Platon Cité Idéale

on se situe, de l’espace , et de la société. Le droit est un ensemble des règles orales ou écrites qui dicte la conduite et les rapports entre les hommes d’une même société. I. Le droit dans l’antiquité de l’Orient ancien aux cité grecques. L’antiquité est une histoire de 4000 ans avant notre ère , et on observait qu’i l y’avait une partie du monde plus habitais que d’autre, qui correspond aujourd’hui à l’orient, c’est à dire l’Iraq, la Turquie etc. Toute ces zones

SOCRATE (470 – 399 av JC, Athènes)  Un des 1er philosophes PERSONNAGE – CONTEXTE - Naissance de la démocratie, Athènes devient une cité autonome - Figure emblématique de la philosophie - Connaissance de sa vie à travers Platon, condamné à mort. - >< Sophistes (gens qui se font passer pour des savants alors qu’ils n’ont que des opinions). - Démarche par le questionnement, surtout des questions d’ordre moral. - Inventeur de l’intellectualisme moral (Conviction de Socrate : par un usage correct

la théorie des « quotas » (2) que l’on observe fortement dans les grandes écoles telles que Sciences Politique. 1) Définition du concept de discrimination politique… 2) …qui mène à la politique des « quotas ». B) …Cependant, malgré son idéal méritocratique et social (1), l’école de la république semble perdre pied pour ce qui est de l’intégration, puisqu’une « école à plusieurs vitesses s’est installée dans les faits » (2) ; en ne faisant que renforcer la thèse de Bourdieu : « Le privilège

Le passage soumis à notre étude est tiré de l’œuvre le politique de Platon, Traduction Dacier et Grou, 1885 (pages 91 à 92 et 97 à 98). L’auteur est un philosophe de l’Antiquité qui vécut entre -427 et -347. Dans ce passage il s’agit de la différence entre la science royale et la démocratie. Pour ce fait l’auteur à travers un dialogue tente de répondre à la question de savoir en quoi la science royale est-elle différente des autres régimes ? Dans son argumentation, l’auteur a structuré son texte

consolider ou atteindre des objectifs qui sont en accord avec les idéaux dominants de leur époque. Parfois, il s’agit d’obéir à des impératifs moraux ou religieux tel que celui de plaire aux dieux ou du moins de pas les offenser. D’autres fois, il s’agissait d’enrichir la monarchie en remplissant ses stocks d’or et de métaux précieux. Enfin, certains auteurs osent aller à l’encontre de certains consensus établis et donnent à leurs idéaux d’autres objectifs tel que plus d’égalité sociale, plus de liberté

: selon Platon l’homme n’est pas bon de nature ; de nature l’homme ne pense qu’à ses intérêts et commettre le bien ne fait pas nécessairement partie de ses intérêts. - Faire le bien n’est donc pas dans la nature humaine ; il faut obliger l’homme à faire le bien. Or qui d’autre que les lois peuvent l’y obliger ? Ainsi la visibilité symbolise-t-elle les lois devant qui nous devons répondre de nos actes (responsable = responder = répondre de) - La conclusion est donc que selon Platon les lois

Explication de texte Protagoras, Platon : mythe de l'origine et de la fonction du politique. Introduction : Le Protagoras (ou Les Sophistes) est un dialogue de Platon. Protagoras, originaire de la cité d’Abdère, était un sophiste particulièrement réputé. Ses longs voyages à travers la Grèce, la Sicile et l'Italie lui permirent de dispenser son immense savoir à qui voulait en bénéficier, ce qui le rendit très riche. On trouve une première fois le mythe de Prométhée dans la Théogonie d'Hésiode

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pour lui-même, il se condamne à être malheureux. Socrate est condamné à mort en -399. Platon en est complètement traumatisé. Il se rend compte que non seulement l’erreur a le pouvoir de masquer la justice, mais aussi le pouvoir de l’assassiner. Pour Platon, la mort de Socrate représente la mort de la justice par l’opinion, par le mensonge et par le vice. Dans toute sa République, il tente de créer une cité idéale au sein de laquelle la vérité, la raison et le savoir imposent leurs lois. Comment faire

il devient l'un des chefs de la retraite des Dix Mille. Il en fera le récit dans l’ Anabase. Après un séjour à Athènes, il quitte rapidement la cité après le décès de son ami Socrate. En 396, il combat dans l'armée du roi de Sparte, Agésilas son ami. Il participe à la bataille Coronée ou les Athéniens sont défaits qui décident de son exil de la cité. Il rejoint alors Scillonte, en Élide, dans un domaine attribué les par Lacédémoniens. Profitant de cette semi-retraite, il