute sa courte vie sur terre, d’après mon Larousse.)Dans le village de Kik, la guerre tribale est arrivée vers dix heures du matin. Les enfants étaient à l’école et les parents à la maison. Kik était à l’école et ses parents à la maison. Dès les premières rafales, les enfants