Peut On Concevoir Une Liberté Sans Loi Hobbes

suffire soi-même ? On valorise chez l’individu l’indépendance et l’autonomie mais elles ne sauraient être totales car on ne vit pas seul. Être social, c’est vivre avec les autres. Par suite : être libre consiste-t-il à se suffire soi-même ? On peut remarquer d’emblée le terme “consister” : le prédicat = se suffire donne la vérité du sujet = être libre : la consistance => pas de contrediction. Si je ne me suffis pas, je dépends des autres, donc je ne suis pas libre. L’auto-suffisance est donc

de la société terme apparu au 19° (A. Comte) On voulait trouver une science qui synthétise toutes les sciences Comment faire pour vivre ensemble si on ne s’aime pas/ comment créer du lien social ? « L’insociable sociabilité » (Kant) On ne peut rien faire sans l’autre. L’évolution Au 19° Darwin L’homme n’est en fait pas fixiste (=créationniste) =>l’homme est le résultat d’une évolution (permanente) .donc rien n’est jamais fixé L’éducation Rien n’est déterminé => la

sujet apparaît toujours comme l’application d’une règle générale antérieure. Le pouvoir est censé avoir pour titulaire non pas les Hommes qui l’exerce en fait mais un être distinct à qui les actes sont attribués, cet être est appelé Etat. L’Etat ne peut vouloir et agir par lui-même, aussi, y a-t-il nécessairement des Hommes pour vouloir et agir, mais on présume que leurs actes sont ceux de l’Etat. On use fréquemment alors en droit d’une métaphore, ils sont des organes de l’état. De même, qu’on dit

l’application de la justice dans le peuple, dont les membres participent au bonheur des philosophes de manière imparfaite et inférieure. La justice, qui constitue le principal intérêt de l’état, vers l’aboutissement duquel il dirige ses forces, ne peut, clairement, être obtenue par l’injustice. Par ailleurs, Aristote développa sa propre philosophie de la πόλις dans ses Politiques, dont les principes, s’ils diffèrent en substance de ceux de Platon, ne sauraient trop se distinguer dans leur

Les deux mots à souligner sont "révolte" et "résignation" Révolte : se révolter, c'est désobéir à une règle, une loi, une prescription. Le révolté est celui qui dit non, qui refuse, et pas seulement par les mots mais aussi par l'action. On ne confondra pas révolte et révolution. La révolte peut être le fait d'un individu seul ou d'un petit nombre d'individus et peut s'opérer contre n'importe quelle règle. La révolution, elle, est nécessairement le fait d'un groupe et s'oppose au pouvoir

Cet ouvrage de Rousseau est la réponse de Rousseau à un concours, de l’Académie de Dijon : ‘Quel est l’origine de l’inégalité parmi les hommes et si elle est autorisée par la loi naturelle ?’ Ce sujet porte sur les inégalités pour savoir d’où elles viennent et si elles sont légitimes ou justes. De quel type d’inégalité parle-t-on ? Il y a deux types d’inégalités : - naturelles : qui intègrent les inégalités morales, certains hommes sont naturellement plus robuste, plus fort, voire plus indulgent

19 et le 20è siècle elle avait tjs été critiquée ou rejetée par d’autres courants. Donc dans les siècles précédent la démocratie n’avait jamais eu ce statut de modèle unique, elle avait tjs été rejetée par d’autres courants. Parmi ces courant on peut noter le courant traditionnaliste qui n’acceptait pas les idée de la révolution française. Ce premier courant va disparaître dans les années 1830. Mais à ce courant vont succéder d’autres courant critiques de la démocratie. D’abord dans les courants

principaux destinataires des législateurs. Ceux-ci promulguent la loi. Les sujets sont tenus d’y obéir, même si les lois leur paraissent injustes. Pour Kant, le droit naturel fournit les préceptes de la droite raison que le droit positif doit appliquer. Le droit naturel est péremptoire, prescriptif. Le droit positif l’applique et au besoin punit : le droit positif est provisoire. Nous y reviendrons plus longuement. Pour Hobbes, le droit naturel soutient et fonde l’ordre juridique. Le droit positif

par la loi naturelle ? Telle qu'elle est formulée cette question comporte deux points : celui de savoir d'où proviennent les inégalités – c'est une question de fait -, et celui de savoir si elles sont autorisées par la loi naturelle – c'est une question de droit. Cette dualité se retrouve dans le titre de l'œuvre de Rousseau puisqu'il distingue l'origine ( fait ) et les fondements ( droit ). Cette distinction a été expliquée en cours. On remarque également que la référence à l'idée de loi naturelle

siècle précédent, il s’est avéré que parfois la loi conduit à l'absence de liberté. Il s'agit des dictatures qui utilisent la loi pour contraindre et donc priver le peuple de liberté. En effet, sous le régime d'Hitler, les lois racistes de Nuremberg par exemple, ont totalement aliénée le peuple juif. Dans ce cas, la loi rime avec absence de liberté. Pourtant, la loi permet de garantir la liberté de chacun si son usage est légitime. Par exemple, la liberté d’expression est garantie par de nombreux textes