Platon Critique De La Démocratie

vaincu et dominé par les spartiates) La cité grecque est très diverse dans l’espace comme dans le temps : Dans l’espace : Spartes est dominée par une aristocratie théoricienne conservatrice alors qu’Athènes sera souvent dominée par une démocratie urbaine donnant naissance à une vie intellectuelle et culturelle prestigieuse notamment à l’époque de Périclès (443-429). Dans le temps : les régimes se succèdent au sein des cités du fait des conflits entre intérêts urbains et intérêts ruraux

Résumé de la République de Platon : La République est le livre le plus célèbre et le plus influent de la philosophie de Platon. Mais en soi, la République n’existe pas, ni en théorie ni en pratique à son époque. Elle est donc inventée, construite par l’architecte Socrate. Mais le thème majeur de ce dialogue est celui de la justice ou : comment organiser la cité ? Le livre est organisé en 10 livres distincts, durant lesquels Platon présente les différents aspects de sa cité idéale, de la place

La démocratie contestée a : - Aristophane (Né à Athènes (Grèce) en -450 ; Mort à Athènes (Grèce) en -386) Aristophane est le premier dramaturge connu à offrir des comédies au public grec. Il en compose plus de 40, dont 11 parviendront jusqu'à nous, parmi lesquelles Les Acharniens (-425), Les Nuées (-423), La Paix (-421), L'Assemblée des femmes (-392). Son style, un mélange de poésie, d'humour et de grossièreté est inédit et rend ses pièces très populaires. Aristophane y critique

juste et injuste. Il exige un critère moral et politique (Platon) • L'anneau de Gygès La justice n'est pas un état naturel ; elle est un résultat de la loi ; elle n'est pas le produit d'un calcul d'intérêts., Après un tremblement de terre, Gygès viole une tombe, vole un anneau, par curiosité accomplit des actions injustes, s'empare du pouvoir. Tout repose sur une injustice primordiale (un homme juste serait resté berger). Platon • Justice terrestre et loi éternelle

serait interdite d’après la définition du droit kantienne. La digotomie entre quid iuris et quid ius indique l’opposition entre la philosophie du droit et la théorie générale du droit. Déjà sous l’Antiquité on retrouvait cette digotomie avec Platon qui avait une approche spéculative et Aristote qui avait une approche concrète, empirique des régulations juridiques. En Allemagne, le retour vers le droit naturel a été le moyen de rappeler qu’il y a des valeurs que le droit positif ne peut pas

l'extrait étudié. → Lecture On remarque trois temps dans cette remarque, d'abord des phrases à la modalité interrogative de la ligne 1 à 16 qui s'interrogent sur la nature humaine en faisant des suppositions afin de renforcer la rhétorique de la critique des faux semblants. Puis de la ligne 17 à 23, avec cette fois-ci des phrases à la modalité exclamative qui remettent en cause des phénomènes sociaux. Et enfin, de la ligne 24 à 26, nous pouvons remarquer que les deux dernières phrases agissent

magistrats. Pensée politique antique de Platon, Aristote. Il existait des pouvoirs puissants voulant éviter l’abus de pouvoir : proto-constitutionnalisme. Idée progressive, d’abord des critiques des hiérarchies totales, idée germe que celui qui préside doit être élu de tous : principe délibératif. Corporations ont écrit la C en 1789.Héritage du passé important, mobilité des idées et des personnes. Voyage des institutions. Goût pour la modération du pouvoir, critique de l’absolutisme. Constitutionnalisme

tragédie : critique des valeurs aristocratiques, méfiance envers la démesure. Exemple de l’Orestie d’Eschyle : institution d’un tribunal de citoyens (l’Aréopage) pour mettre fin au cycle infernal de la violence, c'est la naissance de la démocratie. Grandes idées : citoyenneté (notion d'un espace publique → Agora), liberté, isonomia (égalité face aux lois). Texte : Thucydide, discours de Périclès. Les lois sont vraiment le symbole de la démocratie. * Les faiblesses de la démocratie Dérive démagogique

feriez vous si vous étiez à la place de celui qui a le pouvoir ? » Penser/Action Idéalisme/Réalisme : Conflit -Platon : quitte le réel pour accéder au monde des idées. (La caverne) -Machiavel : « non pas étudier la politique telle qu’elle doit être mais telle qu’elle est.» Deux extrêmes à éviter. Prb : L’une et l’autre manquent leur objet, cad manquent la politique Pq ? Platon : Pcqu’elle supporte le tragique de la vie humaine. Faire disparaître toute conflictualité puisque nous convergeons

précisément le point soulevé par Platon dans l'extrait du Gorgias qui nous est soumis, dans lequel Socrate fait à celui-ci l'apologie de l'acceptation de la réfutation par toute personne soucieuse de progresser dans le savoir. Nous nous efforcerons d'étudier sa pensée, exposée ici, afin d'en saisir toute la dimension philosophique et, par là, de comprendre que la sagesse passe par la remise en cause de nos convictions premières. La pratique abordée par Platon est celle de la dialectique en