Primogéniture Male

conduit à une succession organisée d’une manière particulière. Lorsqu’un roi a plusieurs fils, tous lui succèdent. Cela est possible en partageant le royaume en autant de parties que le roi a de fils. Il n’y pas de système d’aînesse ou de primogéniture. On peut alors penser qu’il y aurait un risque d’émiettement du territoire mais ce n’est pas le cas car à cette règle s’en ajoute une seconde ; la succession sans représentation. Cela signifie que ne succède au Roi que ses descendants directs.

conduit à une succession organisée d’une manière particulière. Lorsqu’un roi a plusieurs fils, tous lui succèdent. Cela est possible en partageant le royaume en autant de parties que le roi a de fils. Il n’y pas de système d’aînesse ou de primogéniture. On peut alors penser qu’il y aurait un risque d’émiettement du territoire mais ce n’est pas le cas car à cette règle s’en ajoute une seconde ; la succession sans représentation. Cela signifie que ne succède au Roi que ses descendants directs.

circonstances au début des deux règnes, on serait retombé dans les divisions mérovingiennes, car déjà Charles et Carloman avaient peine à s'entendre. L'État français ne sera vraiment fondé que le jour où le pouvoir se transmettra de mâle en mâle par ordre de primogéniture. Il faudra attendre les Capétiens. Cependant Charlemagne eut le bénéfice de l'unité. Il eut aussi celui de la durée. Non seulement l'intelligence et la volonté du souverain étaient supérieures, mais elles purent s'exercer avec suite

fidélité d’un grand. Ailleurs, les grands prennent les titres de duc ou de marquis pour rappeler que, dans leur principauté, c’est à eux que se rattachent les fidélités et non au souverain. Ces principautés tendent à l’hérédité en privilégiant la primogéniture mâle. Par exemple, en 915, Robert de Neustrie obtient de Charles le Simple la confirmation de ses honneurs en faveur de son fils Hugues. Cette demande est formelle. D’autres lignages font de même sans en référer au roi : Herbert II de Vermandois

écrite mais un ensemble de lois fondamentales. On peut les définir par leur contenu, comme des lois qui fixent la manière dont se transmet le pouvoir. En France, la couronne se transmet à la descendance par ordre de primogéniture (c'est-à-dire en commençant par l’aîné), par descendance mâle. Ce dernier point fut précisé à la période des rois maudits, lorsque les trois fils de Philippe le Bel décèdent successivement. Les légistes français considèrent alors qu’il faut appliquer la loi salique, qui exclut

fondamentales du royaume on s’efforce de régler les problèmes de succession, en posant des règles de la transmission héréditaire de la couronne. Première règle, celle de Primogéniture, seul le fils aîné pourra hériter de la couronne, à l’exclusion des cadets ; autre règle, celle de la masculinité, loi salique, qui affirme que seul un enfant mâle pourra hériter de la couronne, argument avancé, il s’agit d’éviter une perte de souveraineté en cas de mariage de la fille du monarque avec un prince étranger. La

ralliant la part qu'elle obtint dans le partage en trois de la Pologne mais aussi par la conquête de la Crimée et de la Nouvelle-Russie (sud est de la Russie). Son fils, Paul Ier (1754-1801) fixa la succession au trône par ordre de primogéniture en ligne directe, en attribuant à la ligne masculine une dominance sur la ligne féminine. En matière de politique étrangère, il s'associa à la coalition austro-anglaise. Souvarov, feld-maréchal russe, alla jusqu'en Italie se mesurer aux généraux

lois fondamentales du royaume imposent les règles de successions, de transmission héréditaire de la couronne qui s’impose au monarque. C’est d’abord la règle de primogéniture, seul le fils aîné du roi pourra hériter du trône, à l’exclusion du cadet. Autre règle: règle de la masculinité « loi salique », e, vertu de laquelle seul un enfant mâle pourra hériter du trône, officiellement il s’agit d’éviter la perte de souveraineté en cas de mariage de la fille monarque avec un prince étranger. Enfin, la règle

justice afin de le faire protégé). Cependant tous ses membres peuvent agirent en justice afin de le faire protéger. Cela étant, il n’est jamais qu’un accessoire du nom qui obéit au... Généralement la transmission du titre se fait de mâle en mâle, par ordre de primogéniture, ce qui est bien peu républicain. A- L’attribution du nom En principe, le nom est le fruit d’un rapport de filiation. Mais à défaut, il est le fruit d’une décision administrative envisageant donc successivement le principe majoritaire

..). Ce titre était attribué à une personne et non à une famille. Néanmoins, l’ensemble des membres de la famille peut agir pour le protéger. Le titre nobiliaire ne se transmet pas comme le nom, mais sa dévolution se transmet de mâle en mâle par ordre de primogéniture. Le premier garçon de la fratrie pouvant s’octroyer lien 1/ L’attribution du nom Il y a un principe et une exception. Le principe est que le nom est le fruit d’un rapport de filiation, mais à défaut de rapport de filiation il sera