Platon Lois Propriété Privee

c’est-à-dire toutes les lois inhérentes à la nature humaine, inscrites en chaque homme (donc universelles) indépendamment du droit écrit : ce sont en quelque sorte des valeurs, des principes que les hommes s’encouragent à poursuivre, intuitivement selon leur nature, leur «cœur» et leur raison, par le seul fait qu’ils sont des hommes. Celui-ci correspond donc à une Idée de l’Homme au sens où l’entendrait Platon. Le «droit divin», quant à lui, désigne l’ensemble des lois justifiant et édictant nos

l'amour, du désir et cette sorte de loi humaine qui veut que tout désir exacerbé porte ou comporte en lui-même sa propre condamnation : une justice immanente régissant l'économie du désir. La publication des lois sur les places publiques sont des topiques proposés par un prince. Ces lois étaient les grands principes protecteurs du droit. Le fondement du droit est de protéger le préjudice. La caractéristique de "topique" c'est à dire "topos" = c'est le lieu commun c'est à dire l'évidence dont s'interressent

habileté. Ils n'attachent à l'or et aux pierres précieuses qu'une importance esthétique et ne s'en servent que pour rendre leurs villes plus belles Ils ne connaissent ni l'envie ni la jalousie et ne se s'adonnent à aucune guerre de conquête. la propriété privée n'existe pas plus que la notion de classe sociale. A la sagesse des "barbares" qui sont hospitaliers et qui vivent tranquillement au sein d'une nature luxuriante, il oppose la cruauté des Européens qui ne pensent qu'à s'enrichir, qu'à détruire

s’il est riche, il va participer à un impôt, une liturgie. Cet impôt consiste à faire payer des mesures communes comme l’organisation d’une fête ou la construction d’un bateau. Néanmoins le métèque n’a pas de droits politiques, ni l’accès à la propriété foncière. Il peut exercer tous les métiers. On pense que vers la fin du 4e siècle, il y aurait eu 10.000 métèques à Athènes, mais on ne sait pas si ce nombre représente les hommes seuls ou les familles entières. Et ce chiffre a varié considérablement

politique est une réflexion sur l'homme social, la nature dans relations et la structure humaine. B. La république de Platon. La vision de la cité idéale. Platon V ème avant JC. Siècle d'or. Platon est un idéaliste. Ces idées, concepts existent. Toute chose à son prototype, son idée et l'idée est plus importante que sa mise en œuvre. L'idée est la vrai chose. Platon ne réfléchit pas sur la réalité des phénomènes politiques, mais se pose des questions de fondamentales: qu'est ce que la cité

loi''. Il est nécessaire de connaître les lois, mais il y a une inflation de la réglementation, on ne peut pas tout connaître. (10500 lois en vigueur) . Problème de plus en plus important, on ne peut pas connaître toutes les lois, toutes les règles juridiques, on tend juste à accroître ses connaissances. Ce qui est important n'est pas de tout savoir mais de savoir rechercher et utiliser ses connaissances. Ce n'est plus le juriste qui maîtrise les lois, avec internet (base de données) chacun peut

nous sommes les victimes. Fondamentalement, par quoi sommes-nous trompés ? Nous avons donc dégagé 2 axes sur lesquels repose tout le problème de la notion d’illusion : • L’illusion reposant sur un défaut de connaissance. Que ce soit les sens (Platon, Descartes) ou la Raison Pure (Kant), l’illusion pose le problème des limites de notre nature qui n’est pas maîtresse de la vérité ; et un problème structurel : Dès lors pouvons-nous remédier à l’illusion ? • L’illusion reposant sur nos désirs

la Cité c'est la recherche commune du bonheur qui se définit comme la vie bonne selon la vertu. Et pour l'homme et bien ce bonheur n'est pas possible sans amitié des autres citoyens. Pour parvenir à cette fin, au bonheur, les citoyens ont besoin de lois communes et des institutions communes auxquelles ils doivent se soumettre. Si Aristote nous définit assez clairement ce qu'est la Cité, il n'éclaire pas sa naissance. B) Les conceptions historiques des Modernes Trois série d'explications historiques

règle de conduite A – Distinction quand à l’origine B – Distinction quand à la finalité C – Distinction quand à la sanction Section II – Les spécialisations de la règle de droit I – Le droit privé A- Le droit civil B – Le droit social C – Le droit commercial D – Le droit des sûretés E – Le droit international privé F – Le droit pénal II – Le droit public A – Le droit constitutionnel B – Le droit administratif C – Le droit des finances publiques D – Le droit international public CHAPITRE II – L’élaboration

PLATON, La République, IVe av. J.-C., ed. GF (fiche réalisée par Emma G) LIVRE I  Socrate et Glaucon s’arrêtent pour dialoguer avec Polémarque, Adimante et Nicératos. Céphale se lance le premier dans le dialogue avec Socrate  : - [328e-331b] réflexions autour de la vieillesse - [331d] Qu’est-ce que la justice ? = faire du bien à ses amis/du mal à ses ennemis ? = en temps de guerre ? Non, aussi en temps de paix [333b] = justice inutile pour les usages, et utile sans usage [333d] = il est juste d’aimer