Physiciens Ménécée

"comme un bien") -On peut atteindre le (jusqu'à "et à part des vertus") -Conclusion. (jusqu'à la fin). Pour chaque texte rédiger la présentation, le mouvement, les intérêts... Par exemple: Texte 1. Présentation: a) Dans la lettre à Ménécée, Epicure relie, par le principe de causalité l'acte de philosopher et le bonheur: pour être heureux il faut pulvériser (réduire en poudre, atomisme) les opinions vaines qui, comme des fantômes nous font souffrir. b) Dans le préambule il insiste

Créon met en garde Antigone de ce qui n’est pas le bonheur. Pas d’héroïsme, pas de bataille pour des grandes idées. Créon sait que cette conception de bonheurn’est pas idéale. Il sait en avance qu’Antigone sera contre ses idées (l.9 „Tu vas me mépriser encore“). On vera que la vision de bonheur de Créon est assez limitée. Comme cela on peut dire que sonbonheur est une facon pour lui de se rassurer, de se dire qu’à son âge, il a tout de même connu le bonheur. Créon met en garde Antigone de ce qui

parce qu'il n'est pas, mais par ce qu'il est, c'est à dire son essence. Certains philosophes, surtout de l'Antiquité, définissent le bonheur comme l’absence de tout besoin du corps, ni de troubles de l'âme, ainsi que le dit Épicure dans La Lettre à Ménécée, c'est à dire l'ataraxie. Nous pouvons donc penser que l'annihilation, par la raison, la morale ou la vertu, en nous détachant de tout ce dont nous dépendons, nous permet d'accéder à un état ou nous ne ressentons plus aucun besoin, plus aucun manque

2. Les dieux selon EPICURE Dans sa Lettre à Ménécée, Epicure énonce quatre remèdes destinés à favoriser l’absence de trouble chez chacun d’entre nous, et dont le premier est le suivant : « Les dieux ne sont pas à craindre […] ». Epicure n’est pas athée. Il nous dit simplement que les dieux ne s’occupent pas des affaires humaines. Ainsi, il s’évite toute impasse métaphysique en écartant toute hypothèse quant à l’existence ou non de Dieu. En outre, sa proposition est un contrepoids face à l’instrumentalisation

l’antiquité jusqu'à nos jours, les philosophes ont conclus de nombreuses théories sur ce qui est véritablement le bonheur, le constat est bien différent. Dans la philosophie antique, Epicure a écrit le premier traité sur le bonheur s’appelant La lettre à Ménécée, il nous dit que le but de la vie humaine est alors le bonheur, une fin parfaite et le « souverain bien ». Ensuite la morale chrétienne introduit la notion de vertu dans le rapport avec le bonheur. Ils tentent de remplacer le bonheur par cette vertu

Donner un sens à la vie qui n’est pas le sens ergonomique. Exemple : Le voile Etre celui que les autres veulent voir !! Connaît toi, toi-même ! Rien de trop, c'est-à-dire ne pas être quelqu’un que l’on n’est pas Epicure : Lettre à Ménécée !! (Voir dans les documents) Quatre remèdes d’Épicure : TETRAPHAMAKON. 4 souffrances : Ne plus craindre les dieux, c'est-à-dire si je ne crains pas c’est que les dieux ne veulent ni bien, ni mal. Quelque soit la vie que l’on a, on a

La quête du bonheur est inévitable, chacun recherche à se construire une vie heureuse. Mais quel est l’ingrédient du bonheur ? A chercher sans cesse le bonheur et à en faire le but de notre existence, il est possible que nous ne le trouvions jamais, du moins pas consciemment. Il est ainsi intéressant de se demander si le bonheur est accessible : comment sait-on que l’on est heureux ? Et qu’est-ce que le bonheur ? Peut-on être heureux dans la misère ? Faut-il satisfaire ses eLa quête du bonheur est

Réflexion sur le bonheur et le fait d’être heureux Récemment, j’ai du répondre à une amie, qui me demandait de lui parler du bonheur en quelques mots. Quel vaste sujet ! Je pense que le bonheur est à la portée de tous, sous des formes très diverses. Chacun trouvera son bonheur dans des situations très différentes, le bonheur est donc très dépendant se la personnalité. Un évènement qui me rend heureuse n’aura pas le même impact sur mon voisin. Il est donc important de se connaître

VOLTAIRE dit que ce n'est pas la prospérité qui suffit à nous rendre heureux, ce qui veut dire que c'est ni l'argent ni les biens matériels (objets) qui peuvent nous rendre heureux. Il dit alors sur l'on doit modérer nos prétentions au bonheur, ce qui signifie que l'on doit à avoir envie d'être heureux mais ne pas trop en demander, il dit aussi qu'il faut se contenter d'être le moins malheureux possible, que c'est le début du bonheur, pour la part il me semble que t'as assez de belles choses dans

indépendants de nous) et quand une chose est incertaine, il faut se la représenter comme impossible. * Exemple : ne pas tenter de réaliser nos rêves / « J’ai décider d’être heureux car c’est bon pour la santé », Voltaire. B) Cf. Epicure, Lettre à Ménécée : * Apprendre à désirer moins. * Epicurisme = hédonisme : être heureux c’est éprouver un max. de plaisirs et un min. de déplaisirs. * Morale de sobriété : limiter ces désirs à ceux qui sont essentiels. * Exemple : les besoins vitaux