Phèdre Esthétique Classique

qu’un veau/Qu’on mène aux champs. (Clément Marot, Rondeaux, 1532) Origine et évolution du rondeau. Ce poème à forme fixe, datant du Moyen Âge, survit à sa condamnation par la Pléiade. Dans la seconde moitié du XIXe siècle, les poètes de l’ École esthétique ressuscitent le genre qu’ils nomment d’un de ses noms médiévaux : rondel. Conformément à son étymologie (rondellus en latin médiéval), le rondeau est construit autour de la figure du rond, d’une part par sa forme (le propos se clôt en revenant sur

l’écrivain le plus dévoré dans les classes Corneille) ou post – classique( applicable à des partisans enthousiastes du classicisme, comme la bruyère) peuvent être utilisées sans trop d’arbitraire. En revanche, si l’on veut ramener le classicisme à sa définition pédagogique, élaborée après les années 1850 et très élargie, les critères s’affaiblissent, se brouillent, parfois s’évanouissent ; cependant, la notion bourgeoise et didactique du classique, et même la fiction de ses quatre mousquetaires, racine

quelle que soit la proportion de parole et d'action scénique.] XXX Commençons par nous intéresser à la prédominance du langage, [d'une part pour des raisons esthétiques], [d'autre part parce que la parole reste un moyen fondamental d'asseoir une tonalité, un genre]. XXX Il suffit de feuilleter n'importe quelle pièce du théâtre classique, et en particulier n'importe quelle tragédie, pour observer la disproportion entre les répliques et les didascalies, lesquelles s'en tiennent souvent à l'annonce

artistiques, sculpture, peinture, littérature, architecture, théâtre et musique et se répand rapidement dans la plupart des pays d’Europe. Le théâtre baroque : Le théâtre baroque peut se définir, dans un premier temps, comme le négatif du théâtre classique. À l’analyse intellectuelle, le baroque préfère l’émotion, la perception ; face à la recherche de la vraisemblance, le baroque promeut l’illusion ; à l’unité de ton, le baroque privilégie l’inconstance et le paradoxe ; à la simplicité, le baroque

Classicisme, encyclopédie Universalis 1. Tentative de délimitation 2. L’esprit du classicisme 3. Le sort du classicisme I. Tentative de délimitation Il est trop clair que ceux que nous dénommons aujourd’hui les classiques, en France ou hors de France, n’ont jamais connu ce terme et ne se le sont jamais appliqué à eux-mêmes. Voltaire ne les a pas davantage appelés ainsi. C’est uniquement à l’époque de la Restauration et du règne de Louis-Philippe que, pour combattre les jeunes

siècle, le classicisme< Les principes du classicisme Les classiques partagent une même vision de l'art et de l'homme. Les théoriciens élaborent les règles du beau, fondées sur la lecture des œuvres de l'Antiquité. Plaire et instruire. L’art doit d'abord émouvoir, c'est-à-dire provoquer le rire ou les larmes. Mais il doit également apporter un enseignement moral de manière à corriger les hommes. Rechercher la clarté. Pour l'écrivain classique, la beauté passe d'abord par la simplicité et le naturel

définitions historique et esthétique, le sens du terme « classique » a été étendu jusqu'à désigner tout écrivain dont l'œuvre semble propre à être étudiée dans les écoles pour y servir de modèle. Dans un sens encore plus large, est classique toute œuvre culturelle qui est devenue une référence: on dit ainsi couramment de tel film qu'il est un classique. En latin, classicus signifie "premier ordre", "citoyen de première classe", et le terme connote l’idée d’excellence. Un classique est donc un auteur reconnu

Classicisme :  Codifier chaque genre littéraire et respecter les règles esthétiques fixées  Peindre avec goût naturel et vraisemblance les caractère et les sentiments  Trouver un idéal fait d’équilibre , de symétrie et d’honnêteté( sur le plan sociale et moral)  Instruire et distraire a la fois le public corneille Tragédies « Horace » « L’illusion Comique » Racine Tragédies « Andromaque » « Bérenice » « Phèdre » « Le bourgeois Gentilhomme » « Le misanthrope » XVI I : Baroque Classicisme

spécifiquement (sauf Les Bacchantes d’Euripide) au culte de Dionysos. Ils reprennent pour la plupart : les grandes légendes : la Guerre de Troie, les Atrides, Œdipe, etc. les grands mythes : le retour du vengeur, la malédiciton pesant sur une lignée (Phèdre). Les grands auteurs tragiques sont à connaître car les auteurs français s’en sont largement inspirés : ESCHYLE (525-456 av JC) : le vrai créateur de la tragédie (Les Perses, L’Orestie, Prométhée enchainé, etc.). Il montre le face à face de l’homme

| | | | | | | |III- Les règles de la tragédie classique en France | | | |[pic]Les trois unités | | | |[pic]Les unités