Pensée Peur Kant

Philosophie : Etude de texte de Kant. A-Eléments d’analyse a) Expliquez : « Les Lumières, c’est la sortie de l’homme hors de l’état de tutelle dont il est lui-même responsable ». On remarque que la phrase est séparée par plusieurs notion : - En effet Kant commence par nous parler des « Lumières ». Cela nous renvoie donc au courant littéraire du 18ème siècle et à ses nombreux philosophes comme Montesquieu, Rousseau, Voltaire … Leur but étant de transmettre les connaissances, rendre le savoir

renseignements sur le monde (connaissance empirique) et sur nous-mêmes mais permet également la reflexion. Je est un être corporel et a donc un rapport sensible aux choses ce qui le conduit à une connaissance confuse et empirique. Je est aussi un être doué de pensée capable d'autonomie (sa propre loi) par rapport au corps ce qui le conduit à une connaissance claire. Il faut se détacher de son corps qui est la principale source de nos erreurs. L'affirmation du Cogito L'objectif de Descartes est de fonder

L'avancée vers la connaissance de l'absolu peut se faire d'une façon plus personnelle sans pour autant ne suivre qu'une seule voie, la religion peut alors être sans dogme, on arrive a la connaissance de l'Absolu par ses propres expériences de pensé ou de vie. Kant voyait dans la métaphysique et la religion une des parties de la connaissance qui était la plus libre. On pouvait tout penser dans ce mode là sans s'encombrer des nécessités requise pour le savoir et la raison. Par extension si l'on admet l'existence

tard, l’adulte prend aisément conscience des facilités que la lâcheté peut procurer à son existence et en outre il se trouve souvent sollicité par la tentation de l’opportunisme, car la lâcheté présente à la fois pour lui l’avantage d’être facile et, pense-t-il, utile. Aussi, au lieu de céder à la tentation jour après jour, peut-il sembler souhaitable de poser nettement le problème et de se demander si la lâcheté, loin d’être un vice pitoyable, comme on le dit, ne serait pas une suprême sagesse et ne

1 1 « La peur n’est pas une vision du monde » Kurt von Hammerstein Note : Kurt von Hammerstein (http://fr.wikipedia.org/wiki/Kurt_von_Hammerstein) était un chef d’État-major de la Reichswehr qui a refusé d’obéir à Hitler. L’écrivain Hans Magnus Enzensberger lui a consacré un ouvrage : Hammerstein ou l’intransigeance. Une histoire allemande, 2010.) Introduction L’homme est un « être-pour-la-mort » (Heidegger) autrement dit un être qui sait qu’il va mourir. Cette perspective ne le quitte

heureux est universel, il est l'expression de notre nature. Accablés par les soucis, tourmentés par la peur de la maladie, de la mort ou autres infortunes, angoissés par l'incertitude de l'avenir, nous aspirons en effet tout naturellement à un état de sérénité de plénitude que tous nomment le bonheur : « Une prospérité constante, une vie satisfaite, un parfait contentement de son état » pour Kant[4] ; « une immense joie inébranlable et constante » qui apporte à l'âme « apaisement, accord, grandeur

péremptoire sans les démontrer). Introduction I. Qu’est ce que la philosophie ? Kant : « On apprend pas la philosophie, on apprend à philosopher » Philosopher ne constitue pas à restituer par cœur un savoir mais à l’utiliser d’une manière intelligente en fonction du sujet. « Jamais on ne devient philosophe sans la connaissance, mais jamais les connaissances ne sont à elles seules la philosophie » Texte de Kant sur la minorité : Voir texte Réponse à la question : « Qu’est ce que les Lumières 

humaines s’expliquent par un besoin de prendre conscience de soi même, par exemple, l’enfant qui regarde les ronds à la surface de l’eau après avoir jeter des cailloux regarde « le spectacle de sa propre activité ». (b) Se libérer de l’emprise des pensées sur nous (les extérioriser, les exprimer, les réaliser) On peut penser que le travail permet de se libérer des contraintes naturelles. Se libérer dit HEGEL c’est imprimer les caractères de l’esprit dans le monde extérieur. Le sujet veut transformer

universalité. (exemple de l'assassinat de l'un de leur disciple a cause de sa theorie des chiffres irrationels) ] 6/9/12 dogmata : l'art de poser des these. Eric Weil, philosophe allemand qui a fuit le nazisme. Enseignant a la sorbonne de Paris. Il pense comme un germaniste mais ecrit en francais. (philosophie analytique= anglosaxone / philosophie continentale = occidentale.) Etude du texte d'Eric Weil Enjeux du texte: justification du rejet de la raison de la part de l'homme ordinaire. Tout est

celui qui pense. Les capacités à le faire sont donc les mêmes pour chacun normalement, et selon Descartes, la volonté serait infinie, contrairement aux facultés. Sommes nous si peu maîtres de notre conscience que nous aurions besoin de nous imposer une éthique mentale? D'accord on ne dit pas la plus part de ses pensées en public, mais pouquoi donc s'empècher de les penser? Car penser ne veut pas forcément dire agir. Pourtant on dirait que l'humain a peur de ces pensées secretes, il a peur de l'aliénation