Positive psychology

de la procrastination. Il est intéressant de noter que cette recherche et d'autres recherches connexes sur l'épuisement de l'ego ont également montré qu'avec du repos ou des types particuliers d'intervention, tels que l'induction d'une humeur positive (Tice, Baumeister, Shmueli, & Muraven, 2007) ou l'affirmation de soi (Schmeichel & Vohs, 2009), la capacité d'autorégulation et donc la capacité de réguler l'humeur de manière adaptative est restaurée. En outre, d'autres études indiquent

les relations familiales positives constituent un facteur de protection face aux problèmes de conduite de l’adolescent, elles sont également à l’origine de ressources psychosociales pour l’individu et ces ressources facilitent les processus adaptatifs à l’âge de l’adolescence. Ainsi, différents auteurs ont observé que les relations familiales positives contribuent au développement d’une valorisation positive de l’individu par lui-même, c’est-àdire, d’une estime de soi positive (DuBois, Bull, Sherman

négatif entre les attentes individuelles, relatives au succès escompté, et la performance, dans la réalisation des tâches réalisées (Locke, 1968; Locke, et Mento Katcher, 1978). Au contraire, les théories VIE annoncent l’existence d’une corrélation positive entre l'attente de l'individu par rapport à ses succès futurs, et le niveau de performance dans la réalisation des tâches (Arvey, 1972; Mento, Cartlege et Locke, 1980; Motowidlo, Loehr et Dunette, 1978). Pendant plusieurs décennies, les chercheurs

of happiness.' Adrian White, an analytic social psychologist at the University’s School of Psychology, analysed data published by UNESCO, the CIA, the New Economics Foundation, the WHO, the Veenhoven Database, the Latinbarometer, the Afrobarometer, and the UNHDR, to create a global projection of subjective well-being: the first world map of happiness. The projection, which is to be published in a psychology journal this September, will be presented at a conference later in the year. Participants in

les fonctions cognitives les plus basiques. La psychologie sociale apporte des réponses à ces deux questions fondamentales. En effet, celle-ci nous apprend que la présence d’autrui module souvent les performances et que cette influence peut être positive ou négative. Dans le premier cas, nous parlerons d’effet de facilitation sociale : la présence d’un stimulus social (i.e., autrui) facilite les performances. Dans le second, nous parlerons d’effet d’inhibition sociale : la présence d’un stimulus

les expériences d'interaction (Taylor et Todd, 1995). Notre recherche se limite à l'étude de l'impact des traits de l'individu sur l'état émotionnel. Notre objectif est de connaître qui sont les individus les plus susceptibles de vivre une émotion positive lors de la visite de certains sites précis d'achat (Eastlick et Lotz, 1999). En somme, notre recherche tâche d'étudier la relation de dépendance entre les traits de l'individu, l'état émotionnel vécu lors de la visite d'un site commercial

pas mettre toutes les émotions sur un même niveau, car même si elles possèdent une intensité ou une valence identique elles n’auront pas probablement pas le même impact sur le comportement des individus. La joie et l’admiration sont deux émotions positives, mais elles n’inciteront pas les individus aux mêmes actes. L’aspect novateur de notre étude réside aussi dans notre prise en compte du niveau de risque de la situation, c'est-à-dire de la possibilité que le produit en question nous amène moins de

auto-conscientes, dépendent de la menace sociale auquel l’individu est confronté. L’individu doit faire face à plusieurs menaces au cours de sa vie, dont les menaces sociales. Dans cette perspective, l’individu essaye de maintenir une perception positive de lui-même, c’est-à-dire une certaine estime de lui. Plusieurs études ont étudié l’effet d’un feedback négatif sur l’estime de soi et la construction de soi, et les résultats tendent à montrer que le feedback négatif est une menace pour l’individu

perception qu’un individu a de lui-même ; ses choix se font donc en fonction de ce qui peut lui correspondre au mieux selon ses termes et le valorise dans l’idée qu’il a de lui-même. Un objet qui lui appartient sera donc forcement évalué de façon positive par l’individu ; il en est de même pour un objet immatériel tel qu’une lettre (la lettre du prénom d’une personne lui appartient). Le concept de soi est ici renforcé par la théorie de l’égotisme implicite (Jones, Pelham et Mirenberg, 2002) qui,

de motivation et d'action (Nuttin, 1980; Staats et Stassen, 1987). 111 Le bien-être psychologique La notion de bien-être adoptée ici est large et multidimensionnelle. Elle correspond à l'expérience subjective de l'individu. Cette conception positive ne se limite pas à l'absence de symptômes, mais suppose l'adaptation aux pertes inhérentes au vieillissement (Lebowitz et Niederehe, 1992), l'adoption de nouveaux rôles (Erikson, Erikson et Kivnick, 1986) et l'optimisation des capacités disponibles