Procédés Propres à émouvoir

déroule au 17e siècle et raconte l’histoire d’un homme qui a réellement existé qui était poète complexé par son nez et duelliste. La pièce parle de l’histoire d’un pacte entre Cyrano et Ch. pour que le beau Ch. séduise R. A l’acte 1 ; Théâtre et on attend Cyrano qui doit interdire à Montfleury (acteur) de jouer, ici il s’agit d’un duel entre Cyrano et le Vi de Valvert. (On va montrer que c’est une scène comique ou brille Cyrano mais il y a des éléments plus sombre). Cette scène est-elle exclusivement

(l.57 à 81) Côme Tholomier Présentation de Beaumarchais et de l’œuvre : voir Acte I Scène 10. Figaro, qui vient de gagner son procès lui permettant ainsi d’épouser Suzanne, est confronté à une dernière épreuve. Il décide d’espionner Suzanne, persuadé qu’elle a déjà donné un rendez-vous au Comte et essayé de le tromper. Il décide alors, dans le plus long monologue du répertoire classique, de laisser éclater toute son amertume. Comment Beaumarchais parvient-il à faire

persos, curiosité pour l'intrigue...)  , la capacité qu'elle a à toucher un public + large (le lecteur peut lire juste par l'interet de la fiction tout en lisant finalement les idées défendues par l'auteur), et le fait que l'argumentation soit atténuée (permet éviter cencure, l'argumentation est indirecte donc plus facile à prendre...). Ensuite, tu vois les inconvénients de la fiction dont la lecture au 1er degres (ce qui est courant à la lecture de Voltaire, maitre en matière d'ironie, par exemple

littéraire, du topos, de son enjeu, de sa place dans un réseau inter-textuel. L’acquisition et la maîtrise de ce vocabulaire précis propre à favoriser la « justesse de l’expression » sont des objectifs majeurs de la classe terminale littéraire. La caractérisation exacte d’un texte et la formulation rigoureuse de sa spécificité s’avèrent des compétences indispensables à construire dans un enseignement littéraire. »[1] Quel que soit le Baccalauréat préparé, l'épreuve du commentaire est au programme

les procédés habituels à l'épopée, un peu oubliée depuis les essais malheureux de Ronsard avec la Franciade, et que renouvelle Hugo. Le choix des alexandrins à rimes plates est propre à ce genre littéraire, car le vers long permet la gravité du ton. L'hyperbole abonde, avec l'image insistante du "gouffre" pour la plaine (v. 4, 5), les panaches "énormes " (v. 6), rimant avec les "blessures difformes " (v. 7), notation certes réaliste mais dont l'évocation dans ce contexte appartient également à l'exagération

appelle figures de style les procédés d’expression qui s’éloignent de l’usage habituel de la langue pour émouvoir, séduire ou persuader le destinataire d’un discours ou le lecteur d’un texte. Elles se répartissent en quatre grandes catégories selon leur mode de fonctionnement. 1. Les figures d'insistance Elles servent à souligner un mot, un groupe de mots ou une idée en le mettant en valeur par rapport à ce qui l’entoure. LA RÉPÉTITION • La répétition consiste à reprendre, sans apporter

s’établir. A ce titre quelques poètes tels que Du Bellay ou encore Ronsard se réunissent pour former un groupe appelé la Pléiade, soit le nom d’une constellation de sept étoiles. Le dessein de ces derniers repose sur la volonté de soutenir la langue française, d’enrichir son style et ce, en s’inspirant des auteurs grecs et latins. Nous prêterons attention au poème XLI de Ronsard, publié en 1578, adressé à Hélène de Surgères, dame de compagnie de la reine Catherine de Médicis. C’est elle qui lui a demandé

trois ensembles: l’introduction - le développement - la conclusion. Cette organisation donne lieu à une présentation codifiée: 1. Une ligne doit être sautée entre l’introduction et la première partie; entre la première et la deuxième partie, entre la deuxième et la troisième partie; entre la troisième partie et la conclusion. 2. On ne saute pas de ligne entre les sous-parties. 3. On marque un retrait à gauche au début de chaque paragraphe. 4. Les titres des oeuvres doivent être soulignés. I. L’INTRODUCTION

encore, nous allons au théâtre pour penser, une heure ou deux, à autre.Pour nous distraire, nous émouvoir. Pour W. Shakespeare , "Le théâtre a pour objet d'être le miroir de la nature, de montrer à la vertu ses propres traits, à l'infamie sa propre image, et au temps même sa forme et ses traits dans la personnification du passé.". D'après Antonin Artaud , « l’action du théâtre comme celle de la peste est bienfaisante, car poussant les hommes à se voir tels qu’ils sont, elle fait tomber le masque, elle

relèverons les caractéristiques qu’il leur donne avant de nous intéresser à la cause qu’il défend à travers eux. Nous avons ici affaire à une page de roman romantique. En effet, les critères attendus d’une narration sont présents. Les temps du récit, imparfait et passé-simple, parcourent régulièrement le texte ‘furent’ (l. 1) ‘pouvait’ (l. 9) ‘fit’ (l. 20) ‘c’était’ (l. 30) ‘chantait’ (l. 35). Par ailleurs, les personnages sont désignés à la 3e personne ‘Eponine et Azelma furent méchantes’ (l. 1) ‘l’enfant