Programmations Mentales Hofstede

audio-visuels reproductibles. Ce secteur, sous l'effet du développement des technologies de l'information et de la communication, est en pleine transformation et son avenir fait l'objet de controverses politiques tendues. Selon Geert Hofstede : la culture est une programmation mentale collective propre à un groupe d’individus. De manière plus spécifique, en éthologie, la culture animale désigne tout comportement, habitude, savoir, système de sens (en anthropologie) appris par un individu biologique, transmis

psychologiques multidimensionnels et dont la principale dimension est culturelle. Cette dernière est le résultat d’une programmation mentale collective au sein de la société et au sein de l’entreprise. Lorsque deux ou plusieurs entreprises nouent des relations stratégiques, elles mettent cote à cote une partie ou la totalité de leurs ressources humaines qui n’ont pas reçu la même programmation mentale sociale et ou d’entreprise. Des écarts voire des choc culturels peuvent alors surgir et qui, s’ils ne sont pas

des techniques de gestion modernes d’origine occidentale. Deux types de développements majeurs se dessinent autour de l’approche culturelle de gestion en Afrique. L’approche qui raisonne en terme de programmation mentale par les valeurs en s’appuyant sur les quatre indicateurs de la culture selon Hofstede : (individualisme/communautarisme, distance hiérarchique, évitement de l’incertitude et masculinité/féminité) ; 1 Pour une discussion plus approfondie de ces différentes tendances, le lecteur

règles et des lois. Ce mode de raisonnement est courant chez les Anglo-Saxons. 3. Distance hiérarchique Elle relève dans quelle mesure une société accepte la répartition inégale du pouvoir au sein des institutions et des organisations. 4D’après Hofstede (1991)1, les entreprises installés dans les pays o’u la distance hiérarchique est élevée ont tendance à accumuler les échelons, à fonctionner avec du personnel de contrôler et à centraliser les décisions.Les dirigeants sont aussi respectés que

personnes, qui aident les individus à décider de ce qui est, de ce qui peut être, comment ressentir, de ce qu’il faut faire et comment le mettre en œuvre ». Selon Geert Hofstede, la culture est « le logiciel du cerveau » : la culture est une programmation mentale collective propre à un groupe d’individu (Hofstede, Geert and Hofstede, Gert-Jan. Cultures and Organizations: Software of the Mind. New York: McGrawHill U.S.A., 2004.) Dans ce poly nous allons nous inspirer très largement du site américain

des malentendus culturels contre-productifs qui risquent soit d’entraîner des coûts, soit de faire échouer des alliances ou tout autre projet de coopération entre eux. Comme l’ont déjà montré plusieurs auteurs (d’Iribarne 1989, 1998; Hofstede et Bollinger, 1987; Hofstede, 1991; Hickson et Pugh 1995), chaque groupe national génère ses propres représentations et pratiques en affaires et en gestion qu’il faut comprendre pour interagir avec succès avec des membres de ce groupe. Pour les Québécois, il s’agit

des malentendus culturels contre-productifs qui risquent soit d’entraîner des coûts, soit de faire échouer des alliances ou tout autre projet de coopération entre eux. Comme l’ont déjà montré plusieurs auteurs (d’Iribarne 1989, 1998; Hofstede et Bollinger, 1987; Hofstede, 1991; Hickson et Pugh 1995), chaque groupe national génère ses propres représentations et pratiques en affaires et en gestion qu’il faut comprendre pour interagir avec succès avec des membres de ce groupe. Pour les Québécois, il s’agit

création de produit adapté au pays. Les entreprises transnationales essayent de créer une culture de groupe (structure organisationnelle)malgré sa présence à travers le monde, la problématique étant de dépasser les cultures nationales. Selon Gert HOFSTEDE. On a une même entreprise avec normalement un fonctionnement qui devrait être le même selon les pays, un même outil de gestion n'aura pas les même incidences sur les performances de l'organisation (bien/différemment/mal/pas utilisé). Gert conduit

recherches. Les travaux de Geert Hofstede mettent en relation la culture et l'économie au niveau d'un état. Le tableau ci dessous est le fruit de ses recherches qui permet de comparer deux pays, ici le Canada et la Chine. La comparaison se fait sur 5 critères et à chaque critère est attribué une note chiffrée qui correspond à son importance dans le pays. Or ces 5 critères sont fortement déterminés par la culture. Hofstede définit la culture comme étant la programmation mentale collective qui distingue

dans chacun des détails concrets dont elle est faite, ne relève pas d’un autre univers que la compréhension générale de la marche des sociétés et du gouvernement des hommes[1], Par ailleurs, toujours, dans la même approche, D Bollinger et Gert Hofstede avaient déjà souligné, nous le verrons dans les parties qui suivent, le poids des différences culturelles dans les pratiques de management et du gouvernement des hommes. Toutefois, pour dresser un tableau plus panoramique du contexte, il faut signaler