Positivisme Juridique

Ces théories, qui fondent toutes le droit international sur la volonté des Etats, se présentent toutefois sous trois aspects différents: -le volontarisme unilatéral avec Georg Jellinek; -le volontarisme plurilatéral avec Heinrich Triepel; -le positivisme avec Dioniso Anzilotti. Bibliographie: Nicolas Israel, "Spinoza, le temps de la vigilance", Payot, 2001. Chapitre IV- Les fondements du Droit international public Paragraphe I - Le volontarisme unilatéral: la théorie de l'autolimitation

avec le « droit à » aujourd’hui. * La théorie du positivisme étatique, celle d’Aubert. Le droit vient de l’Etat, le respect du droit est assuré par la contrainte étatique. L’avantage est une meilleure clarté. Mais les inconvénients sont que cela ne prend pas en compte des phénomènes juridique qui ne sont pas d’origine étatique. Ce critère est dépourvu de valeur morale, ex le droit nazi. Cette théorie n’est pas suffisante. * Le positivisme sociologique, le droit est d’origine sociétal, la règle

Principe généraux du droit Droit : au sens le plus large, le mot droit désigne la science juridique avec son propre langage et son propre vocabulaire. Au sens plus étroit, il y a deux notions essentielles : droit objectif opposé au droit subjectif. Droit objectif : règle de droit c’est à dire l’ensemble des règles juridiques qui régissent la vie des hommes en société, toutes les règles applicables. Droit positif : droit objectif en vigueur à un moment donné dans un pays donné (peine de mort

droit positif. Paragraphe 2 : LE POSITIVISME Selon les thèses positivistes, il est inutile de rechercher la justification de la loi, car elle s’impose d’elle mm. On peut distinguer le positivisme juridique de d’autres positivisme (eco). Le positivisme juridique = le droit se suffit à lui-même. Auteurs majeurs : Kelsen … La loi s’impose d’elle-même peut importe qu’elle soit juste, il n’y a rien au-dessus comme dans la théo du droit naturel. Le positivisme sociologique (Durkheim) = le droit

SECTION II : CIRCONSCRIRE LE DROIT : UN SAVANT PALLIATIF A L'ABSENCE DE DEFINITION SATISFAISANTE Il n'y a pas que des normes juridiques mais aussi des normes sociales. Comment différencier ces normes juridiques des autres normes (moeurs, éthique, sociales, etc.) ? 1) Approche du droit par description de ses principaux caractères "La norme juridique a trois caractères apparaissant de suite, à savoir, général, impersonnel et abstrait" A) Généralité, impersonnalité, abstraction : trois caractères

les doctrines positivistes Le positivisme, le droit positiviste se justifie par lui-même. Le positivisme étatique. Le droit n’a pas d’autre justifications que d’être de l’état, la loi injuste doit être respectée parce qu’elle est la loi. Ce positivisme prouve son expression la plus forte chez le philosophe allemand Hager. Pour lui tout ce qui est étatique est juridique. Tout ce qui est juridique est étatique. La position étatique a était défendue par Carré de Malberg, mais nous devons citer

résistance n’est pas un arme suffisante pour obliger le législateur à se conformer au droit naturel). B) Les doctrines positivistes Le positivisme prend en compte ce qu’il est (on respecte la loi parce qu’elle existe, qu’elle soit juste ou injuste). (Exemple : Socrate a été condamné à mort et a accepté sa condamnation). 1) Le positivisme juridique ou étatique Il justifie la soumission à la règle de droit par le pouvoir. (Exemple : La volonté du roi justifie la soumission). Ihering met

  aes rh   Semestre   1                 COURS  D’INTRODUCTION   GÉNÉRAL  AU  DROIT  ET   MÉTHODOLOGIE  JURIDIQUE     Introduction  générale  :  définition  du  droit     Il   est   impossible   de   donner   une   définition   homogène   et   définitive   car   suivant   les   pays,   la   norme   et   la   définition   varie.   Les

I/ POSITIVISME En France, l’attitude positiviste est la 1ère et souvent la dernière de la grande majorité des juristes. C’est le climat philosophique du XIXème qui a mis en avant la pensée positive. Cette pensée allait exercée sur le droit une influence décisive et durable. C’est Auguste Comte et ses disciples qui vont imposer la pensée positive à partir de 1832. Il dit «  en étudiant le devant de l’intelligence, depuis son essor le plus simple à nos jours, j’ai découvert une grande

référence à Auguste Comte. Face à cette histoire méthodique ou scientiste fondée sur le culte du fait, sur la recherche du singulier en tant que science idiographique, apparait au 19° l'histoire positiviste inspirée des travaux et de la démarche du positivisme comtien (d'Auguste Comte). L'historien le plus représentatif de cette école est Louis Bourdeau auquel on peut associer Charles Mortet. Ils s'opposent à l'histoire méthodique en ce sens qu'ils condamnent et récusent cette histoire des personnages