Paradoxe de Russell

Strategy”, Advances in Strategic Management, vol. 18, 2001, p. 1-28. Hannan M. T., Freeman J., “The ecology of organizations: Structural inertia and organizational change”, Approaches to Social Theory, Lindenberg S., Coleman J. S. et Nowak S. (éds.), Russel Sage Foundation, New York, NY, 1986 p. 151-172. Hannan M. T., Freeman J., Organizational ecology, Harvard University Press, Cambridge, MA, 1989. Hoch S., Deighton J., “Managing what consumers learn from experience”, Journal of Marketing, vol. 53,

l'esprit, et lui seul, qui conçoit, de façon purement intellectuelle, la résolution de tel ou tel problème pratique. «Tout énoncé d’une vérité comporte un universel, et toute connaissance d’une vérité implique la connaissance d’universaux.. » (Bertrand Russel, Problèmes de philosophie) o  Le critère d'efficacité est une aberration A quel événement correspond cette simple abstraction mathématique qu'est le zéro ? L'intelligence humaine repose sur son pouvoir d'abstraction. Il n'existe pas de «zéro»

Eléments de stratégie, organisation, animation et pilotage des collectivités territoriales, Edition du Papyrus. Isaac M. (1987), « Le stade du miroir ou les territoires en promotion », in Avis de Recherche, n° 9, avr.-mai-juin. Javeau C. (2007), Les paradoxes de la postmodernité, Vendôme, Coll. « L’interrogation philosophique », PUF. Joseph I. (1984), Le passant considérable : essai sur la dispersion de l’espace public, Paris, Librairie des Méridiens. Joye J.-F. (2002), L’action économique territoriale

qui gardent ces secrets ». (PATRICK MAC GRATH, Port Mungo). S’il est fondateur de la vie psychique, le secret se pervertit lorsqu’il génère un fonctionnement déviant dans la sphère familiale. Sa composante pathogène tient alors dans le paradoxe que s’il est défendu de connaître le contenu du secret, il est interdit d’oublier le secret lui-même. L’être humain naît dans une famille qui lui transmet un héritage composé de traditions, de missions, de mandats, et de loyautés familiales

Aristote affirme que la vérité appartient à la proposition, au jugement. Une proposition si ce qu’elle décrit est conforme à la réalité ; elle est fausse dans le cas contraire. Cette conception a été reprise au 20ème siècle par des penseurs tels que Russell et Tarski. -         La vérité-forme : Pour Kant, la connaissance est relative au sujet connaissant. Elle consiste en l’application de formes a priori au divers de la sensation qui permet de structurer celui-ci, de l’organiser, d’en faire une expérience

science si leur validité ne dépend que d’êtres de raison, de construction mentales ? Ne s’agit-il que d’un jeu de l’esprit ? Mathématiques sont donc une science démonstrative qui part de principes qui ne sont pas euxmêmes démontrés : paradoxe ! Boutade de Bertrand Russell : « les mathématiques sont une étude où l’on ignore de quoi l’on parle, et où l’on ne sait pas si ce que l’on dit est vrai ». En effet, un axiome est une proposition que l’on admet comme vraie bien qu’elle soit improuvable et que d’autres

et estime qu'elle seule peut mener à la connaissance, alors que nos sens nous trompent. Ceux-ci, par exemple, nous enseignent que le mouvement existe, alors que la raison nous enseigne qu'il n'existe pas. Cet exemple est illustré par les célèbres paradoxes de son disciple Zénon. Si Héraclite est d'un avis opposé concernant le mouvement, il partage l'idée que les sens sont trompeurs. De telles conceptions favorisent la réflexion mathématique. Par contre, elles sont un obstacle au développement des autres

d’un savoir sur le savoir, d’un méta savoir. Ce savoir d’un degré de complexité supérieur au savoir, n’est pas un savoir comme les autres, même s’il lui ressemble en apparence et de nom. La confusion entraînerait la création de paradoxes selon la théorie de Bertrand RUSSEL. Selon cette théorie dite des types logiques, il ne faut pas placer sur un même plan un tout avec un élément du tout. L’épistémologie s’intéresse à l’origine des savoirs et à leur preuve, partie émergente de l’iceberg, mais il faut

(Ibidem, p. 16) Ainsi valeurs, attitudes, comportement et culture s’enchaînent-ils dans ce sens dans un cycle bouclé sur lui-même.     LA PROBLEMATIQUE INTERCULTURELLE   On se propose ici de développer les difficultés, les ambiguïtés et les paradoxes qui sont à la base de la problématique du management interculturel. On va préciser dans les développements qui suivent les éléments théoriques les plus utiles à la compréhension de la communication interculturelle. Ce sont d’une part les modèles

aussi « vive la France ». Futur d’une construction transrégionale que sera ce royaume de France. Deux dispositifs permettent un sentiment commun : la politique et la religion. Les habitants sont les sujets d’un roi et les fidèles d’une Eglise. Paradoxe : Les sujets du roi ne le verront jamais pour 99.99 % d’entre eux. Ce roi est étranger dans la vie quotidienne de ces français, sauf sur les pièces de monnaie (or ou argent). Les monnaies de bronze ne portent même pas le portrait du roi. L’Eglise