Programmations Mentales Hofstede

statistiques, aux modèles mathématiques d’optimisation et de gestion de l’information et aux simulations informatique. Grâce à ses modèles mathématiques et statistiques, on optimise la gestion des stocks, les files d’attente, la programmation dynamique, la programmation linéaire qui permet aux managers d’améliorer la répartition de leurs ressources. C) Le prix de l’excellence « Le prix de l’excellence » de Tom Peters et Robert Waterman (1982) est un ouvrage majeur, de référence où les

acquises par l’homme en tant que membre de telle ou telle société. Programmation mentale collective, traits culturels : - Partagés. - Appris. - Evolutifs. b) Différences entre cultures. - Edward T.Hall : Des cultures à contexte fort, et d’autres à contexte faible. - Contexte fort : communication implicite, indirecte et lente. - Contexte faible : explicite, directe et rapide. - Hofstede : - Rapport à l’autorité, distance hiérarchique. - Aversion

l’universalité des pratiques de saine administration nous conduirait à des sociétés semblables » (Bollinger et Hofstede 1987, 15). Elle met au centre de ses analyses, le principe du « one best way of leading or managing ». « Ce principe d’évolution devrait s’appliquer même aux pays pauvres du Tiers-monde qui, eux aussi en devenant riches, seront administrés comme des pays riches » (Bollinger et Hofstede 1987, 15). L’approche de convergence défend radicalement dans toutes les situations, le mimétisme dans

société. La culture est un concept tellement complexe que plusieurs définitions lui ont été données par les chercheurs. Celle de « HOFSTEDE, 1991 » définit la culture comme étant la notion qui introduit les programmes mentaux pour désigner, par analogie aux programmes informatiques, tous les processus acquis. Il définit ensuite la culture comme la programmation collective de l’esprit qui distingue les membres d’un groupe ou d’une catégorie de personnes par rapport à un autre. Trois principaux

recherches, le LENTIC de l'Université de Liège et le GRISH de l'Université Libre de Bruxelles, sous la responsabilité des Professeurs François Pichault (LENTIC) et Luc Wilkin (GRISH). Ce projet bénéficie d'un financement de la part des Services de Programmation de la Politique Scientifique (Belgique). 2 Le niveau normatif préconise un certain nombre de principes qu'il s'agirait de poursuivre pour atteindre des objectifs déterminés (efficacité, performance, etc.), s'appuyant idéalement sur le niveau

maintenant nous intéresser à la dimension interculturelle de la communication, avant de voir quelques clefs permettant de communiquer efficacement. APPREHENDER UNE CULTURE « La culture est la programmation collective de l ’esprit qui distingue les membres d ’un groupe ou d ’une société de ceux d ’un autre groupe » Hofstede. Communiquer et manager les individus 13 Tous droits de reproduction réservés -  Laurent Larose 2006 Une certaine capacité d'empathie est nécessaire pour communiquer efficacement

la naissance de la « psychologie industrielle » qui résulte du passage de la psychologie du laboratoire à l’entreprise. Une nouvelle orientation s’intéressant à l’évaluation des différences individuelles va développer l’utilisation des testes mentaux pour la sélection, l’orientation professionnelle. Plus tardivement, un courant dit des « relations humaines » va se développer. Il s’inspire de la psychologie sociale et va s’orienter sur les problèmes d’interaction dans les groupes et sur la

humains, bonasses et tièdes. Par opposition, nous avons des motifs déterminants et réalisons des actions déterminantes, orientés de manière positive, et accomplis dans un but réfléchi, nous avons l’expérience d’une plénitude d’existence : sur le plan mental spirituel, physique et matériel. Pourquoi les managers n’ont pas développé une conception bien définie, rationnelle et utilisable de la motivation, jusqu’à un point qui apparaisse optimal ? Il existe un certain nombre de raisons. 1- En premier

humains, bonasses et tièdes. Par opposition, nous avons des motifs déterminants et réalisons des actions déterminantes, orientés de manière positive, et accomplis dans un but réfléchi, nous avons l’expérience d’une plénitude d’existence : sur le plan mental spirituel, physique et matériel. Pourquoi les managers n’ont pas développé une conception bien définie, rationnelle et utilisable de la motivation, jusqu’à un point qui apparaisse optimal ? Il existe un certain nombre de raisons. 1- En premier

l’entreprise. Il est alors perçu à travers les filtres cognitifs des managers. La conception qualifiée de constructive qui nie la séparation entre l’organisation et l’environnement externe et appréhende ce dernier comme le résultat d’une construction mentale faite par les acteurs. Aussi, nous citons les travaux appartenant à la théorie de la Sélection Naturelle (Aldrich, 1979) et les travaux des théories de l'Ecologie des Populations (Hannan et Freeman, 1984), qui perçoivent la dynamique organisationnelle