Platon La République

est ainsi ou autrement." (Phèdre, 275b-c) Si les érudits de l'antiquité avaient déjà des doutes sur l'authenticité de certains des écrits attribués à Platon (ainsi par exemple, une tradition très ancienne attribue l'Epinomis à Philippe d'Oponte, un disciple de Platon auquel on attribue aussi l'"édition" des Lois, inachevées à la mort de Platon), ils ne manifestaient guère d'intérêt pour la chronologie de leur composition, qui semble tant soucier les spécialistes contemporains ; ils se souciaient

(mal de coulpe) comme faute, le fait de manquer à ce qu'on doit. ========================== Deux problèmes: 1-Comment accorder la réalité du mal dans la création avec la perfection infinie d'un Dieu créateur. => Dieu est innocent: Platon, République, II, 379 b et X, 617 e. (incontournable) => Le mal n'a rien de positif: Bossuet, Sermons sur l'honneur II; Gilson, Le thomisme p.217. => "Si Dieu existe d'où vient le mal? S'il n'existe pas d'où vient le bien?" Leibniz, Théodicée I.

Allégorie de la caverne (Platon) Il s’agit d’une allégorie, représentation concrète – c’est-à-dire dont on peut faire l’expérience – d’une idée abstraite – c’est-à-dire qui ne peut pas faire l’objet d’une expérience. On peut ainsi faire l’expérience de la liberté, dans un cas précis, mais l’idée de la liberté, dans toute sa généralité, ne peut pas être l’objet d’une expérience. Un peintre pourra proposer l’allégorie de la liberté, comme Delacroix l’a fait avec la Marianne de la Liberté guidant

Soundess MARHOUM Philosophie et rationalité340-101-MQ. Gr :003  L’argumentation et l’aporie dans le Livre I de La République de Platon  Travail présenté à :  Mme Christiane GauthierLe 26 septembre 2022Cégep Marie-Victorin 2022-09-26 L’argumentation et l’aporie dans le Livre I de La République de Platon En philosophie, l’aporie est un état de confusion auquel nous ne pouvons résoudre. Les effets négatifs de l’aporie sont le sentiment d’être perdu, d’égarement et d’inutilité. Être

plus si l’œuvre d’art peut etre définit comme illusion , c’est par ce qu’elle exerce une fascination . La represenation artistique est déinit en grecque par le mot eidelen qui a donné le mot idole , ont peut parler d’une idolatrie du beau . Platon dans la République considère l’artiste comme un sorcier «  c’est pour s’etre attacher a ce fameu etat de nature que la peinture en trompe l’œil n’est pas loin d’etre une sorcellerie ». La beauté suscite l’enthousiasme au sens ethymologique du terme. Le « H »

c'est la pratique qu'en fait Socrate, dans les dialogues de Platon (où l'on trouve un usage abondant du mot), qui fixera le type de recherche et de questionnement en quoi consiste encore aujourd'hui la philosophie4. Le terme est composé des mots « ami » (philos) et « sagesse, savoir » (sophía), la « philosophie » signifiant ainsi : « amour de la sagesse » ou « amour du savoir ». La philosophie est à plusieurs reprises définie par Platon comme étant en opposition avec les désirs « humains » : philo-hèdonos

signifie « en aucun lieu », ce qui pose directement un contraste avec la notion de politique, qui vient de « polis » qui veut dire « cité ». Le modèle de société idéale procède d'une tradition qui remonte à l'Antiquité grecque, énoncée dans La République de Platon. Cette notion est à définir avant tout engagement politique afin de garder une ligne directrice, elle est donc étroitement liée avec la politique. La société désigne l'état des individus qui vivent dans un groupe organisé, avec des institutions

Apologie de Socrate, Platon I- Biographie de Socrate : Fils d'un artisan sculpteur et d'une sage-femme, Socrate a très tôt été attiré par les questions morales. Citoyen exemplaire, il s'oppose à la démagogie qui règne alors à Athènes. Dans des discussions qu'il dirige en maître avec les habitants de la ville, il pousse chacun à dépasser le niveau des vérités de sens commun et à partir en quête de la connaissance vraie. De plus, puisque l'ignorance mène à l'injustice, il tente d'abolir la séparation

est beau et bon pour celui qui commande, et d'une race bonne et belle, alors que l'autre est le contraire et d'une race contraire. Dès lors, dans notre cas, c'est quelque chose de difficile et d'ingrat que d'être cocher. Commentaire : Pourquoi Platon convoque-t-il cette image ? Sans doute parce qu'il nous est difficile, voire impossible, de définir réellement ce qui nous tient lieu de principe. Ce qui structure notre être, ce qui nous est le plus proche et le plus profond est aussi ce qui est

Plan de La République de Platon Prologue (Livre I) A travers la discussion entre plusieurs interlocuteurs (Socrate, Céphale, Thrasymaque et Polémarque) vont se profiler tous les thèmes de La République auxquels Platon va répondre au livre X. Thrasymaque expose la thèse des sophistes sur la justice. Socrate parvient à montrer qu’il faut reprendre la question de la justice pour la définir. Qu’est ce que la justice ? (Livre II à IV) Les deux interlocuteurs de Socrate seront Glaucon et Adimante