Programmations Mentales Hofstede

subjectif résulte de deux mécanismes psychologiques : * le souhait de garder des rôles sociaux perçus comme caractéristiques des individus plus jeunes * le sentiment personnel de rester jeune et de conserver les mêmes aptitudes physiques, mentales ou sociales Les pratiques de consommation varient selon l'âge, avec des segments spécifiques comme les enfants, les adolescents et les seniors. L'âge est l'une des variables les plus pertinentes pour expliquer les comportements de consommation

pays. Ex : éducation,… Valeur symbolique, identité du citoyen, réalité homogène à l’intérieur d’un pays (stade de foot,…) D'ordre psychologique: manière de réagir, de fonctionner qui peut être différent à travers les pays culture nationale, programmation mentale homogène à l’intérieur d’un pays mais diff. au travers des pays, lié à l’expérience, tous les organismes d’un pays vont participer à la création de cette culture. Tout cela est lié à l'expérience. Permet de savoir si le produit va réussir

mettre en évidence des appareils cognitifs communs. -> Prise de conscience de la différence et de l'universalité. Nous sommes tous très différents, mais nous pouvons nous entendre, car nos structures mentales fonctionnent de la même manière / Invariant biologique, physiologie … Programmation mentale collective (exemple de la nationalité) : • Politique : nation = entité politique enracinée dans l’histoire. Existence et fonctionnement d’institutions spécifiques. Impact de la colonisation française

englobe, outre les arts et les lettres, les modes de vie, les droits fondamentaux de l'être humain, les systèmes de valeurs, les traditions et les croyances. » Définition de l'UNESCO « La culture est une programmation mentale collective propre à un groupe d’individu. » Définition de Geert Hofstede 2- La négociation « La négociation est le processus grâce auquel deux ou plusieurs parties, ayant à la fois des intérêts communs et des intérêts conflictuels formulent et discutent certaines propositions

s’étant implantées au Maroc. I) Les différences culturelles Définition de la culture « La culture, c’est la manière dont un groupe de personnes résout ses problèmes. » F. Trompenaars « La culture est par essence une programmation mentale collective. » G. Hofstede La culture est une notion extrêmement vaste. Déjà, en 1952, A.C. Kroeberet et C. Kluckhohm « avaient dénombré 164 définitions différentes du concept de culture dans la littérature ethnologique et anthropologique. » La culture

différences culturelles entre pays. Si les nations industrielles d’aujourd’hui n’atteignent certes pas le même degré d’homogénéité que les tribus primitives étudiées par les anthropologues, elles sont néanmoins à l’origine d’une programmation mentale forte de leurs citoyens (Hofstede, 1994). Le «réflexe» culturel est largement inconscient et ne peut être que difficilement surmonté. Néanmoins, il est possible de s’approprier le système de normes d’une autre culture et de se comporter de manière adéquate

management interculturel et les ressources humaines exemple). La culture asiatique met l'accent sur la relation. Les vaches et les poulets n'ont pas de relation observable, mais pour un Asiatique l'herbe est la nourriture pour les vaches. 1. Geert Hofstede Edward T Hall est crédité du lancement de la science de la communication interculturelle dans le sillage de la Seconde Guerre mondiale. Le State Department (Affaires étrangères) du gouvernement américain lui avait fourni les moyens de réunir dans

notre propre contexte culturel et de notre propre expérience (complexe du Self Reference Criterion), il convient de les connaître et de savoir les relativiser a. le modèle d'Hofstede Geert Hofstede, chercheur d'origine néerlandaise, [Geert Hofstede, Vivre dans un monde interculturel, nos programmations mentales, Comprendre Les éditions d ‛ organisation, 1994 ], a élaboré, à la suite d‛une étude statistique très importante (13000 questionnaires administrés auprès de salariés de la firme

objectif d’analyser les problèmes de communication dans la gestion de la qualité. Le principal biais communicationnel évoqué est l’erreur de perception, interprétation et évaluation. Du côté des dimensions culturelles provenant des écrits de Bollinger, Hofstede, Trompenaars, les plus difficiles à régir sont les relations et les sentiments, la prise de décision (plus en groupe ou individuel) et le contrôle de l’incertitude. Les formations devraient donc focaliser sur l’importance des concepts de l’étude

des convictions partagées, des manières de penser et d’agir qui orientent plus ou moins le comportement d’un être humain au sein du groupe dans lequel il vit. Geert Hofstede, Edward Twitchell Hall ou Fons Trompenaars se sont intéressés à la cohabitation des peuples dans un monde multiculturel en analysant les programmations mentales des individus. Les positions des entreprises sur les marchés étrangers dépendent directement des décisions en marketing. Les stratégies qu’elles adoptent doivent être