Phénoménologie de l'esprit

possédant par elle-même une certaine force de conviction pouvant soit contraindre soit libérer. La contrainte porte d'abord et essentiellement sur l'esprit de celui qui fait l'expérience de la vérité. La vérité contraint en ce qu'elle s'impose à tout esprit qui en fait l'expérience. Elle est libératrice en ce sens au moins qu'elle libère l'esprit des erreurs, des préjugés et des opinions. II - ANALYSE DU PROBLEME Le problème qui se pose alors est celui de l'alternative : la vérité est-elle

On peut analyser bien cette opposition en examinant les grandes lignes de cette opposition ; les différences et les ressemblances entre ces deux traditions et les idées différentes de philosophes aux problèmes traditionnels, tels que l’analyse de l’esprit, du problème d’épistémologie, de la connaissance, ou encore de l’existence du monde extérieur. En ce sens, on prendra d’une part Bertrand Russell et le rationalisme russellien qui procède par l’utilisation des méthodes de l’analyse logique et affirme

juge du beau de façon immédiate, qu’il n’y a pas de création artistique sans passion – ce que l’on retrouvera radicalisé plus tard par exemple chez Hume (« la norme du goût » de 1757). Quant à Bouhours (La manière de bien penser dans les ouvrages de l’esprit, 1687), son esthétique de la « délicatesse » représente un moment intermédiaire entre Boileau et Du Bos. Cf. L. Ferry, Homo Æstheticus, p. 52-69. Cf. l’ouvrage classique d’E. Cassirer, La philosophie des Lumières, Fayard, 1966. Pour une chronologie

était absent. L'imaginat° prend une sorte de pouvoir magique qui fait apparaître ce qui n'est pas là. Problèmes : Quel est ce pouvoir de l'esprit ? En quoi consiste-t-il ? Faut-il en parler comme une faculté ou une disposition de l'esprit ? - Faculté ? → suppose une division de l'esprit en ≠ parties, dont chacune a une fonction propre (organisat° de l'esprit) RAISON / VOLONTE / SENSIBILITE IMAGINATION : - Disposition ? → Capacité spécifique de l'être humain, mais est-ce que les animaux imaginent

il est vrai, que ce qu'il y a de plus haut, c'est l'ineffable. C'est la pensée obscure, la pensée à l'état de fermentation, et qui ne devient claire que lorsqu'elle trouve le mot » Hegel, Encyclopédie des sciences philosophiques, Philosophie de l'esprit, 1817. 2] Pensées de philosophes sur le langageBergson : il souligne l'incompétence des mots pour exprimer toute la particularité de la pensée ; le mot est commun, alors que la pensée est individuelle. Du coup, le langage déforme toujours la pensée

Foucault 11 : il s’agit de fixer le statut des sciences humaines face aux • 7 – E. CASSIRER, Philosophie des formes symboliques, trois tomes sur le langage (trad. de Ole Hansen-Love et Jean Lacoste), la pensée mythique (trad. Jean Lacoste) et la phénoménologie de la connaissance (trad. Claude Fronty), Paris, Minuit, 1972. Abrégé PFS. • 8 – Le statut de cette philosophie de la culture, qui doit situer les concepts des sciences humaines encore « apatrides » au sein de la logique générale, n’est cependant

interprète ce que dit autrui . ''Il n'y a pas plus sourd que celui qui ne veut rien entendre ''. >La psychanalyse : permet d'accéder à mon inconscient ( c.f 5 leçons : hypnose , cure par la parole , association spontané ). Paul Ricoeur , Phénoménologie de la volonté : '' la psychanalyse c'est la compréhension de ma conscience par le détour d'une autre conscience ''. >La solution sartrienne : -Si ma conscience n'est pas un objet scientifique mais un projet perpétuel alors il faut que je

pas mieux alors parler d'une philosophie qui ne serait chez Kirkegaard qu'une propédeutique à un discours sur Dieu (c'est à dire à une certaine forme de théologie) ?   ETUDES 2, 3 et 4 Le but de la seconde étude est de démontrer qu'une phénoménologie de la perception ne peut être indifférente à toute théologie. Le point de départ est celui des cours de Husserl de 1905-1906 qui établissent dans le cadre d'une théorie de la perception que celle -ci « traite authentiquement avec les choses »

............17 La théorie des descriptions........................................................ 27 2. Positivisme et phénoménologie ......................................... 40 Les incertitudes du Cercle de Vienne ........................................ 46 L’empirisme sceptique d’Ayer ................................................... 48 Husserl et la phénoménologie ................................................... 52 Contre la notion d’esprit .........................................

quesstons tradi de la métaphysique, de la philo. Ce n’ets pas une réhabilitation de ce que Kant appelle la métaphysique dogmatique car cette réhabilitation est impossible après Kant.Dogmatisme : en philosophie, c’est un point de vue qui considère que l’esprit humain peut parvenir à des vérités certaines et intangibles.La position d’Hzl, comme d’uatres post kantins disnet que la philo ne oeut pas que se questionner sur ses propres instruments mais également s’occuper de leur mise en œuvre.Hegel a is un