Planogramme Hypermarché

CHAPITRE 4  : LA CONCEPTION ET LA POLITIQUE COMMERCIALE DU PDV 2 objectifs  : · Rétention  : le point de vente va faire en sorte que le client restele plus possible à l’intérieur , qu’il en voit le plus possible. Mais lui veut faire vite, l’idée est de retenir le consommateur mais sans en avoir l’air. · Impulsion  : mettre les marges

cible est claire et que le concept a pris corps, il faut en tester la pertinence et en évaluer le potentiel. | Dans Scantrack e-CENSiel, vous accédez à une information précise, issue d’une collecte d’informations couvrant 96% en valeur du total Hypermarchés et Supermarchés en France. La précision obtenue vous permet d’observer la diffusion des nouveaux produits au niveau le plus fin : les enseignes, les régions de l’enseigne et vos propres régions de vente. Vos équipes accèdent à des analyses guidées

indépendant, commerce intégré (présence d’une centrale d’achat : Monoprix, Castorama, Carrefour ….), commerce associé ( franchise, groupement d’achat …). ( Type de point de vente : ex : magasin traditionnel spécialisé, GSS, supérette, supermarché, hypermarché, magasin populaire …. ( Surface de vente ( Personnel  1.2 LA POLITIQUE COMMERCIALE DU POINT DE VENTE ( Politique de produits : - Mesure de l’assortiment (ample ou restreint , large ou étroit, profond ou peu profond). - Groupe de

de la distribution, cad: demande d'1 produit= part de marché du produit / disponibilité valeur du produit Marchandisage de séduction et marchandisage de gestion Par Jacques RICHET :: BEP : Gestion des produits Dans la grande distribution (hypermarchés, supermarchés et magasins de proximité), le linéaire doit être organisé pour déclencher l'achat du client (vente en libre-service). On parle alors du pouvoir vendeur du rayon. Les produits sont implantés selon des règles de marchandisage de séduction

réalités qui expliquent : que les consommateurs aient réduit la fréquence de leur approvisionnement et le temps passé à faire leurs courses. que les consommateurs passent de moins en moins de temps dans les magasins. Le temps moyen passé dans un hypermarché était de 90 minutes en 1980, il est inférieur à 50 minutes aujourd'hui. que les consommateurs fréquentent plus de magasins (3,3 aujourd'hui, contre 2,8 il y a 10 ans) car ils utilisent de plus en plus leur voiture (88% aujourd'hui, contre 50% il

– d’une analyse du marché (panels consommateurs et distributeurs) ; – des attentes et comportements des chalands (réalisation d’études « shoppers » par des sociétés d’études spécialisées comme Brion Consultants.. .) ; – des rayons existants en hypermarchés et supermarchés (store-checks relevés établis par la force de vente et/ou par des sociétés d’études) ; – de la stratégie de la marque et des concurrents. . Concevoir ou acquérir les outils qui concrétisent cette politique dans les linéaires

|Un large assortiment en |implantés dans les périphérie. | | | | |alimentation en |Fréquentés principalement par un | |Hypermarchés |2500 m² ≤ x |Plus de 4000 |marchandise général |clientèle motorisée. | Les réseaux de distribution au Maroc : |Nom de société |Enseigne

sur le fait que la partie analyse des performances représente une part importante de la notation de votre travail. - Exemples de documents internes à demander : fichier fournisseurs, état des stocks, mobilier disponible, plan de magasin, rayon, planogrammes, planning promotionnel… - Faites preuve de réalisme dans vos recommandations, n’oubliez pas les contraintes avec lesquelles vous devez composer :  le linéaire développé disponible (dépend de la technique de vente et du mobilier) ;  le minimum

sémiotique Classement Analyse sémiotique Identification des pratiques spatiales en fonction de la Bonnin valorisation de l’expérience de (2000a) magasinage en hypermarchés et magasins spécialisés Identification des pratiques spatiales en fonction des Liquet et catégories recherchées et Ghewy (2002) exposées en hypermarchés et magasins spécialisés Analyse sémiotique Classement L’observation a eu lieu au sein d’un magasin spécialisé vendant des vêtements pour hommes, femmes et enfants

place pour l’ensemble de leurs magasins un merchandising global reposant sur le positionnement choisi par l’enseigne. Aujourd’hui les consommateurs sont nombreux à considérer le temps passé dans le magasin comme une contrainte et les courses en hypermarché comme une corvée (Libre Service Actualités, novembre 1996). On vient de moins en moins dans un magasin pour flâner et de plus en plus pour acheter. Au cours de ces dix dernières années, la durée de visite a été réduite de plus d’un tiers. Le client